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lundi 29 décembre 2008

14 millions de Netbooks vendus en 2008 - Actualités - ZDNet.fr

Vincent Birebent, publié le 10 décembre 2008
Tags: netbook, chiffres

Business - Selon le cabinet DisplaySearch, le segment des netbooks a enregistré une croissance de 160 % entre le second et le troisième trimestre. Au total, les ventes mondiales devraient atteindre 14 millions d'unités en 2008.

Dans un marché des ordinateurs plutôt morose, le cabinet DisplaySearch confirme que le segment des netbooks tire son épingle du jeu. Selon les conclusions d'un rapport sur les ventes de PC, citées par le site taïwanais Digitimes, on apprend que la croissance des livraisons de netbooks a été de 160 % entre le second et le troisième trimestre 2008.

Sur ce trimestre, ce sont 5,6 millions de netbooks qui ont été vendus dans le monde. Globalement, DisplaySearch s'attend à ce que ce marché représente des ventes de l'ordre de 14 millions d'unités pour 2008 - contre moins d'un million en 2007.

Acer en tête des ventes, Asus perd du terrain

Principal gagnant de cet engouement, le taïwanais Acer, qui à travers ses trois marques phares (Acer, Gateway et Packard Bell) capte 38,8 % du marché sur l'année. À l'inverse, Asus, qui a largement contribué à développer ce marché avec son EeePC, perd du terrain et la tête de ce segment, avec 30,3 % de part de marché sur 2008.
Suivent HP et MSI, tout deux avec un peu moins de 6 % de PDM, puis Dell, Medion et les machines OLPC (One Laptop per Child) avec plus ou moins 2,5 % de PDM.

« A l'exception d'Apple, toutes les grandes marques du Top 10 (des vendeurs d'ordinateurs, NDLR) sont entrées sur ce marché du mini-PC, au départ pour répondre à la menace posée par Asus, mais aussi pour satisfaire la demande des consommateurs pour des produits d'entrée de gamme, fins et légers, qui offrent au moins une pincée de fonctions bureautiques basiques et permettent une plus grande mobilité » note John F Jacobs, analyste de DisplaySearch,

Il ajoute que « la demande mondiale pour ces produits est appelée à croître rapidement dans les années à venir avec une demande provenant de sources variées, allant des "early adopters" aux clients particuliers ou entreprises recherchant un second ou un plus petit PC, en passant par la demande des particuliers sur les marchés émergents. Nous nous attendons a ce que le marché des mini-PC atteigne environ 16 % du marché des portables à l'horizon 2011 ».

Retrouvez la sélection des meilleurs netbooks de l'année sur Businessmobile.fr

Par Vincent Birebent, ZDNet France

mardi 23 décembre 2008

Red Hat profite de la crise Actualité --- Silicon.fr ---

Croissance à deux chiffres pour l'éditeur de logiciels Open Source Red Hat. Pour son troisième trimestre 2008-2009, le groupe affiche un résultat net en hausse de 20% à 24,3 millions de dollars. Progression similaire pour le bénéfice par action qui s'établit à 0,24 dollar (hors éléments exceptionnels).

Les revenus progressent également de 22% à 165,3 millions de dollars avec des abonnements en hausse de 17% à 135 millions. Quant à la marge opérationnelle, elle flambe de 120 points à 23,2%.

"Dans cet environnement de restrictions budgétaires, les professionnels de l'informatique adoptent des logiciels libres et plus spécifiquement ceux de Red Hat pour économiser de l'argent et accroître leur compétitivité"' affirme le p-dg Jim Whitehurst.

Dans un entretien accordé récemment à silicon.fr, il ajoutait : "Depuis plusieurs semaines, la situation de crise nous a ouvert la porte d’un plus grand nombre d’entreprises. En effet, les DSI sont beaucoup plus ouverts aux discussions avec nos équipes, et les entreprises affichent aujourd’hui une stratégie Open Source. Les décideurs comparent sans complexe Unix à Linux, mais aussi Linux à Windows ou encore JBoss à BEA WebLogic ou à IBM Websphere. Et nous remportons de plus en plus d’affaires dans contexte.

La plupart des entreprises, et plus encore les PME/PMI, se fient fortement à ce que leur recommandent leurs prestataires, leurs intégrateurs, et parfois certains éditeurs. D’où l’importance pour RedHat de développer et d’entretenir des relations suivies avec les réseaux de revendeurs et de partenaires. Certes, de nombreuses entreprises choisissent Windows par défaut. Cependant, cela ne représente pas le meilleur choix technologique".

La crise serait donc un catalyseur pour les éditeurs Open Source. Reste à vérifier que les concurrents de Red Hat affichent la même bonne santé.

A lire : notre interview de Jim Whitehurst

lundi 22 décembre 2008

Téléchargement illégal: Vidéotron met ses clients en garde | Internet

André Simard, Technaute.ca
19 décembre 2008 | 13 h 30 | 118 commentaires


Des internautes, adeptes du partage de fichiers sur internet, ont eu la surprise de recevoir un courriel de Vidéotron faisant état d'une «utilisation illicite» de leur service internet.
Pour en savoir plus
The Pirate Bay | Vidéotron | P2P | Piratage et téléchargement illégal | Propriété intellectuelle et droits d'auteur

Il semble que l'étau se resserre autour des internautes qui téléchargent, sur des sites de peer-to-peer (P2P), du matériel protégé par le droit d'auteur, comme des jeux vidéo ou des films.

On peut lire dans l'avis transmis par Vidéotron que l'entreprise a «reçu une plainte qui affirme que des activités associées à votre adresse IP portent atteinte à des droits de propriété intellectuelle d'un tiers».

Eve Lacasse, relationniste chez Vidéotron, a confirmé vendredi à Technaute que l'entreprise avait bel et bien commencé à envoyer cet avis à certains clients aux cours des dernières semaines.


«Il s'agit d'une politique d'entreprise d'aviser nos clients lorsqu'ils font l'objet d'une plainte», précise-t-elle.

Si l'on se fie aux commentaires laissés sur certains forums, le courriel en question, ayant pour objet «Utilisation illicite de votre service internet», en a fait sursauter plus d'un.

Sur DSLReports.com, Mad_max_ écrit: «C'est la première fois que j'ai ce genre de courriel. Quelqu'un a-t-il des infos sur ce genre de procédure? C'est juste pour faire peur ou il faut que je reste low profile pour mes futurs téléchargements?»

L'internaute ajoute que «si Vidéotron commence à me casser les couilles sur ce que je peux faire et ne pas faire sur mon ordinateur, je vais vite passer chez la concurrence».

Mme Lacasse assure que Vidéotron n'espionne pas les activités de ses clients sur internet. «Nous n'avons pas de système de surveillance en place, autre que celui qui nous permet d'évaluer la quantité de bande passante utilisée par nos clients.»

«Ce sont des studios qui ont identifié les adresses IP de certains de nos clients qui nous envoient des plaintes, et nous leur transférons tout simplement», ajoute-t-elle.

La relationniste de Vidéotron n'a pas voulu préciser quels sont les studios qui portent plainte.

L'avis de Vidéotron mentionne cependant quel est le «matériel reproché selon la plainte». Dans les cas des internautes qui ont publié leur avis sur internet, il s'agit de jeux vidéos et de films téléchargés sur des sites comme The Pirate Bay.

Les jeux Fallout 3, Unreal Tournament 3, Syphon Filter et le film Kung Fu Panda sont cités.

L'avis précise que «Vidéotron n'entamera aucune mesure» contre ses clients, mais que «si des poursuites devaient être intentées par le plaignant, nous n'aurions d'autre alternative que de vous tenir responsable des dommages subis».

Mme Lacasse confirme que l'identité des clients ne sera dévoilée que «s'il y a des procédures légales» initiées par les studios.

D'ici là, Vidéotron suggère par courriel à ses clients de «cesser toute activité pouvant porter atteinte à un droit de propriété intellectuelle d'un tiers».

mercredi 17 décembre 2008

L'Internet d'ici 2020 - Actualité techno - Internet

par Marc-André Brouillard

Dans le cadre d'un sondage mené par le Pew Internet & American Life Project, 578 experts se prononcent sur l'avenir de la grande Toile d'ici 2020.

Dans le cadre du projet Imagining the Internet, le Pew Internet & American Life Project, en collaboration avec l'Université Elon en Caroline du Nord, vient de publier en ligne les résultats de leur sondage mené à tous les deux ans depuis 2004.

Les appareils mobiles deviennent les objets privilégiés pour naviguer sur Internet, la reconnaissance vocale et les écrans tactiles deviennent choses communes et plus de gens fréquentent les mondes virtuels, voilà en bref à quoi pourrait ressembler notre environnement web d'ici 2020 selon les 578 experts consultés.

La plupart des experts consultés (77%) croient que les téléphones mobiles, ou autres appareils mobiles, connaîtront les développements les plus significatifs dans les années à venir. En 2020, «le téléphone mobile est la connexion Internet principale et la seule pour une majorité de la population dans le monde entier à des coûts relativement bas», prédisent les experts.

Par ailleurs, 64% des experts consultés croient que les interfaces utilisateurs offriront davantage d'options vocales et tactiles d'ici 2020. N'en déplaise aux législateurs, 60% des répondants ne croient pas que la propriété intellectuelle sera efficacement protégée d'ici 12 ans. Pour ce qui est des mondes virtuels, ils sont promis à un bel avenir, selon plus de la moitié des experts (55%) qui croient que plusieurs personnes les fréquenteront en 2020.
Étiquettes: Imagining the Internet

Amazon et Microsoft à l'assaut des TI | Internet

Alain McKenna, La Presse
17 décembre 2008 | 08 h 10


En lançant la plate-forme Azure, Microsoft rejoint notamment Amazon et Google dans le marché émergent des serveurs informatiques sur mesure et des logiciels services. À l'heure où une majorité d'entreprises prévoient une baisse de leurs dépenses en technologies de l'information (TI), l'ère de l'informatique «dans le nuage» semble néanmoins promise à un bel avenir.
Pour en savoir plus
Amazon.com | Facebook | Google | IDC | Microsoft | Réseautage social | Moteurs de recherche | Serveurs

Avec son service EC2 (pour Elastic Compute Cloud), Amazon fait office de pionnière dans ce créneau, qui est appelé à exploser au cours des prochaines années, selon IDC. L'«informatique dans le nuage» représente actuellement 4% des dépenses des entreprises nord-américaines en TI. Cette proportion devrait passer à 9% d'ici 2012, et sa valeur tripler, de 16 à 42 milliards de dollars. Une croissance quatre fois plus rapide que pour le reste des TI (27% vs 7%).



Manifestement, c'est une formule qui semble plaire aux grandes entreprises. Un chercheur du cabinet Gartner révélait dans un sondage effectué il y a deux semaines, donc après la crise financière, que 20% d'entre elles utilisent déjà ces services, les deux tiers (65%) prévoyant y avoir recours d'ici 2012.

Sur mesure

L'informatique dans le nuage comprend les logiciels services grand public, comme la fameuse suite bureautique en ligne Google Docs, qui sont, en quelque sorte, la pointe de l'iceberg. Des serveurs sur mesure pour entreprises, comme EC2 et Azure, en constituent la grande portion immergée et s'adressent surtout aux entreprises. Celles qui cherchent une solution de rechange abordable à des serveurs dédiés coûteux à acquérir et à entretenir, précise Mark Relph, vice-président aux nouvelles plate-formes pour Microsoft Canada.

Le service EC2 d'Amazon a recours à des «machines virtuelles», sorte de copie logicielle d'un serveur physique, pour maximiser sa propre puissance d'opération et sa bande passante. Azure, qui est en rodage en attendant son lancement officiel tôt en 2009, a recours à de véritables serveurs, mais le principe est le même: les entreprises gèrent à distance, via une page Web, la taille et le nombre de serveurs dont ils ont besoin et sont facturés en conséquence.

«Si j'étais une entreprise qui comptait lancer le prochain Facebook, en 2009, je n'aurais peut-être pas les moyens d'acquérir les serveurs et la bande passante nécessaires», illustre M. Relph. «Azure s'adapte en cours de route. Il s'adresse aux développeurs qui se demandent s'ils pourront continuellement ajouter la puissance nécessaire pour faire fonctionner leurs logiciels.»

Montréal dans les nuages

Au Québec, plusieurs petites sociétés Web sont déjà «dans le nuage», comme le dit Sylvain Carle, cofondateur de la startup montréalaise Praized Media. Selon lui, les petites entreprises dont les affaires sont concentrées sur l'internet y trouvent leur compte, puisque c'est une solution qui, à défaut d'être parfaitement sûre, est abordable et facile à mettre en place.

«Ça peut prendre cinq à 10 jours pour installer un serveur traditionnel, avec le matériel et tout, comparativement à cinq à 10 minutes pour un serveur virtuel comme ceux d'EC2. Sur EC2, on peut se payer sept serveurs pour le prix de deux serveurs traditionnels», dit-il. «Si nous avions besoin de serveurs hautement sécurisés pour faire des services bancaires, ce serait autre chose, mais pour nous, c'est sûr que c'est avantageux: on peut augmenter ou réduire notre capacité (sans pénalité).»

M. Carle constate qu'il n'est pas le seul que ces services attirent. Il compte d'ailleurs organiser une conférence sur le sujet, à Montréal, fin février. L'événement, baptisé CloudCamp, réunirait des utilisateurs actuels de ces services internet et des entrepreneurs qui aimeraient en savoir plus. «Ça commence à être de plus en plus commun pour les startups d'être dans le nuage. En fait, il n'y a pas de raison de ne pas y être», conclut-il.

mardi 16 décembre 2008

La presse écrite commence à craindre pour sa survie | Internet

Agence France-Presse
16 décembre 2008 | 07 h 53

Un homme lit le journal sur une terrasse - Archives La Presse

Avec des tirages au plus bas, des revenus publicitaires qui s'effondrent et des lecteurs de plus en plus accaparés par l'internet, la presse américaine est au plus mal et de grands titres de l'histoire du journalisme sont désormais en péril.
Pour en savoir plus
Chicago Tribune | eMarketer | Los Angeles Times | New York Times | Newsweek | USA Today | Wall Street Journal | Rupert Murdoch | Médias électroniques et portails | Publicité et marketing en ligne

«Le modèle économique de la presse écrite ne fonctionne plus», estime le président de la Washington Post Company, Donald Graham, se faisant l'écho des propos que tiennent de plus en plus de nombreux observateurs du paysage médiatique américain.

«Le Washington Post et Newsweek vont perdre de l'argent en 2008», a annoncé M. Graham la semaine dernière lors d'une conférence à New York, à propos de deux de ses titres phares. «Une période très difficile pour la publicité s'annonce en 2009».

Le groupe de presse Tribune, propriétaire des prestigieux quotidiens Chicago Tribune et Los Angeles Times, a annoncé la semaine dernière qu'il s'était placé sous la protection de la loi sur les faillites (chapitre 11).

La presse américaine a licencié ou invité au départ, par le biais de guichets spécifiques, quelque 15 400 personnes cette année, estime Erica Smith, une journaliste du St. Louis Post-Dispatch qui comptabilise les pertes d'emplois dans le secteur.

Pas un jour ne passe sans son cortège de mauvaises nouvelles, le ralentissement économique accélérant le déclin des revenus publicitaires et incitant de nombreux annonceurs à se tourner vers les sites internet gratuits.

Selon le Bureau de la diffusion de la presse, le tirage des 507 quotidiens américains a chuté de 4,6% en six mois avec 38 millions d'exemplaires vendus en moyenne de mars à septembre au lieu de 40 millions un an plus tôt.

Seuls USA Today, du groupe Gannett, et le Wall Street Journal, du magnat de la presse Rupert Murdoch, parviennent à résister, affichant de modestes gains de 0,01% de leur lectorat.

Les revenus publicitaires de la presse ont chuté de 18,1% au dernier trimestre, le sixième trimestre consécutif de baisse, selon l'Association nationale des journaux américains (NAA).

Pendant ce temps, la publicité en ligne augmente, même si elle ne devrait progresser que de 8,9% en 2009, selon eMarketer. Et les recettes tirées de l'internet ne dépassent 15% du total dans aucun grand journal du pays.

Même le New York Times, le titre le plus prestigieux des États-Unis, a annoncé la semaine dernière qu'il allait emprunter 225 millions de dollars en hypothéquant son nouveau siège de Manhattan afin de contrecarrer une crise de liquidités provoquée par un resserrement du marché du crédit et une baisse de ses bénéfices.

«Je pense que nous allons voir des régions entières sans quotidien local dans un avenir assez proche», a prévenu Roy Peter Clark, vice-président du Poynter Institute, qui étudie le secteur des médias.

Prenant la parole lors d'une rencontre à Naples, en Floride, sur «l'avenir du journalisme», M. Clark a estimé qu'il n'existait pas de «potion magique» pour assurer la survie du secteur.

L'American Press Institute a invité le mois dernier 50 patrons de presse à une réunion intitulée «Sommet des patrons pour sauver une industrie en crise».

Deux experts ont prévenu les patrons qu'ils se trouvaient face à un scénario classique de «évolue ou crève» et qu'ils devaient agir rapidement.

Fin octobre, le quotidien Christian Science Monitor, à la diffusion confidentielle mais très respecté par ses pairs, a annoncé qu'il abandonnerait son édition papier pour passer au tout internet en avril.

lundi 15 décembre 2008

Les DSI français se disent prêts à adopter les équipements réseaux sans fil - Actualités - ZDNet.fr

Les DSI français se disent prêts à adopter les équipements réseaux sans fil

Vincent Birebent, publié le 15 décembre 2008
Tags: réseau sans-fil, entreprise, wi-fi

Technologie - Selon une étude menée auprès de 400 DSI en Europe, les équipements réseaux sans fil séduisent les décideurs informatiques. En France, 70 % des DSI comptent faire migrer leur réseau entièrement vers des technologies sans fil à l’horizon 2010.

Malgré des problèmes de fiabilité, de rapidité et de sécurité, les directeurs des services informatiques dans leur grande majorité semblent prêts à migrer vers les réseaux sans fil. C'est ce qui ressort d'une étude du cabinet d'études Vanse Bourne, pour le compte de Motorola, où quatre cents DSI européens (*) de sociétés de mille salariés (et plus) ont été interrogés sur leur équipement actuel et leurs intentions pour le proche avenir.

Concernant la France, si à peine 20 % des sondés ont déjà à disposition un réseau entièrement sans fil (8 %) ou majoritairement sans fil (12 %) au sein de leur entreprise, 70 % d'entre eux envisagent de passer complètement leur infrastructure réseau en Wi-Fi ou à d'autres normes de communication sans fil d'ici à 2010. Un chiffre légèrement supérieur à la moyenne européenne qui s'établit à 69 %. Reste que pour effectuer cette transition, les DSI espèrent d'abord voir certaines de leurs interrogations levées au sujet des technologies sans fil.

Par exemple, pour les directeurs informatiques français interrogés, les principaux sujets d'inquiétude concernent la sécurité (61 %) et les coûts (41 %) d'une telle migration. Dans une moindre mesure, la vitesse (31 %), la performance (33 %) et la fiabilité (33 %) de ces réseaux sont aussi des problématiques qui les inquiètent.

Répondre au besoin de mobilité des salariés

Quand on les interroge sur les raisons d'une migration vers les technologies sans fil, 48 % d'entre eux mettent en avant le besoin stratégique de mobilité des salariés, à égalité avec la mise à jour ou l'amélioration des infrastructures réseaux existantes.

Reste que les sondés voient définitivement l'avenir sans fil dans les trois années à venir. Pour 86 % des DSI français interrogés, une majorité des périphériques réseaux sera sans fil d'ici à 2011. Là aussi, ils sont dans la moyenne européenne qui s'établit à 88 %, avec des pointes en Italie (96 %) ou en Grande-Bretagne (93 %), alors qu'à l'inverse, 28 % des DSI outre-Rhin doutent que le sans fil s'impose aussi vite.

D'ores et déjà, ils sont 62 % en France à indiquer que dans leurs dépenses actuelles d'équipements réseaux, la part du sans-fil dépasse celle des équipements filaires, une proportion largement supérieure à celles de leurs homologues européens qui s'établit à 54 % - avec les Pays-Bas (42 %) et le Royaume Uni (44%) en queue de peloton.

(*) Une diziane de pays européens a participé à l'étude : Grande-Bretagne, Allemagne, France, Italie, Espagne, Pays-Bas, Suède, Danemark, Norvège et Finlande.

Par Vincent Birebent, ZDNet France

14 millions de Netbooks vendus en 2008 - Actualités - ZDNet.fr

Vincent Birebent, publié le 10 décembre 2008
Tags: netbook, chiffres

Business - Selon le cabinet DisplaySearch, le segment des netbooks a enregistré une croissance de 160 % entre le second et le troisième trimestre. Au total, les ventes mondiales devraient atteindre 14 millions d'unités en 2008.

Dans un marché des ordinateurs plutôt morose, le cabinet DisplaySearch confirme que le segment des netbooks tire son épingle du jeu. Selon les conclusions d'un rapport sur les ventes de PC, citées par le site taïwanais Digitimes, on apprend que la croissance des livraisons de netbooks a été de 160 % entre le second et le troisième trimestre 2008.

Sur ce trimestre, ce sont 5,6 millions de netbooks qui ont été vendus dans le monde. Globalement, DisplaySearch s'attend à ce que ce marché représente des ventes de l'ordre de 14 millions d'unités pour 2008 - contre moins d'un million en 2007.

Acer en tête des ventes, Asus perd du terrain

Principal gagnant de cet engouement, le taïwanais Acer, qui à travers ses trois marques phares (Acer, Gateway et Packard Bell) capte 38,8 % du marché sur l'année. À l'inverse, Asus, qui a largement contribué à développer ce marché avec son EeePC, perd du terrain et la tête de ce segment, avec 30,3 % de part de marché sur 2008.
Suivent HP et MSI, tout deux avec un peu moins de 6 % de PDM, puis Dell, Medion et les machines OLPC (One Laptop per Child) avec plus ou moins 2,5 % de PDM.

« A l'exception d'Apple, toutes les grandes marques du Top 10 (des vendeurs d'ordinateurs, NDLR) sont entrées sur ce marché du mini-PC, au départ pour répondre à la menace posée par Asus, mais aussi pour satisfaire la demande des consommateurs pour des produits d'entrée de gamme, fins et légers, qui offrent au moins une pincée de fonctions bureautiques basiques et permettent une plus grande mobilité » note John F Jacobs, analyste de DisplaySearch,

Il ajoute que « la demande mondiale pour ces produits est appelée à croître rapidement dans les années à venir avec une demande provenant de sources variées, allant des "early adopters" aux clients particuliers ou entreprises recherchant un second ou un plus petit PC, en passant par la demande des particuliers sur les marchés émergents. Nous nous attendons a ce que le marché des mini-PC atteigne environ 16 % du marché des portables à l'horizon 2011 ».

Retrouvez la sélection des meilleurs netbooks de l'année sur Businessmobile.fr

Par Vincent Birebent, ZDNet France

mercredi 3 décembre 2008

Brancher le Québec à pas de tortue | Internet

Hélène Baril, La Presse
02 décembre 2008 | 07 h 29 | 22 commentaires

Le Québec est branché, du moins on aime à le croire. Mais est-ce bien vrai? C'est relativement vrai dans les villes, mais faux en région, où un nombre considérable de citoyens attendent encore le grand jour, celui où ils auront accès à l'internet à haute vitesse.
Pour en savoir plus
OCDE | Branchement à Internet

L'internet est peut-être considéré maintenant comme un service essentiel, mais le service tarde à s'implanter dans les régions, et pas nécessairement les plus éloignées.

En 2002, le Parti libéral du Québec avait promis de brancher les régions avant la fin de son premier mandat. Mais selon la Fédération québécoise des municipalités, il y a encore en 2008 plus de 400 municipalités au Québec dont les services internet sont soit inexistants, soit insuffisants.
Sur le même sujet
Très-Saint-Rédempteur.com: jamais mieux servi que par soi-même
Haute vitesse en région: la réaction des fournisseurs

Pourtant, il n'en a pas été beaucoup question dans la campagne électorale qui s'achève.

«Le fait que certaines régions n'aient pas accès à l'internet à haute vitesse est catastrophique», estime Phillipe Le Roux, président de VDL2, une firme de services internet.

Selon lui, l'internet est aujourd'hui un service aussi important que l'eau, l'électricité et le téléphone. «Je dirais que c'est même plus important que le téléphone», ajoute-t-il, en soulignant l'importance de l'internet dans l'information et l'éducation de ses utilisateurs. «On se dirige vers une société à deux vitesses, ceux qui ont accès à la haute vitesse et les autres.»

Même dans les villes, les résidents ne sont pas aussi branchés qu'on le croit, souligne Monique Chartrand, directrice générale de Communautique, un organisme à but non lucratif qui veut favoriser l'accès aux technologies.

Le Québec utilise moins l'internet que les autres provinces canadiennes. Selon Communautique, il y a 64% d'internautes au Québec comparativement à 83% en Alberta.

Le Canada, qui a déjà été dans le peloton de tête des pays branchés selon le classement de l'OCDE, recule maintenant dans ce classement depuis trois ans.

C'est que la connexion téléphonique traditionnelle, suffisante pour la plupart des utilisateurs dans les débuts de l'internet, ne satisfait plus leurs besoins. Il faut être branché sur la fibre optique et les régions, dont la population est clairsemée, sont désavantagées par rapport aux centres densément peuplés.

Même dans les villes, le coût élevé d'un branchement à haute vitesse est un frein à son utilisation, souligne-t-elle. «Le modèle à forfait qui se répand, soit un meilleur tarif pour les abonnés au téléphone, à la télédistribution et à l'internet a un coût exorbitant pour beaucoup de gens.»

Exorbitant pour les utilisateurs, mais très payant pour les fournisseurs de services. Philippe Le Roux fait le calcul suivant: les deux tiers des trois millions de ménages québécois, soit deux millions de foyers, sont branchés à l'internet haute vitesse. Au coût moyen de 80$ par mois, c'est 1 milliard de dollars par année qui va dans les coffres des entreprises.

«L'entreprise privée fait beaucoup d'argent dans les grands centres urbains, mais se tient loin des régions où il y a peu de perspectives de profit», constate-t-il.

À Montréal, la ville aurait les moyens d'offrir gratuitement l'internet sans fil à ses résidents, mais elle ne le fait pas à cause des pressions des entreprises, estime-t-il.

Avec les profits qu'elles tirent des villes, les entreprises devraient être forcées par le gouvernement à desservir les régions, estime le fondateur de VDL2.

«La question est: est-ce qu'on considère l'internet comme un produit ou comme un service essentiel?»

Si c'est un service essentiel, alors Hydro-Québec, qui possède le plus important réseau de télécommunications au Québec, pourrait brancher rapidement tout le Québec à peu de frais, croit Philippe Le Roux.

Le gouvernement québécois a bien essayé de brancher les régions, mais ses efforts n'ont pas eu le succès escompté. Avec le programme Villages branchés, il a investi 150 millions pour relier les mairies, les écoles et les bibliothèques municipales.

Le gouvernement pariait qu'une fois la bande passante rendue dans les régions, l'entreprise privée prendrait le relais et investirait à son tour pour recruter de nouveaux clients.

Ça ne s'est pas produit. Les grands fournisseurs de services ont continué de développer leur réseau dans les villes et se sont désintéressés des campagnes.

«Les grandes entreprises ont écrémé le marché et laissé de côté les régions», dit Claire Bolduc, la présidente de Solidarité rurale qui a fait de l'accès à l'internet haute vitesse un cheval de bataille.

Le Trésor public a dû débourser davantage. Un nouveau programme, Communautés rurales branchées, a vu le jour avec un budget de 24 millions sur cinq ans. Pas un dollar de ce programme n'a encore été dépensé. L'aide promise arrivera le 1er avril, a fait savoir le ministère des Affaires municipales et des régions, qui en a la responsabilité.

mardi 2 décembre 2008

Pratiquer la veille multilingue en 4 étapes et 15 outils linguistiques

Google Reader permet de faire de la veille multilingue grâce à ses fonctions de traduction automatique

Dire que Google Reader permet de faire de la veille multilingue grâce à ses fonctions de traduction automatique c'est une chose, le démontrer c'est mieux. Il ne s'agit en effet pas seulement de récupérer un flux rss dans une langue étrangère et de cliquer sur le bon bouton. Ca c'est la dernière étape :-)
Je vous invite donc à un petit exercice pratique et j'ai choisi à cet effet un thème de veille volontairement complexe et d'actualité : Que dit la presse russe des positions françaises durant et après le sommet UE - Russie?

Sujet compliqué car :

1 : j'ai fait un peu de russe mais c'est tellement loin que je décrypte à peine 50% de l'alphabet cyrillique (et que je comprends à peu près 1% de ces 50% ...)
2 : c'est une langue à déclinaison qui pourrait poser pas mal de problèmes lorsqu'il s'agira de surveiller un mot-clé puisqu'on le retrouvera avec un nombre incalculable de terminaisons. Enfin si calculable mais bon... je n'ai pas vraiment le temps de me replonger dans la grammaire russe actuellement. Ceci nous apprend toutefois une première chose essentielle : lorsque l'on veut faire de la veille dans un langue précise il faut s'intéresser un minimum à sa construction grammaticale : si vous choisissez un mot dans une forme qui n'est jamais utilisée, sinon par les dictionnaires, vous pourriez ne pas avoir de résultat. Heureusement Google News, grâce lui soit rendu, a pensé à tout et propose dans ses résultats les variantes d'un même mot (pluriel/singulier, masculin/féminin, et donc les déclinaisons. Cette possibilité relativement récente et très gênante lorsque l'on recherche un mot précis s'avère ici d'une grande utilité.

Précision : il est évident que cet article ne prétend pas faire le tour de la question. Dans un processus de veille réel, pour une entreprise par exemple, il s'agirait d'une simple phase de démarrage. Sachant que les mots-clés choisis ici seront ensuite optimisés en fonction des résultats obtenus. La veille c'est forcément itératif et personne ne peut prétendre arriver d'emblée avec un système parfait.

1 - Première étape : choisir ses mots-clés.
(lire la suite sur http://www.outilsfroids.net/news/pratiquer-la-veille-multilingue-en-4-etapes-et-15-outils-linguistiques)

lundi 1 décembre 2008

Les jeunes, les technologies et le travail : changer sa souris d'épaule

Les jeunes, les technologies et le travail : changer sa souris d'épaule
Jean-François Ferland -04/11/2008

Au lieu de craindre l'insertion des jeunes technophiles en milieu du travail, les organisations devraient en faire des catalyseurs de changement dans le recours aux nouvelles technologies. Constats de deux observateurs intéressés.

Voici un deuxième article portant sur l'intégration des jeunes utilisateurs de technologies au sein des organisations. Nous vous invitons à lire l'article d'André Ouellet Intégration au travail des nouvelles générations: au-delà de la nécessité, un atout, paru la semaine dernière.


Les jeunes qui font partie de la génération Y ont-ils le dos large? Certains les disent « pointilleux », « impatients » et « difficiles » lorsqu'il est question de l'utilisation des technologies de l'information et des communications (TIC) chez leurs employeurs, plus particulièrement celles qui sont liées à l'interaction en ligne. Les employeurs, qui sont aux prises avec une pénurie de main-d'oeuvre, sont confrontés à un défi organisationnel d'importance. Caprice de jeunesse ou choc des générations?

Catherine Lamy est directrice de projet à l'organisme Cefrio à Québec. Elle oeuvre au projet Génération C : les 12-24 ans en tant qu'agents de transformation des organisations québécoises, qui étudiera au cours de la prochaine année comment les attitudes et les comportements des jeunes de la génération Y, mais aussi de la génération C qui les précède, face aux technologies se transposent dans leur vie d'étudiant, de travailleur, de citoyen et de consommateur.

« On dit beaucoup de choses [des jeunes, de l'utilisation des TIC et de leur attitude au travail], mais il y a beaucoup de mythes et de préjugés, considère Mme Lamy. Il faut aller plus loin et essayer de les comprendre. De toute façon, les organisations devront se transformer et s'adapter, parce que c'est la main-d'oeuvre de l'avenir. Il faut arrêter de les voir comme étant un problème, mais comme un catalyseur et un levier de transformation. »

La conseillère et conférencière Michelle Blanc s'intéresse aux technologies Web et à leur adoption par les diverses générations. Elle indique que la conception de la vie de la génération Y, née avec l'Internet, diffère de celle des générations précédentes. Qui plus est, son poids démographique est plus important que celui des fameux baby-boomers.

« Il faudra faire avec ce qu'ils pensent de la réalité, ce qui est bien différent de leurs prédécesseurs, observe Mme Blanc. Pour eux, le travail, la collaboration et le divertissement sont équivalents et devraient coexister tout le temps. Le travail emm...? On change de travail. On ne peut collaborer? On change de travail. [...] Le courriel est pour les vieux, alors qu'ils sont habitués à la messagerie instantanée, aux blogues, aux wikis et à Facebook. S'ils ont quelque chose à dire, c'est maintenant, car dans une demi-heure ce ne sera plus pertinent. Cela change beaucoup de choses dans l'entreprise. »

Changement philosophique

En matière de changement, Mme Lamy estime que les premières actions d'adaptation du travail au contexte des jeunes des organisations se situent au niveau de la présence au travail, puisqu'ils ont déjà des technologies permettant le travail à distance, du nombre d'heures travaillées - des entreprises américaines évaluent dorénavant les employés en fonction des résultats - et de la formule de travail ‘de 9 à 5', alors que les jeunes veulent parfois travailler le soir et même la nuit.

« Il faut un changement de la culture de gestion, affirme-t-elle. Ce n'est plus une question de contrôle. Les gestionnaires doivent apprendre à composer avec cela. De toute façon, on peut être 40 heures assis à un bureau et perdre son temps. Cela a toujours existé, même avant les technologies. »

Michelle Blanc croit que l'enjeu de l'adaptation des organisations à la nouvelle génération « technophile » est avant tout de nature philosophique. Elle croit que donner un bon salaire à un nouvel employé et de lui bloquer les accès aux technologies constitue un paradoxe.

« Auparavant, on assistait à une autorité dogmatique et une communication unidirectionnelle : le médecin a raison, le professeur sait tout, l'entreprise sait ce que veulent les clients et ce qu'il faut dire aux employés. Aujourd'hui, nous sommes dans une communication multidirectionnelle et égalitaire. L'entreprise est critiquée, le professeur est mis au défi, le [propos du] médecin est [comparé] avec des informations trouvées sur le Web... Personne n'a la vérité et tout le monde a une portion de la vérité. Et les jeunes sont habitués à naviguer là-dedans et à se faire leur propre idée. L'époque où le patron parle et que tout le monde doit écouter tire à sa fin », estime-t-elle.


Page 1 - Changement philosophique


Page 2 - La jeunesse, un agent de changement

L'Europe se transforme en un continent d' << accros à la connexion >> assoiffés de contenu

AMD, November 17 /PRNewswire/ --

- Publication des résultats d'un important sondage européen réalisé par AMD sur l'utilisation, le contenu et la connectivité des ordinateurs portables

L'Europe se transforme en un continent d' << accros à la connexion >> assoiffés de contenu, selon les conclusions de l'Étude sur la connectivité en Europe d'AMD (European Connectivity Study), réalisée en ligne auprès de plus de 5 000 personnes. D'après l'étude sponsorisée par AMD (NYSE : AMD) en collaboration avec YouGov, une société de recherche indépendante, 77 % des personnes interrogées ne pourraient pas vivre sans un accès quotidien à Internet.

Ce pourcentage s'est révélé plus élevé que l'accès à toute autre commodité, y compris à une automobile (54 %) et à une machine à laver (61 %). Cette tendance correspond aux conclusions d'un autre sondage* d'AMD réalisé par le passé, qui indiquait que presque tous (99 %) les répondants renonceraient plutôt à leur caméra numérique, Blackberry ou lecteur MP3 qu'à leur ordinateur portable.

<< L'ensemble des recherches indique que les consommateurs songent à l'utilisation principale qu'ils feront de leur ordinateur portable ou PC de bureau lorsqu'ils considèrent en acheter un. Une plate-forme équilibrée et optimisée pour ces différents modèles d'utilisation - particulièrement les activités axées sur la maison, le travail et le jeu - sera sans doute essentielle pour combler les besoins des consommateurs de demain. Les ordinateurs portables ne représentent plus seulement la flexibilité ou la possibilité de travailler en toute mobilité, ils offrent également à l'utilisateur une véritable expérience multimédia en HD. Alors que le rendement et la vitesse de traitement des ordinateurs augmentent, la société peut s'attendre à observer une fusion du contenu multimédia de qualité et de la connectivité. Les résultats du sondage révèlent qu'AMD a jusqu'à présent adopté la bonne stratégie et qu'alors que les technologies évoluent, AMD est prête à garantir à ses clients l'expérience visuelle ultime (The Ultimate Visual Experience(TM)) et un rendement élevé pour leur permettre de faire plusieurs choses à la fois >>, a déclaré Nigel Dessau, vice-président directeur et directeur du marketing chez AMD.

Assoiffés de contenu

La soif de contenu semble être un des principaux facteurs de cette dépendance à la connexion. Les Européens cliquent désormais sur la souris peu de temps après avoir pris une photo. En effet, 81 % des répondants ont affirmé avoir enregistré des photos numériques l'année dernière. Cette tendance à l'égard de la consommation et du partage de contenu se reflète également dans les vidéos et la musique. À travers l'Europe, 77 % des personnes interrogées ont visionné des vidéos sur YouTube ou des sites semblables, et 66 % ont téléchargé de la musique au cours de l'année passée.

Cet appétit pour le contenu visuel s'explique en partie par l'engouement des Européens pour les jeux. En effet, 76 % des répondants ont déclaré avoir joué sur un ordinateur portable ou un PC de bureau l'an dernier. En outre, 51 % ont téléchargé et 43 % transmis des films au cours de l'année dernière. Enfin, 14 % des répondants ont déclaré regarder des films Blu-ray, ce qui indique que cette technologie est de plus en plus populaire en Europe.

<< Le PC est devenu omniprésent en tant que dispositif de divertissement numérique suprême. En effet, les consommateurs sont conscients du bien-fondé de disposer d'un seul appareil pour prendre en charge et interagir avec le vaste éventail de contenu disponible dans la bibliothèque de divertissement exhaustive d'aujourd'hui. Qu'il s'agisse d'un ordinateur de bureau ou portable, les capacités du PC moderne permettent d'adopter le credo d'"un dispositif pour tout", et le remplacement possible des télévisions dans l'avenir par des PC n'est pas si farfelu que ce que nous avons pu croire par le passé >>, a déclaré Jochen Polster, directeur du marketing de la région EMEA chez AMD.

Pleins feux sur la qualité visuelle améliorée

Les conclusions du sondage laissent également penser que les consommateurs souhaitent une expérience visuelle en HD sur leurs ordinateurs portables. Près de la moitié (46 %) des répondants ont indiqué que les éléments graphiques jouent un rôle important dans leur décision d'achat concernant un ordinateur portable. Les hommes s'attendent davantage à obtenir une meilleure expérience visuelle (51 %) que les femmes (37 %). Fait intéressant, 59 % de la tranche de 18 à 24 ans sondés ont affirmé que la qualité graphique jouait son rôle lors l'achat d'un ordinateur portable.

<< Les membres de la génération Y n'utilisent pas leur ordinateur portable de la même façon que le consommateur moyen d'aujourd'hui. En effet, ils s'attendent à ce les éléments visuels de leur portables soient aussi renversants que ceux auxquels ils sont habitués dans leur vie de tous les jours, particulièrement pour ce qui est du contenu comme les jeux haut de gamme sur PC et les films. AMD s'emploie à offrir du contenu réaliste du point de vue de la qualité des longs métrages d'Hollywood sans compromettre la performance, et ainsi de redéfinir l'expérience de l'ordinateur portable pour les consommateurs de nouvelle génération >>, a indiqué Jochen Polster, d'AMD.

Qualité-prix

La diversité des activités que les consommateurs entreprennent sur leurs ordinateurs portables montre que les gens considèrent désormais ceux-ci comme un achat sérieux, et feront leur choix en fonction de divers facteurs de performance. Alors que les portefeuilles sont de moins en moins garnis en Europe, les consommateurs s'attendent à obtenir des performances élevées, mais à un bon prix. En effet, 80 % d'entre eux ont affirmé que le coût aurait une incidence sur leur décision d'achat. Chose étonnante, les personnes interrogées ont également révélé qu'elles seraient prêtes à dépenser davantage d'argent pour un nouvel ordinateur de bureau qu'un ordinateur portable ; à travers l'Europe, le prix moyen estimé de leur prochain ordinateur de bureau serait de 792 EUR, comparativement à seulement 713 EUR pour un ordinateur portable.

<< Depuis toujours, les ordinateurs portables coûtent plus chers que leurs cousins de bureau, mais le marché a maintenant rétabli l'équilibre, puisque les résultats de notre sondage indiquent que les consommateurs sont désormais prêts à investir dans les ordinateurs de bureau >>, a affirmé Jochen Polster, d'AMD. << Les consommateurs commencent à considérer le PC de bureau comme une alternative multifonctionnelle aux PVR (enregistreur vidéo personnel), aux lecteurs Blu-ray et aux téléviseurs. Nous sommes désormais dans l'ère où le PC est la plaque tournante des activités à la maison, où les ordinateurs personnels sont au centre de la maison numérique de demain, et offrent ainsi une façon simple de créer, de partager et de consommer du divertissement, ainsi que d'y accéder. >>

Croissance globale des ventes d'ordinateurs portables

Selon la dernière étude de marché d'IDC(1), l'expédition de PC a enregistré une augmentation de 27 % dans la région de l'EMEA au troisième trimestre de 2008, comparativement au trimestre équivalent de l'année dernière. L'étude a conclu que les ordinateurs portables continuaient de stimuler la croissance globale du marché, qui a connu une hausse de 52 %, alors que la demande des consommateurs en Europe de l'Ouest ne montrait aucun signe de ralentissement. L'étude sur la connectivité en Europe d'AMD corrobore cette étude, car lorsqu'on a demandé aux répondants leur préférence quant à leur prochain ordinateur à la maison, 48 % d'entre eux ont répondu un ordinateur portable, 32 % un PC de bureau et 14 % un netbook (petit ordinateur portable). Ces données indiqueraient également que bien que la demande demeure élevée pour tous les formats, seulement 6 % des répondants n'avaient aucune préférence quant à leur prochain ordinateur ou n'avaient pas d'avis à ce sujet : l'ordinateur portable est toujours considéré comme le dispositif le plus populaire.

<< Les habitudes d'utilisation des ordinateurs de bureau et portables sont en train de changer de façon radicale. Alors que les ordinateurs de bureau sont considérés comme la plaque tournante du divertissement à la maison, on opte de plus en plus pour l'ordinateur portable pour ce qui est d'obtenir une expérience de contenu multimédia riche en toute mobilité >>, a déclaré Eszter Morvay, analyste principale de recherche du service Informatique individuelle européenne chez IDC. << Comme les consommateurs sont de plus en plus instruits, les décisions d'achat sont plus souvent fondées sur le meilleur rapport qualité-prix. Le design, le contenu et la convivialité sont les aspects auxquels les consommateurs attachent le plus d'importance lorsqu'ils achètent un nouvel ordinateur portable. Ainsi, les ordinateurs portables devront proposer un ensemble de fonctions riche - mais à un prix raisonnable. >>

Pour obtenir de plus amples renseignements et pour consulter les conclusions complètes du rapport portant sur l'Étude de connectivité en Europe, veuillez contacter le service de presse au numéro +44(0)20-8834-3411 ou à l'adresse amdemea_consumer@bitepr.com.

À propos du sondage

YouGov a interrogé en ligne 5 148 personnes en provenance de la France, de l'Allemagne, de la Russie, de l'Espagne et du Royaume-Uni entre le 17 et le 30 septembre. Dans le cadre du sondage, les répondants ont dû répondre à des questions portant sur leurs habitudes informatiques, particulièrement sur leur utilisation d'un ordinateur portable et la connectivité.

À propos d'AMD

Advanced Micro Devices (NYSE : AMD) est une société de technologie innovante qui se consacre à la collaboration avec ses clients et partenaires afin de donner corps à une nouvelle génération de solutions informatiques et graphiques au travail, à domicile et pour le jeu. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le http://www.amd.com.

(c)2008 Advanced Micro Devices, Inc. AMD, le logo d'AMD en forme de flèche, ATI, le logo d'ATI, Radeon, The Ultimate Visual Experience et toute combinaison de ces éléments sont des marques de commerce d'Advanced Micro Devices, Inc. Les autres noms mentionnés ne sont fournis qu'à titre indicatif et peuvent être des marques de commerce de leurs propriétaires respectifs.

Méthodologie du sondage* d'AMD mené en 2005 : La recherche a été réalisée par Benchmark Research Ltd. pour AMD. Dans le cadre de ce sondage, 516 interviews ont été réalisées en septembre 2005 dans cinq pays européens : la Suède, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la France et l'Italie. Le sondage en ligne ciblait les utilisateurs de PC à la maison qui participent à la prise de décisions concernant l'achat d'un PC et qui utilisent régulièrement leur PC pour télécharger, créer et manipuler du contenu numérique. Le résumé des résultats du sondage est disponible auprès d'AMD.


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mardi 25 novembre 2008

Cinq fois plus populaire que Google Docs - Actualité techno - Internet

Cinq fois plus populaire que Google Docs
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La suite bureautique OpenOffice, dont la version 3.0 était lancée en octobre dernier, a franchi le cap des 10 millions de téléchargements.

«Nous avons de meilleurs compétiteurs que Google Docs et Spreadsheets. Honnêtement, la compétition vient plutôt d'OpenOffice et StarOffice». C'est ainsi que s'exprimait Steve Balmer, le PDG de Microsoft, au moment où OpenOffice venait de lancer la version 3.0 de sa suite bureautique libre, en octobre dernier.

Bien que Microsoft Office domine toujours auprès des utilisateurs internationaux, OpenOffice connaît une progression remarquée, comptant aujourd'hui plus de 12 millions de téléchargements. La dernière version de la suite bureautique gratuite, téléchargée 3 millions de fois dans la première semaine du lancement, en octobre, serait utilisée par 5% de la population américaine, selon une étude de la firme d'étude de marché ClickStream Technologies, menée auprès de 2 400 personnes. Selon ClickStream, seulement 1% des personnes sondées utilisent Google Docs. Pour sa part, Microsoft Office aurait la faveur de 51% des personnes sondées.

Par ailleurs, la ministre norvégienne de l'Innovation administrative, Heidi Grande Roeys, concède près de 350 000$ au centre national du logiciel libre du pays pour adapter OpenOffice pour les ministères norvégiens. La ministre souhaite ainsi que son pays puisse réduire sa dépendance à des logiciels tels que Microsoft Office.
par Marc-André Brouillard

Technaute | Tristan Péloquin

Technaute | Tristan Péloquin: "C’est au tour de la version papier du vénérable PC Magazine de disparaître.

27 ans de bons et loyaux services, et après avoir connu une circulation record de 1,2 million d’exemplaire dans les années 90, voilà que son éditeur, Ziff Davis, ne croit plus en sa rentabilité. Dès février, PC Mag ne sera plus que publié sur le web.

C’est la deuxième publication américaine majeure prendre cette voie en moins d’un mois. Tout récemment, c’est le Christian Science Monitor qui a annoncé la fin de sa publication papier. Le magazine jeunesse CosmoGirl en a fait autant, tout comme Cottage Living, qui ne sont maintenant disponibles que sur la Toile.

Dans cet article du Times, le PDG de Ziff Davis blâme “l’économie de l’imprimé” pour justifier son choix - La tonne de papier coûte de plus en plus cher, l’encre est inabordable, le transport gruge de plus en plus dans les marges de profit. Pendant ce temps, le marché de la publicité rétrécit à vue d’oeil. Tout le modèle serait à revoir.

Pour PC Mag, le choix était assez logique: les lecteurs de nouvelles technologiques, en bon fans d’ordis ultra portables et de téléphones intelligents, sont de moins en moins"

C’est au tour de la version papier du vénérable PC Magazine de disparaître.

Technaute | Tristan Péloquin

27 ans de bons et loyaux services, et après avoir connu une circulation record de 1,2 million d’exemplaire dans les années 90, voilà que son éditeur, Ziff Davis, ne croit plus en sa rentabilité. Dès février, PC Mag ne sera plus que publié sur le web.

C’est la deuxième publication américaine majeure prendre cette voie en moins d’un mois. Tout récemment, c’est le Christian Science Monitor qui a annoncé la fin de sa publication papier. Le magazine jeunesse CosmoGirl en a fait autant, tout comme Cottage Living, qui ne sont maintenant disponibles que sur la Toile.

Dans cet article du Times, le PDG de Ziff Davis blâme “l’économie de l’imprimé” pour justifier son choix - La tonne de papier coûte de plus en plus cher, l’encre est inabordable, le transport gruge de plus en plus dans les marges de profit. Pendant ce temps, le marché de la publicité rétrécit à vue d’oeil. Tout le modèle serait à revoir.

Pour PC Mag, le choix était assez logique: les lecteurs de nouvelles technologiques, en bon fans d’ordis ultra portables et de téléphones intelligents, sont de moins en moins enclins à lire sur des arbres morts. Plus de 70% des revenus de PC Mag viennent d’ailleurs du web, ce qui est immense.

Mais quand même, c’est surprenant de voir un monument se métamorphoser ainsi.

Qui est le prochain sur la liste

lundi 24 novembre 2008

Les chefs des partis ne font pas un bon usage d'internet au Québec | Internet

Tobi Cohen, La Presse Canadienne
24 novembre 2008 | 07 h 45


Les chefs qui sont actuellement en lice pour diriger le Québec ne font pas un bon usage d'Internet, selon certains experts.
Pour en savoir plus
Parti libéral du Québec | Parti québécois | Pauline Marois | Thierry Giasson

Thierry Giasson, professeur en communication à l'Université Laval, estime que la mauvaise qualité des campagnes menées sur internet est attribuable au déclenchement précipité des élections. Selon lui, les partis de l'opposition ont été pris de court, ils étaient mal préparés et manquaient d'argent.

Mais même les campagnes des députés libéraux sortants sont décevantes, a-t-il ajouté, jugeant que le site web du Parti libéral du Québec (PLQ) ressemble à un site internet d'affaires et n'offre pas beaucoup d'interactivité.

Lors de la campagne électorale de 2007, le site du PLQ avait tenté de rallier les électeurs en proposant des blogues et des forum de discussion avec les ministres sortants.

Bien que l'Action démocratique du Québec (ADQ) avait indiqué l'année dernière son intention de consacrer davantage d'efforts dans internet, ce parti politique a mis dix jours avant de lancer son site web après que les élections eurent été déclenchées.

Le site internet de l'ADQ a à peine été réorganisé, a estimé Thierry Giasson, ajoutant que les adéquistes n'avaient même pas porté attention aux controversées vidéos attaquant la chef du Parti québécois, Pauline Marois.

En ce qui concerne les péquistes, Mme Marois a vite décidé d'exclure les blogueurs de la campagne de son parti sur internet pour plutôt favoriser le réseautage personnel, selon M. Giasson.

Cette stratégie est aux antipodes de celle choisie par l'ancien chef du PQ, André Boisclair, qui, en 2007, avait encouragé les blogueurs et le clavardage sur le site internet de son parti.

La porte-parole du PQ Véronique Martel a insisté pour dire que son parti était prêt lorsque les élections ont été déclenchées. Cela est toutefois rarement le cas au Canada, a objecté Mathew Bertin, un expert qui a travaillé sur plusieurs campagnes électorales libérales sur Internet à travers le pays.

Les formations politiques devraient profiter de l'intervalle entre les élections pour préparer leurs campagnes sur le web, a-t-il conseillé.

vendredi 21 novembre 2008

15 Hot New Technologies That Will Change Everything

15 Hot New Technologies That Will Change Everything
Pc World.ca Forums

*
Author
Christopher Null
PCWorld
Monday, November 17, 2008


Memristor circuits lead to ultrasmall PCs. Intel and AMD unleash massively multicore CPUs. Samsung TVs respond to your every gesture. These and other developing technologies will fundamentally change the way you think about--and use--technology.

15 Hot New Technologies That Will Change EverythingThe Next Big thing? The memristor, a microscopic component that can "remember" electrical states even when turned off. It's expected to be far cheaper and faster than flash storage. A theoretical concept since 1971, it has now been built in labs and is already starting to revolutionize everything we know about computing, possibly making flash memory, RAM, and even hard drives obsolete within a decade.

The memristor is just one of the incredible technological advances sending shock waves through the world of computing. Other innovations in the works are more down-to-earth, but they also carry watershed significance. From the technologies that finally make paperless offices a reality to those that deliver wireless power, these advances should make your humble PC a far different beast come the turn of the decade.

In the following sections, we outline the basics of 15 upcoming technologies, with predictions on what may come of them. Some are breathing down our necks; some advances are still just out of reach. And all have to be reckoned with.

* Memristor: A Groundbreaking New Circuit and 32-Core CPUs From Intel and AMD
* The End of Stand-Alone Graphics Boards, USB 3.0 Speeds Up Performance on External Devices and Wireless Power Transmission
* 64-Bit Computing Allows for More RAM, Windows 7: It's Inevitable and Google's Desktop OS
* Gesture-Based Remote Control, Radical Simplification Hits the TV Business and Curtains for DRM
* Use Any Phone on Any Wireless Network, Your Fingers Do Even More Walking, Cell Phones Are the New Paper and Where You At? Ask Your Phone, Not Your Friend
* 25 Years of Prediction

Next page: The Future of Your PC's Hardware

Submergée, Europeana ferme pour quelques semaines | Internet

La bibliothèque européenne en ligne Europeana, submergée de demandes des internautes, a été fermée moins de 24 heures après son lancement, et probablement jusqu'à la «mi-décembre».
Pour en savoir plus
Google

Un message sur le site www.europeana.eu indiquait vendredi que celui-ci était «temporairement inaccessible en raison d'un intérêt débordant».

«Nous faisons notre maximum pour rouvrir Europeana dans une version plus robuste le plus vite possible», ajoutait-il, en promettant de revenir «d'ici mi-décembre».

«On a dû prendre cette triste décision hier soir - quand on s'est approché des 20 millions de clics par heure - de réduire la pression sur le site en le fermant provisoirement», a précisé un porte-parole de la Commission européenne.

La demande était «trop massive», a-t-il reconnu, «Europeana n'y était pas préparée».

Les concepteurs d'Europeana avaient tablé sur 5 millions de visiteurs par heure.

Cette prévision avait été dépassée dès la mise en ligne jeudi, avec 10 millions de visiteurs, contraignant le site à fermer quelques heures à la mi-journée.

Le nombre de serveurs avait alors été doublé, passant de 3 à 6, afin d'augmenter la capacité.

Le site avait de nouveau fonctionné dans l'après-midi, mais avec des débits ralentis.

Europeana, réponse des Européens au projet de numérisation de livres de l'américain Google, proposait jeudi pour son lancement d'accéder aux versions numérisées de plus de deux millions de livres, manuscrits, peintures, cartes, photos, documents audiovisuels...

La bibliothèque est censée monter en puissance, avec l'objectif d'atteindre au moins 10 millions d'oeuvres en 2010.

jeudi 20 novembre 2008

Windows Live OneCare sera gratuit - Actualité techno - Sécurité

liveonecare.jpgDeux ans après la sortie Windows Live OneCare, Microsoft change son fusil d'épaule et offrira gratuitement un nouveau logiciel antivirus dans la deuxième moitié de 2009.

À compter du 30 juin prochain, Microsoft abandonnera la vente de Windows Live OneCare, dont l'abonnement annuel coûte une cinquantaine de dollars. Puis, dans les mois suivants, l'entreprise offrira en téléchargement son nouveau logiciel antivirus, pour le moment appelé « Morro ».

Selon Microsoft, « Morro » sera un logiciel moins volumineux et plus efficace que son prédécesseur. Il sera entre autres conçu afin de fonctionner dans des ordinateurs de faible puissance.

Avec cette stratégie, l'entreprise américaine semble vouloir s'attaquer plus férocement à deux de ses principaux concurrents dans le domaine de la sécurité informatique, McAfee et Symantec. Les deux entreprises de sécurité informatique soutiennent en revanche que Microsoft abandonne son logiciel payant car OneCare n'a jamais réussi à prendre plus de deux pour cent du marché.

Le succès de OneCare était pour le moins mitigé. En 2007, le logiciel de Microsoft avait notamment échoué un test mené par une équipe de chercheurs autrichiens. Selon les chercheurs du projet AV-Comparatives, Live OneCare était le seul parmi dix-sept logiciels antivirus à avoir échoué leur test, ne détectant que 82,4% des 500.000 virus qu'ils lui avaient soumis.
par Christian Leduc

mardi 18 novembre 2008

Protégez-Vous vient de lancer son «Guide pratique des technologies» | Produits électroniques

Les Éditions Protégez-Vous viennent de lancer leur «Guide pratique des technologies», grâce auquel le consommateur devrait être mieux armé pour faire face au vendeur qui tentera de lui faire acheter un ordinateur ou un téléviseur.

Le «Guide pratique des technologies» est construit autour de trois grands thèmes: les ordinateurs et les accessoires informatiques, la télévision et le cinéma maison, et la photo numérique.

Il décrit dans un langage qui se veut clair le fonctionnement et les caractéristiques des divers types d'appareils, et comprend un lexique des termes techniques utilisés par les fabricants et les vendeurs.

Le magazine de 88 pages a surtout pour but d'aider le consommateur à bien identifier ses besoins. Quand il l'aura déposé, l'acheteur devrait aussi avoir une bonne idée du montant qu'il devra débourser et des accessoires dont il aura besoin.

On n'y compare cependant pas de modèles ou de marques, les bancs d'essai - plus ponctuels - se retrouvant plutôt dans les pages du magazine mensuel.

Lancement jeudi de la bibliothèque numérique Europeana | Internet

Agence France-Presse
17 novembre 2008 | 13 h 39


La bibliothèque numérique européenne Europeana, un «rêve devenu réalité», sera lancée jeudi, a indiqué lundi Viviane Reding, commmissaire européen en charge de la société de l'information et des médias, lors du Forum d'Avignon sur la culture et l'économie.
Pour en savoir plus
Éducation en ligne

À partir du 20 novembre, plus de deux millions d'objets culturels numérisés seront accessibles gratuitement pour les internautes qui iront sur le portail www.europeana.eu., a-t-elle précisé. Le service sera disponible en 21 langues. «L'objectif est d'atteindre voire de dépasser 10 millions d'objets culturels d'ici 2010», a souligné Mme Reding.

Cette «alliance inédite» entre les nouvelles technologies et le monde de la culture est le fruit d'une «collaboration sans précédent» entre plusieurs centaines d'institutions culturelles de l'Union européenne, a-t-elle indiqué.

La France est le principal contributeur (52% des oeuvres mises à disposition), a souligné Viviane Reding.

Pour le moment seul 1% du contenu des bibliothèques nationales en Europe est numérisé. Ce chiffre devrait passer à 4% d'ici 2012.

«C'est le début d'une fabuleuse aventure», a considéré Mme Reding, en soulignant qu'«Europeana offrira un visage à la culture européenne sur internet». Elle permettra par exemple d'avoir accès à des ouvrages de la littérature française (manuscrits de Zola, Balzac), à la reproduction numérique d'un autoportrait de Rembrandt authentifiée par le Rjiksmuseum à Amsterdam, à des cartes détenues par la bibliothèque slovène ou encore à des partitions musicales hongroises.

Europeana - Connecting Cultural Heritage

Europeana: digital paintings, books, films and archives

Europeana – the European digital library, museum and archive – is a 2-year project that began in July 2007. It will produce a prototype website giving users direct access to some 2 million digital objects, including film material, photos, paintings, sounds, maps, manuscripts, books, newspapers and archival papers. The prototype will be launched in November 2008 by Viviane Reding, European Commissioner for Information Society and Media.



The digital content will be selected from that which is already digitised and available in Europe’s museums, libraries, archives and audio-visual collections. The prototype aims to have representative content from all four of these cultural heritage domains, and also to have a broad range of content from across Europe.



The interface will be multilingual. Initially, this may mean that it is available in French, English and German, but the intention is to develop the number of languages available following the launch.



The development route, site architecture and technical specifications are all published as deliverable outcomes of the project. After the launch of the Europeana prototype, the project's final task is to recommend a business model that will ensure the sustainability of the website. It will also report on the further research and implementation needed to make Europe’s cultural heritage fully interoperable and accessible through a truly multilingual service. The intention is that by 2010 the Europeana portal will give everybody direct access to well over 6 million digital sounds, pictures, books, archival records and films.



Europeana is a Thematic Network funded by the European Commission under the eContentplus programme, as part of the i2010 policy. Originally known as the European digital library network – EDLnet – it is a partnership of 90 representatives of heritage and knowledge organisations and IT experts from throughout Europe. They contribute to the Work Packages that are solving the technical and usability issues and developing the specifications for the prototype.



The project is run by a core team based in the national library of the Netherlands, the Koninklijke Bibliotheek. It builds on the project management and technical expertise developed by The European Library, which is a service of the Conference of European National Librarians.



Overseeing the project is the EDL Foundation, which includes key European cultural heritage associations from the four domains. The Foundation’s statutes commit members to:

* Providing access to Europe’s cultural and scientific heritage though a cross-domain portal
* Co-operating in the delivery and sustainability of the joint portal
* Stimulating initiatives to bring together existing digital content
* Supporting digitisation of Europe’s cultural and scientific heritage

Le web 2.0 offre de nouveaux outils aux extrémistes | Internet

Agence France-Presse
18 novembre 2008 | 07 h 35

Les groupes extrémistes ont trouvé dans les sites de socialisation, comme MySpace ou Facebook, et de partage vidéo, comme YouTube, de nouveaux et puissants outils pour diffuser leurs messages de haine et recruter des adeptes, selon des experts réunis lundi à Washington.
Pour en savoir plus
Facebook | MySpace | YouTube

«MySpace, Facebook et YouTube sont les applications incontournables sur internet aujourd'hui et elles sont utilisées par des millions de personnes. Mais le virus de la haine les a de toute évidence infectées», a affirmé Christopher Wolf, président du Réseau international contre la haine sur internet (INACH), lors du sommet mondial sur les discours de haine sur internet.«Internet continue d'être exploité par des extrémistes de tous bords: antisémites, négationnistes, racistes, homophobes et terroristes», a-t-il dit à l'ouverture du sommet organisé jusqu'à mardi à l'Ambassade de France de Washington.

Selon lui, les possibilités offertes par le web 2.0, comme les réseaux de socialisation, les sites de partage vidéo et les messageries instantanées, ont considérablement enrichi «les moyens disponibles sur internet pour ces messagers de la haine».

«Les néonazis sont très présents sur les réseaux de socialisation pour recruter la prochaine génération et infiltrer des groupes de jeunes», a ainsi assuré Stefan Glaser, cofondateur de INACH et responsable d'un site allemand de protection des mineurs sur internet, Jugendschutz.net.

Les néonazis, mais aussi d'autres groupes extrémistes, «créent une communauté, une communauté de haine, avec de graves conséquences», a renchéri Deborah Lauter, directrice nationale des droits civiques de la Ligue anti-diffamation (ADL).

Et Mme Lauter de citer l'exemple du meurtre d'une femme, recrutée par le Ku Klux Klan (KKK) sur MySpace puis tuée début novembre dans les marais de Louisiane (sud) par le responsable local du KKK alors qu'elle tentait de fuir un rite initiatique du groupe.

«Dans le web 2.0 d'aujourd'hui, avec tout le contenu généré par les utilisateurs, les réseaux sociaux comme Facebook et MySpace, les ordinateurs portables, et les connections internet branchées en permanence, chaque aspect d'internet est utilisé par des extrémistes pour dépoussiérer les vieilles haines et recruter de nouveaux adeptes», a expliqué M. Wolf.

De fait, selon M. Wolf, «l'apparition de nouvelles technologies, et leur adoption par les extrémistes, ont des effets bien plus pernicieux que les sites internet statiques sur lesquels nous nous concentrions pour la plupart ces dernières années».

Car le Web 2.0 permet aux extrémistes de diffuser «non plus seulement des textes, mais des messages audios et, de plus en plus, vidéos», a-t-il ajouté.

«Sur YouTube, par exemple, il y a des milliers de vidéos qui sont envoyées avec des messages racistes, antisémites, homophobes et intolérants envers les minorités, a-t-il détaillé. Il y a des pages sur Facebook et MySpace qui font la promotions des droits civiques, mais il y en a encore bien plus qui diabolisent les juifs, les musulmans, les gays et les autres minorités».

«Tout ceci est interdit par les gestionnaires de Facebook et MySpace» et «si nous leur signalons ces pages, elles sont supprimées la plupart du temps, a-t-il noté. Mais pour chaque page que nous faisons fermer, il y en a au moins une qui la remplace».

Pour Brian Marcus, analyste au département de la Sécurité intérieure américain, «extrémistes et terroristes sont tout simplement comme les autres utilisateurs» : «Ils s'adaptent aux nouvelles moyens et aux nouvelles technologies avec une incroyable vitesse».

Le risque étant de les voir dotés de «possibilités et d'une dimension» sans précédent.

lundi 17 novembre 2008

L'USB 3.0 dans les starting-blocks

connectique

La nouvelle génération de connecteurs « plug and play », baptisée SuperSpeed USB, devrait être dévoilée le 17 novembre prochain en Californie à l'occasion de l'USB Implementers Forum.
Philippe Crouzillacq, 01net., le 10/11/2008 à 15h03

Après l'USB 1.1 et ses 12 Mbit/s de vitesse maximum théorique, après l'USB 2.0 et ses 480 Mbit/s, le petit monde de l'Universal Serial Bus, et plus largement de la connectique informatique, va connaître le 17 novembre 2008 une petite évolution en termes de débit et de transfert de données, avec la présentation de l'USB 3.0, rebaptisé pour la circonstance SuperSpeed USB.
L'USB sans fil, poussé vers la sortie ?
Cette nouvelle génération de connecteurs plug and play sera capable de transférer 5 Gbit de données par seconde, soit dix fois plus qu'actuellement. Le nouveau standard est soutenu par tous les grands acteurs de l'industrie (à commencer par Hewlett-Packard, Intel, NEC, NXP Semiconductors, Microsoft, Dell, ou bien encore Texas Instrument...).
Les spécifications du nouveau standard ont été mises en ligne par Intel. Nvidia et AMD avait un temps menacé de développer leurs propres normes et reprochait à Intel de ne pas partager suffisamment d'informations sur le futur standard.
Une autre alternative au futur de l'USB, était une version sans fil, baptisée UWB, mais l'avenir de ce protocole est désormais très incertain. Selon le blog spécialisé Engadget, Intel a en effet annoncer mercredi 5 novembre son intention d'abandonner tout effort de développement en la matière.

mercredi 5 novembre 2008

Linux: l'Allemagne migre - Actualité techno - International

Le ministère des affaires étrangères de l'Allemagne a annoncé qu'il migrerait ses 11 000 ordinateurs de tables vers Linux et des solutions libres.

La plupart des postes migrés ne coûtent désormais qu'environ mille euros par an, alors que ceux traditionnels, des autres ministères, notamment, en coûte environ trois mille.

Jusqu'à présent, près de 4000 postes ont été migrés; environ la moitié des 230 ambassades et consulats ont réussi la transition. «Évidemment, ce n'est pas sans problème; on a mis beaucoup de temps pour trouver un développeur japonais qui pourrait nous aider avec un problème de polices dans Open Office,» note Rolf Schuster, diplomate et participant à la Conférence modiale sur le logiciel libre qui se tenait la semaine dernière à Málaga, au sud de l'Espagne.

Depuis 2001, la plupart des ordinateurs du système dorsal fonctionne sous Linux. L'équipe technique était réticente: «Ils ne connaissaient ni Linux, ni les logiciels libres. Nous leur avons montré la base, et ils ont vu que ça fonctionnait.»

La totalité des ordinateurs du ministère, qui compte désormais les plus faibles coûts technologiques du"

Un Wiki pour le gouvernement fédéral - Actualité techno -

Il y a un an, le projet NRC Wiki de Ressources naturelles Canada naissait, dans le but de permettre aux 5000 employés du ministère de partager plus efficacement l'information. Voilà que 1900 employés l'utilisent activement et que l'initiative du ministère pourrait bien faire des petits.

En effet, GCPedia pourrait bientôt naître. En prenant connaissances des impressionnants résultats obtenus par NRC Wiki, le Conseil du trésor a décidé de l'utiliser comme plateforme de lancement pour un Wiki plus grand, utilisé dans tous les ministères du gouvernement fédéral.

Depuis quelques années, le Wiki est utilisé dans plusieurs grandes entreprises à des fins de formation continue.

En entrevue avec l'Ottawa Citizen, Marj Akerley révélait que l'audacieuse initiative pourrait éventuellement être ouverte au grand public et utilisée pour mener des consultations, par exemple. Mais pas pour l'instant: «On doit prendre un pas à la fois; il faut changer la culture, et les gens au sein du gouvernement du Canada n'aiment pas particulièrement prendre des risques,» explique-t-elle.
par Gabriel Rodrigue"

jeudi 30 octobre 2008

É.-U. : un quotidien abandonne le papier - Actualité techno - Internet

É.-U. : un quotidien abandonne le papier
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Aux États-Unis, le Christian Science Monitor, un quotidien traitant d'actualité internationale, sera, à compter d'avril, disponible en ligne seulement.

Le Christian Science Monitor, créé en 1908 par la fondatrice du mouvement religieux Science chrétienne, n'a conservé de religieux, avec le temps, que son nom ainsi qu'un article à caractère religieux dans chacune de ses éditions. Le journal, qui se spécialise dans la couverture de l'actualité internationale, subsiste, selon le Los Angeles Times, en partie grâce aux revenus que lui assurent ses abonnés, mais également grâce à la contribution de l'église Science chrétienne.

En abandonnant sa version papier, le Christian Science Monitor devra maintenant compter sur des revenus publicitaires pour assurer sa pérennité. Cependant, en abandonnant le papier, le coût de production annuel du quotidien sera réduit de plusieurs millions de dollars.

«Je ne suis pas certains que le reste de l'industrie nous suivra, mais je pense qu'ils nous observerons», a déclaré le rédacteur en chef du CSM, John Yemma au L.A. Times.

«Ils font quelque chose de nouveau et de novateur», a déclaré au L.A. Times, Lou Ureneck, chef du département de journalisme à l'Université de Boston. «D'autre part, ils s'éloignent de la tradition, et lorsque nous parlons de journalisme et de la couverture de l'actualité, il y a un certain poids et une continuité associés à la tradition, ce qui apporte au journal sa crédibilité».

Le Christian Science Monitor sera exclusivement publié en ligne à compter d'avril 2009. Un magazine hebdomadaire remplacera toutefois l'édition papier quotidienne.

Lire aussi: Annonce choc dans le monde des médias : Le Christian Science Monitor abandonne le papier au profit du Web

jeudi 23 octobre 2008

Bloguer ou twitter ? - Actualité techno - Internet

Bloguer ou twitter ?
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Pour Paul Boutin, qui signe un article dans le magazine Wired, le blogue est dépassé. La tendance serait à la brièveté, à la Twitter.

Pour le journaliste de Valleywag, qui vient de signer un article pour le magazine Wired, les sites tels que Twitter, Flickr et Facebook ont donné un coup de vieux aux blogues en raison de leur convivialité et de la brièveté des contenus qui y sont publiés.

Boutin souligne que l'époque, où les blogues amateurs pouvaient trôner au top 100 de Technorati ou se retrouver en tête des résultats de recherches par mots clés sur Google, est maintenant révolue. «Aujourd'hui, une recherche à propos du dernier discours de Barack Obama, par exemple, donnera une page Wikipedia, un article de Fox News, et quelques entrées du site professionnel Politico.com. Les chances que votre note figure en tête de la liste? Pratiquement zéro», écrit Boutin.

Selon lui, l'arrivé des blogues professionnels sur la toile, ceux qui trônent désormais au top 100 de Technorati, ont eux l'effet d'un tsunami sur la blogosphère. Si l'envol des blogues, il y a quelques années, était en partie dû au fait que peu de plateformes de diffusion multimédia existaient, leur désuétude serait, selon Boutin, dû au fait que les plateformes multimédia se sont multipliées depuis. Pour le plus grand bonheur des Facebook, Flickr, YouTube et Twitter de ce monde...

Lire aussi: L'évolution du blogue

vendredi 17 octobre 2008

Un ordinateur par élève : nouveau modèle - TIC et éducation au Canada : l’Infobourg

Un ordinateur par élève : nouveau modèle
Par Martine Rioux, APP

États-Unis –En matière d’intégration des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans les écoles, il n’y a pas de modèle unique. Mike Huffman, du Département de l’Éducation de l’État de l’Indiana aux États-Unis, présente le programme inACCESS, qui vise à mettre un ordinateur à la disposition de chaque élève.

Mike Huffman travaille au Département de l’Éducation de l’Indiana depuis 35 ans. Pour lui, lorsqu’il s’agit d’éducation, il n’existe qu’une certitude. « Il faut miser sur les élèves et il faut les aider à réussir avant tout ». Il est également convaincu que cette réussite passe désormais par la technologie.

« Combien d’ordinateurs utilisez-vous chaque jour? », a-t-il demandé à son auditoire lors d’une conférence qu’il a donnée à la Commission scolaire de Laval le 7 octobre 2008. La plupart des gens ont répondu deux, trois et même quatre ordinateurs. « Pourquoi les élèves devraient-ils se contenter d’un ratio d’un ordinateur pour quatre élèves? Selon moi, le minimum acceptable est d'un ordinateur par élève », a-t-il lancé ensuite.

Depuis le début des années 2000, M. Huffman a vu l’État de l’Indiana investir des centaines de millions de dollars pour aider les écoles à acquérir des ordinateurs et autres technologies, pour entrer dans la vague techno. Pourtant, le ratio d’un ordinateur pour quatre élèves n’a jamais bougé.

Les élèves ont continué de visiter le laboratoire d’informatique à raison d’une période par semaine (en moyenne). Les parcs informatiques étaient constamment à renouveler parce que les ordinateurs devenaient vite dépassés. Les enseignants qui utilisaient des laboratoires mobiles perdaient énormément de temps à distribuer et récupérer les ordinateurs.

La situation devenait insupportable à ses yeux. Il a entrepris de trouver une nouvelle façon de faire, moins coûteuse, plus efficace. « Et ce n’est pas uniquement une question de ratio. Il faut toujours le voir en fonction des jeunes. À la maison, ils sont à la fine pointe de la technologie. À l’école, les équipements sont désuets et nous voudrions qu’ils soient motivés! »

One2One
Le programme inACCESS (Affordable Classroom Computers for Every Secondary Student) a été mis en place en 2003. L’objectif du projet n’est pas que chaque élève possède un ordinateur à lui, mais bien qu’il y ait autant d’ordinateurs disponibles dans chaque classe qu’il y a d’élèves. Bref, la technologie doit être accessible en tout temps, au moment où l'on en a besoin… et tout doit fonctionner!

Le programme a débuté avec trois écoles pilotes: cinq classes d’un même département par école. Par exemple, cinq classes de français, de maths ou de sciences, afin d’encourager le partage de ressources entre les enseignants. Le nombre d’écoles participantes augmente chaque année depuis. Actuellement, 150 districts scolaires sont concernés par le projet, ce qui représente 150 000 élèves (et donc 150 000 ordinateurs!). M. Huffman espère toucher 200 districts d’ici la fin de l’année scolaire en cours, soit 200 000 élèves.

InACCESS s’adresse aux élèves des high schools, soit de la fin du secondaire (10e à 12e année). Éventuellement, il pourrait s’adresser aux élèves de 9e, 8e, 7e, etc. en descendant.

Mais, comment déployer autant d’ordinateurs en si peu de temps, tout en respectant des budgets serrés et en évitant de reproduire les erreurs du passé?

Quatre mots-clés ont guidé les choix du Département : abordable (affordable), durable (sustainable), répétable (repeatable) et échelonnable (scalable).

Résultat: chaque ordinateur n’a pas coûté plus de 300$, plus le coût du moniteur (voir les spécifications sur le site du projet). Linux, un système d’exploitation libre et gratuit, a été installé sur chaque appareil, de même qu’une sélection de logiciels gratuits. Ces appareils ont une durée de vie d’environ dix ans.

« Nous avons approché tous les fabricants de « Nous avons approché tous les fabricants de matériel informatique. Nous leur avons dit: "Voici notre budget. Qu’avez-vous à nous offrir?". Nous avons renversé la tendance. Pour une fois, ce n’est pas eux qui nous proposaient des solutions. C’était nous qui leur proposions d’embarquer dans notre modèle », se réjouit M. Huffman. « Nous avons fait nos achats en pensant à nos jeunes, en répétant que nous voulions leur offrir un accès fiable et durable à la technologie ».

La technologie est disponible
Lors du déploiement des ordinateurs, le Département de l’Éducation n’a pas organisé de session intensive de formation ou de développement professionnel pour les enseignants. « Nous sommes conscients qu’il est difficile de faire changer les choses, que plusieurs enseignants sont réticents à l’arrivée des TIC dans leur classe, qu’ils ont besoin d’un temps d’adaptation, qu’ils ne veulent surtout pas se sentir obligés de changer leurs pratiques », reconnaît M. Huffman.

Les ordinateurs ont donc simplement été placés dans les salles de classe ciblées. Comme les appareils sont installés sous les bureaux (voir photo), ils ne les encombrent pas et il est possible de faire la classe sans les utiliser. « Par contre, les élèves ont vite demandé aux enseignants s’il était possible d’ouvrir les ordinateurs. Certains ont refusé et ont résisté pendant quelques semaines. Mais, ils finissent tous par céder à la tentation. Après, c’est magique », soutient M. Huffman.

Des élèves prennent leurs notes de cours directement à l’ordinateur, d’autres font des recherches complémentaires sur le Web. Tous ont accès à la plate-forme d’apprentissage en ligne Moodle où certains enseignants déposent maintenant des plans de cours. Des enseignants d’une même matière dans une école qui ne se parlaient pratiquement pas ont commencé à échanger du matériel.

Comme les ordinateurs sont en réseau, l’enseignant peut voir ce que les élèves font sur leur ordinateur. « Mais, croyez-moi, ils travaillent! Le nombre d’avertissements pour indiscipline est en chute. Le taux d’absentéisme a énormément diminué », se félicite M. Huffman.

Évidemment, la grande question que plusieurs se poseront est la suivante : les élèves réussissent-ils mieux? Pour ceux qui sont avides de statistiques, le School Data de l’Indiana en offre un grand nombre.

Pour M. Huffman, les résultats sont probants. « Après une baisse dans les résultats aux tests d’État, certaines écoles sont en remontée. Par contre, oublions les tests un instant, une visite dans les écoles suffit pour constater jusqu’à quel point les élèves sont engagés dans leur apprentissage. Je suis entré dans une classe et j’ai eu l’impression de déranger les élèves. Avant, quand j’entrais dans une classe, j’avais une trentaine de paires d’yeux qui me regardaient tout contents d’avoir de la visite! ».

Le programme inACCESS n’a pas fini d’être implanté en Indiana. L’expérience mérite certainement d’être suivie de près. D’autant plus que l’État de l’Indiana, parmi les plus pauvres des États-Unis, possède une démographie semblable à celle du Québec : 6,5 millions d’habitants, un peu plus d’un million d’élèves de la maternelle jusqu’à la fin du secondaire, des zones urbaines, plusieurs régions rurales.

Incontournable : Visionnez cette vidéo pour une présentation complète du fonctionnement du programme inACCESS au quotidien dans les écoles. (en anglais)

Par Martine Rioux, APP

jeudi 16 octobre 2008

Internet, bon pour la santé mentale? - Actualité techno - Internet

mercredi 15 octobre 2008 à 8H05

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L'utilisation régulière d'Internet est stimulante pour le cerveau des adultes et des personnes âgées, révèle une nouvelle étude publiée cette semaine par des chercheurs de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA).

Selon ces chercheurs, qui ont publié les résultats de leur étude clinique dans l'American Journal of Geriatric Psychiatry, faire des recherches sur le Web stimule les régions du cerveau qui permettent de faire des raisonnements complexes et de prendre des décisions.

Les chercheurs avancent même que l'utilisation d'Internet pourrait prévenir le ralentissement des activités cérébrales en vieillissant. La navigation sur le Web s'inscrirait donc avec la lecture, les jeux de lettres et les casse-têtes parmi les activités qui minimisent l'impact du vieillissement du cerveau.

L'étude a été réalisée auprès de 24 participants âgés entre 55 et 76 ans. La moitié d'entre eux étaient des internautes réguliers, alors que les autres n'avaient que peu d'expérience avec un ordinateur. Des tests d'imagerie cérébrale ont été réalisés alors que les participants utilisaient Internet ou lisaient un livre.

Bien que la lecture ait généré chez les participants des activités cérébrales dans les régions du cerveau contrôlant le langage, la mémoire et la lecture, elle n'avait pas le même impact qu'Internet sur la capacité de prendre des décisions et de faire des raisonnements complexes.

Selon les chercheurs, le fait que l'utilisation d'Internet est une expérience interactive nécessitant que les internautes fassent des choix est le principal élément qui stimule leur capacité de prendre des décisions. Toutefois, ce résultat est moins concluant du côté des participants qui ne sont pas habitués à utiliser Internet, notamment parce que leur apprentissage entrave leur rapidité à prendre une décision.
par Christian Leduc

jeudi 9 octobre 2008

Les logiciels libres progressent en Europe - Actualité techno - International

Les logiciels à code source libre sont en progression dans les entreprises européennes, soutient une firme de sondage.

Selon Actuate Corporation, qui a réalisé un sondage auprès de mille responsables informatiques d'entreprises françaises, britanniques, allemandes et nord-américaines, les logiciels libres sont de plus en plus perçus comme une alternative crédible aux logiciels payants.

En France, 61, 6 % des répondants affirment que l'acquisition d'un logiciel libre est l'une de leurs options préférées. En Allemagne, la proportion de responsables informatiques tentés de faire le saut du côté des logiciels libres est encore plus élevée, soit de 63,4 %.

Le pourcentage de personnes estimant que les avantages des logiciels libres dépassent leurs inconvénients est cependant variable. Moins de la moitié (48,6 %) des responsables informatiques allemands soutiennent que ces logiciels ont plus d'avantages que d'inconvénients, contre 53,5 % aux États-Unis, 54 % au Royaume-Uni et 65,4 % en France.

Les entreprises font preuve de prudence avec les logiciels libres car ils évoquent qu'ils sont durs à installer. Ils craignent également que le soutien technique à long terme ne soit pas garanti.

La publication du sondage d'Actuate survient quelques mois après celle d'une étude similaire de la firme de recherche Forrester. Dans ce document, les chercheurs de Forrester démontraient que les logiciels étaient désormais utilisés dans 24 % des entreprises françaises, 21 % des entreprises allemandes, 17 % des entreprises américaines et 15 % des entreprises britanniques.

mardi 30 septembre 2008

Avez-vous votre "avatar" ? Jean-Philippe Accart - Home

Un site à consulter souvent ...celui de Jean-Philippe Accard un bibliothécaire Suisse très au fait des techno et de l'évolution des biblio.
http://www.jpaccart.ch/

« Un « avatar » désigne l'apparence que prend un internaute dans un univers virtuel, voire dans des forums de discussion. Choisi par l'utilisateur lui-même, l'avatar le représentant apparaît à chaque fois que celui-ci se connecte à un univers virtuel ou écrit un message dans un forum, afin qu'on l'identifie visuellement. » (Définition Wikipedia). avatarD'après le Gartner Report publié en 2007, plus de 80 % des internautes auront leur avatar sur Second Life d'ici 2011. Second Life est un monde virtuel en trois dimensions lancé en 2003 et considéré comme une des applications du Web social ou Web 2.0. C'est un espace d'échange visant à être aussi vrai que la vie réelle, où l'utilisateur (« le résident ») peut vivre une sorte de « seconde vie » dans un monde qu'il modèle et façonne. Quelques exemples : The Library 2.0 est un réseau international de bibliothèques réelles de plus de vingt universités (Standford, UCLA, Dublin, Guelph...), souhaitant développer leur présence sur Second Life. Plus de 630 bibliothécaires et documentalistes réels y sont affiliés. McMaster University Library a lancé en 2007 un service de référence virtuel sur Second Life, dans le secteur Infoisland, Cibrary City (Second Life est divisé en îlots thématiques, et les bibliothèques et services d'information sont regroupés dans le secteur Cibrary City). Alliance Library System est une expérience identique qui rassemble des professionnels de référence sur l'ensemble du territoire américain : en 2007, plus de 6500 utilisateurs de Second Life ont posé quelque 2400 questions au service de référence virtuel.

Serez-vous parmi les 80% d'internautes ayant un avatar en 2011 ?

JP Accart

cop. octobre 2008

Pourquoi craindre le logiciel libre ? | Logiciels

Michael Wybo, La Presse
29 septembre 2008 | 08 h 16 | 18 commentaires


Au cours de l'année 2008, deux organisations québécoises ont signalé leur intention à la Cour supérieure de Québec de poursuivre le gouvernement pour ne pas avoir passé par un processus d'appel d'offres pour son approvisionnement en logiciels.
Pour en savoir plus
Logiciels | Linux

En plus de voir les achats par attribution comme étant en dérogation avec ses propres règles et un frein à la libre concurrence, ces organisations soutiennent que le gouvernement renonce à des économies importantes en passant directement aux nouvelles versions des logiciels propriétaires au lieu de considérer l'acquisition de logiciels libres.



Pour sa part, le gouvernement justifie son action en soulignant que certains de ces achats sont de simples «mises à jour», et non des achats de nouveaux logiciels. Ce à quoi les organisations plaignantes répliquent que le logiciel libre pourrait facilement remplacer le logiciel propriétaire, sans perte de fonctionnalité, tout en procurant des économies substantielles.

Selon ces organisations, le gouvernement agit comme s'il était une filiale des grands éditeurs de logiciel. Comme d'habitude, la vérité se retrouve quelque part entre ces deux positions extrêmes.

Ce qu'il n'est pas

Il est d'abord utile de clarifier ce que le logiciel libre n'est pas. Le logiciel libre n'est ni une technologie ni un processus de développement de logiciel. Il n'est pas obligatoirement gratuit, ni nécessairement plus performant, plus sécuritaire, ou plus facile à utiliser qu'un logiciel propriétaire, et ne représente certainement pas la fin de l'industrie du logiciel.

Ce qu'il est d'abord et avant tout, c'est un logiciel. Cela veut dire qu'il faut le conceptualiser, en définir les spécifications, le développer, le tester, l'implanter, le maintenir et le supporter dans son utilisation. Ce qui lui confère son aspect «libre», ce sont les termes de la licence sous laquelle il est distribué.

En bref, la licence d'un logiciel propriétaire donne normalement à l'utilisateur des droits de locataire: il peut utiliser le logiciel, mais il ne lui appartient pas. Par contre, la licence libre confère des droits de propriétaire. L'utilisateur a le droit d'installer le logiciel sur autant d'ordinateurs que désiré, le modifier selon ses besoins et le distribuer avec ou sans ses modifications. Il peut même demander d'être payé pour distribuer des copies, avec ou sans ses modifications. Par exemple, le logiciel Ubuntu, une version de Linux, peut être téléchargé gratuitement du site Ubuntu.com. Il est aussi vendu par Amazon.com pour 12$ la copie, plus les frais d'expédition!

L'équipement

Le plus important malentendu que nous ayons rencontré lors de nos recherches est que d'adopter un logiciel libre implique automatiquement que l'organisation doive aussi être équipée pour le développer, l'entretenir et le supporter. Une autre perception très répandue est que l'entreprise sera à la merci d'un groupe de «hackers» anonymes pour ces services essentiels.

La réalité est que la majorité des logiciels libres sont distribués par des organisations ayant pignon sur rue, avec du personnel permanent et des services de soutien à prix compétitif. Bien entendu, un logiciel libre donne la possibilité à son utilisateur de faire son propre développement, entretien et support, mais il ne l'oblige pas à le faire.

Le fait que le logiciel soit ouvert signifie aussi qu'il est possible de développer des compétences locales pour fournir ces services. Aucun logiciel n'est réellement «gratuit» en ce qui concerne son déploiement et son utilisation dans une organisation.

Mais dans le cas du logiciel libre, le choix du fournisseur et le niveau de soutien demeurent sous l'entière responsabilité de l'organisation qui adopte le logiciel en question.

Cet aspect devrait être explicitement pris en considération dans le choix de logiciels par des institutions publiques qui ont un rôle à jouer dans l'économie locale.

Il est tout à fait possible que les coûts d'acquisition d'un logiciel libre (sans frais de licence) et de son contrat d'entretien soient plus ou moins équivalents à ceux d'un logiciel propriétaire dont l'entretien est inclus dans les frais de licence.

Les fonctionnalités

La décision d'adopter un logiciel, qu'il soit libre ou propriétaire, doit être basée sur l'évaluation de ses fonctionnalités, de sa performance et de sa compatibilité avec l'infrastructure TI déjà en place.

Cette décision doit aussi prendre en compte les coûts d'acquisition et d'utilisation des différentes options offertes.

Le logiciel libre offre en plus la possibilité d'exercer des droits de propriété et de déterminer par qui, comment et à quel prix les services essentiels seront fournis.

La meilleure façon d'éclairer une telle décision est encore un processus d'appel d'offres ouvert et transparent.

La semaine prochaine, nous traiterons de l'évaluation des droits de propriété qu'un logiciel libre peut procurer.

L'auteur est professeur agrégé à HEC Montréal: www.hec.ca/profs/michael.wybo.html

jeudi 25 septembre 2008

Le programme « Connected Urban Development » de Cisco indique l'avenir d’une ère de travail durable

SOURCE: CISCO SYSTEMS, INC.
24 sept. 2008 08h55 HE

Le premier centre de travail « Smart Work Center » ouvre ses portes dans la région d’Amsterdam au cours de la 2e conférence mondiale « Connected Urban Development »

AMSTERDAM, NETHERLANDS--(Marketwire - September 24, 2008) - Aujourd'hui, Cisco (R) (NASDAQ: CSCO) a annoncé une nouvelle façon de travailler de manière plus durable sous l’appellation « Connected and Sustainable Work » (Travail connecté et durable), conçue pour fournir aux villes, aux employeurs et aux citoyens un nouveau cadre qui permettra de favoriser la croissance économique, d’améliorer la qualité de la vie, et de relever les défis du changement climatique. L'annonce, marquée par l'ouverture du premier centre de travail Smart Work Centre (SWC) à Almere, Amsterdam, a mis en évidence la deuxième conférence mondiale Connected Urban Development (CUD), organisée par Cisco et la ville d'Amsterdam. La conférence suivra la conférence inaugurale CUD, présidée par Cisco et la ville de San Francisco, l’année dernière en février.

Le premier SWC est situé à Almere, communauté voisine d'Amsterdam et fournit des cadres de travail individuel ou collectif, grâce à des technologies de l'information et des communications (TIC), tout en améliorant le mode de vie, les objectifs de productivité, les modèles d'entreprise, et en réduisant les coûts de voyage et l’impact global des émissions de carbone.

Les centres SWC créent des cadres de travail individuel ou collectif grâce aux technologies de l’information et des communications pour permettre d’exploiter le travail souple et évolutif. Le concept de SWF offre de multiples applications selon les groupes de l'utilisateur qu'il soutient. Sa combinaison novatrice de technologies et de services comprend l'accès aux plates-formes de collaboration telles que Cisco TelePresence pour des réunions virtuelles de qualité supérieure, ainsi que les garderies, des services de restauration haut de gamme et des services financiers, complétés par un bon accès aux autoroutes et aux transports publics. Le SWF est également équipé d’aires de repos intégrées dans le lieu de travail et de grands espaces publics.

« La congestion du trafic et les changements climatiques ont rendu nécessaires la recherche de nouveaux moyens, ou en fait de nouveaux lieux de travail », a déclaré Job Cohen, maire d'Amsterdam. La ville d'Amsterdam, employant plus de 25 000 personnes, est un client de lancement du centre SWC à Almere. « La poursuite de l'innovation est essentielle pour une croissance durable. Amsterdam travaille déjà sur un plan de compensation d’émissions de CO2 pour rendre ses propres bâtiments ‘CO2 neutral’ d'ici 2015 ».

« Nous voulons investir dans la pratique patronale moderne et effectuer des changements de mode de vie afin de préserver l'environnement. Nous avons besoin de nouvelles connaissances pour nous aider à rendre nos modes de vie et nos processus de production le plus neutre possible en termes d'émissions de sources énergétiques et de CO2 », a déclaré Annemarie Jorritsma, maire d'Almere. « Almere est une ville innovatrice. Nous disposons d’un nouveau réseau de fibre optique à l’échelle de la ville, une nouvelle solution TIC à large bande pour la communication visuelle de qualité supérieure permettant aux entreprises de maintenir un contact visuel avec leur siège social qui se situe ailleurs — à la fois au sein et en dehors des Pays-Bas. C'est l'épitome de la mondialisation. En tant que conseillers municipaux, nous tenons à faciliter ces mesures. »

« Nous mettons en oeuvre une nouvelle approche sur la manière d'optimiser la journée de travail », a déclaré Bas Boorsma, chef de Connected Urban Development à Amsterdam, Internet Business Solutions Group (IBSG). « Si les principes de travail intelligent sont appliqués à grande échelle, alors le premier résultat qui en aboutirait serait : l'échange d'informations ne constitue plus une raison principale de transport physique, ce qui signifie moins d'énergie dépensée, moins de temps perdu et un meilleur équilibre travail-vie. »

Le SWC, qui hébergera d'abord les travailleurs de la ville d'Amsterdam, d’HP et de IBM, est un concept souple doté d’applications multiples, selon les groupes d'utilisateurs auxquels le centre s’adresse. Ses services comprennent l'accès aux plates-formes de collaboration telles que la technologie de réunion virtuelle sous la forme de Telepresence de Cisco, ainsi que d’une garderie, des services de restauration haut de gamme et des services financiers, complétés par un bon accès aux autoroutes et aux transports publics. Le SWC est également équipé d’aires de repos intégrées dans le lieu de travail et de grands espaces publics.

Le projet pilote SWC est l’un parmi un certain nombre de projets qui ont vu le jour depuis l’engagement de Cisco pris en 2006 pour soutenir l’objectif que s’est donné la Clinton Global Initiative pour réduire les émissions de carbone. Lancé à la fin de 2006, le programme « Connected Urban Development » (CUD) est un partenariat public-privé visant à remédier aux problèmes environnementaux uniques auxquels sont confrontées les zones urbaines et à développer des solutions TIC qui seront reproduites pour les villes dans le monde entier. Dans sa première phase, la CUD a établi des partenariats avec trois villes, à savoir San Francisco, Amsterdam et Séoul, et a annoncé que quatre nouvelles villes se joindront au programme en février 2007 : Madrid, Lisbonne, Hambourg et Birmingham.

À propos de la ville Almere

Almere est une nouvelle ville multicentrique, située à environ 20 km à l'est d'Amsterdam, fondée par le gouvernement néerlandais en 1971, et abrite actuellement environ 185 000 habitants. Si le gouvernement national pouvait faire ce que bon lui semble, Almere construirait une nouvelle ville autour de la ville existante. Almere continuera de croître — de 185 000 à 350 000 habitants en 2030, avec 60 000 nouvelles maisons, 100 000 nouveaux emplois et services annexes. Cette énorme expansion de la ville d'Almere offre une occasion unique d’aménager sur une grande échelle plus de renouvellement urbain durable à tous les niveaux. En même temps, l’envergure de cette augmentation apporte une énorme responsabilité. Un nombre trop important de résidents doivent se déplacer en dehors de la ville tous les matins pour se rendre au travail. Travailler dans votre propre ville réduit les embouteillages, augmente le temps libre et aboutit en un meilleur progrès économique. C’est pourquoi la ville d’Almere a le plaisir de présenter le premier centre Smart Work Centre.

À propos de Cisco

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