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lundi 29 décembre 2008

14 millions de Netbooks vendus en 2008 - Actualités - ZDNet.fr

Vincent Birebent, publié le 10 décembre 2008
Tags: netbook, chiffres

Business - Selon le cabinet DisplaySearch, le segment des netbooks a enregistré une croissance de 160 % entre le second et le troisième trimestre. Au total, les ventes mondiales devraient atteindre 14 millions d'unités en 2008.

Dans un marché des ordinateurs plutôt morose, le cabinet DisplaySearch confirme que le segment des netbooks tire son épingle du jeu. Selon les conclusions d'un rapport sur les ventes de PC, citées par le site taïwanais Digitimes, on apprend que la croissance des livraisons de netbooks a été de 160 % entre le second et le troisième trimestre 2008.

Sur ce trimestre, ce sont 5,6 millions de netbooks qui ont été vendus dans le monde. Globalement, DisplaySearch s'attend à ce que ce marché représente des ventes de l'ordre de 14 millions d'unités pour 2008 - contre moins d'un million en 2007.

Acer en tête des ventes, Asus perd du terrain

Principal gagnant de cet engouement, le taïwanais Acer, qui à travers ses trois marques phares (Acer, Gateway et Packard Bell) capte 38,8 % du marché sur l'année. À l'inverse, Asus, qui a largement contribué à développer ce marché avec son EeePC, perd du terrain et la tête de ce segment, avec 30,3 % de part de marché sur 2008.
Suivent HP et MSI, tout deux avec un peu moins de 6 % de PDM, puis Dell, Medion et les machines OLPC (One Laptop per Child) avec plus ou moins 2,5 % de PDM.

« A l'exception d'Apple, toutes les grandes marques du Top 10 (des vendeurs d'ordinateurs, NDLR) sont entrées sur ce marché du mini-PC, au départ pour répondre à la menace posée par Asus, mais aussi pour satisfaire la demande des consommateurs pour des produits d'entrée de gamme, fins et légers, qui offrent au moins une pincée de fonctions bureautiques basiques et permettent une plus grande mobilité » note John F Jacobs, analyste de DisplaySearch,

Il ajoute que « la demande mondiale pour ces produits est appelée à croître rapidement dans les années à venir avec une demande provenant de sources variées, allant des "early adopters" aux clients particuliers ou entreprises recherchant un second ou un plus petit PC, en passant par la demande des particuliers sur les marchés émergents. Nous nous attendons a ce que le marché des mini-PC atteigne environ 16 % du marché des portables à l'horizon 2011 ».

Retrouvez la sélection des meilleurs netbooks de l'année sur Businessmobile.fr

Par Vincent Birebent, ZDNet France

mardi 23 décembre 2008

Red Hat profite de la crise Actualité --- Silicon.fr ---

Croissance à deux chiffres pour l'éditeur de logiciels Open Source Red Hat. Pour son troisième trimestre 2008-2009, le groupe affiche un résultat net en hausse de 20% à 24,3 millions de dollars. Progression similaire pour le bénéfice par action qui s'établit à 0,24 dollar (hors éléments exceptionnels).

Les revenus progressent également de 22% à 165,3 millions de dollars avec des abonnements en hausse de 17% à 135 millions. Quant à la marge opérationnelle, elle flambe de 120 points à 23,2%.

"Dans cet environnement de restrictions budgétaires, les professionnels de l'informatique adoptent des logiciels libres et plus spécifiquement ceux de Red Hat pour économiser de l'argent et accroître leur compétitivité"' affirme le p-dg Jim Whitehurst.

Dans un entretien accordé récemment à silicon.fr, il ajoutait : "Depuis plusieurs semaines, la situation de crise nous a ouvert la porte d’un plus grand nombre d’entreprises. En effet, les DSI sont beaucoup plus ouverts aux discussions avec nos équipes, et les entreprises affichent aujourd’hui une stratégie Open Source. Les décideurs comparent sans complexe Unix à Linux, mais aussi Linux à Windows ou encore JBoss à BEA WebLogic ou à IBM Websphere. Et nous remportons de plus en plus d’affaires dans contexte.

La plupart des entreprises, et plus encore les PME/PMI, se fient fortement à ce que leur recommandent leurs prestataires, leurs intégrateurs, et parfois certains éditeurs. D’où l’importance pour RedHat de développer et d’entretenir des relations suivies avec les réseaux de revendeurs et de partenaires. Certes, de nombreuses entreprises choisissent Windows par défaut. Cependant, cela ne représente pas le meilleur choix technologique".

La crise serait donc un catalyseur pour les éditeurs Open Source. Reste à vérifier que les concurrents de Red Hat affichent la même bonne santé.

A lire : notre interview de Jim Whitehurst

lundi 22 décembre 2008

Téléchargement illégal: Vidéotron met ses clients en garde | Internet

André Simard, Technaute.ca
19 décembre 2008 | 13 h 30 | 118 commentaires


Des internautes, adeptes du partage de fichiers sur internet, ont eu la surprise de recevoir un courriel de Vidéotron faisant état d'une «utilisation illicite» de leur service internet.
Pour en savoir plus
The Pirate Bay | Vidéotron | P2P | Piratage et téléchargement illégal | Propriété intellectuelle et droits d'auteur

Il semble que l'étau se resserre autour des internautes qui téléchargent, sur des sites de peer-to-peer (P2P), du matériel protégé par le droit d'auteur, comme des jeux vidéo ou des films.

On peut lire dans l'avis transmis par Vidéotron que l'entreprise a «reçu une plainte qui affirme que des activités associées à votre adresse IP portent atteinte à des droits de propriété intellectuelle d'un tiers».

Eve Lacasse, relationniste chez Vidéotron, a confirmé vendredi à Technaute que l'entreprise avait bel et bien commencé à envoyer cet avis à certains clients aux cours des dernières semaines.


«Il s'agit d'une politique d'entreprise d'aviser nos clients lorsqu'ils font l'objet d'une plainte», précise-t-elle.

Si l'on se fie aux commentaires laissés sur certains forums, le courriel en question, ayant pour objet «Utilisation illicite de votre service internet», en a fait sursauter plus d'un.

Sur DSLReports.com, Mad_max_ écrit: «C'est la première fois que j'ai ce genre de courriel. Quelqu'un a-t-il des infos sur ce genre de procédure? C'est juste pour faire peur ou il faut que je reste low profile pour mes futurs téléchargements?»

L'internaute ajoute que «si Vidéotron commence à me casser les couilles sur ce que je peux faire et ne pas faire sur mon ordinateur, je vais vite passer chez la concurrence».

Mme Lacasse assure que Vidéotron n'espionne pas les activités de ses clients sur internet. «Nous n'avons pas de système de surveillance en place, autre que celui qui nous permet d'évaluer la quantité de bande passante utilisée par nos clients.»

«Ce sont des studios qui ont identifié les adresses IP de certains de nos clients qui nous envoient des plaintes, et nous leur transférons tout simplement», ajoute-t-elle.

La relationniste de Vidéotron n'a pas voulu préciser quels sont les studios qui portent plainte.

L'avis de Vidéotron mentionne cependant quel est le «matériel reproché selon la plainte». Dans les cas des internautes qui ont publié leur avis sur internet, il s'agit de jeux vidéos et de films téléchargés sur des sites comme The Pirate Bay.

Les jeux Fallout 3, Unreal Tournament 3, Syphon Filter et le film Kung Fu Panda sont cités.

L'avis précise que «Vidéotron n'entamera aucune mesure» contre ses clients, mais que «si des poursuites devaient être intentées par le plaignant, nous n'aurions d'autre alternative que de vous tenir responsable des dommages subis».

Mme Lacasse confirme que l'identité des clients ne sera dévoilée que «s'il y a des procédures légales» initiées par les studios.

D'ici là, Vidéotron suggère par courriel à ses clients de «cesser toute activité pouvant porter atteinte à un droit de propriété intellectuelle d'un tiers».

mercredi 17 décembre 2008

L'Internet d'ici 2020 - Actualité techno - Internet

par Marc-André Brouillard

Dans le cadre d'un sondage mené par le Pew Internet & American Life Project, 578 experts se prononcent sur l'avenir de la grande Toile d'ici 2020.

Dans le cadre du projet Imagining the Internet, le Pew Internet & American Life Project, en collaboration avec l'Université Elon en Caroline du Nord, vient de publier en ligne les résultats de leur sondage mené à tous les deux ans depuis 2004.

Les appareils mobiles deviennent les objets privilégiés pour naviguer sur Internet, la reconnaissance vocale et les écrans tactiles deviennent choses communes et plus de gens fréquentent les mondes virtuels, voilà en bref à quoi pourrait ressembler notre environnement web d'ici 2020 selon les 578 experts consultés.

La plupart des experts consultés (77%) croient que les téléphones mobiles, ou autres appareils mobiles, connaîtront les développements les plus significatifs dans les années à venir. En 2020, «le téléphone mobile est la connexion Internet principale et la seule pour une majorité de la population dans le monde entier à des coûts relativement bas», prédisent les experts.

Par ailleurs, 64% des experts consultés croient que les interfaces utilisateurs offriront davantage d'options vocales et tactiles d'ici 2020. N'en déplaise aux législateurs, 60% des répondants ne croient pas que la propriété intellectuelle sera efficacement protégée d'ici 12 ans. Pour ce qui est des mondes virtuels, ils sont promis à un bel avenir, selon plus de la moitié des experts (55%) qui croient que plusieurs personnes les fréquenteront en 2020.
Étiquettes: Imagining the Internet

Amazon et Microsoft à l'assaut des TI | Internet

Alain McKenna, La Presse
17 décembre 2008 | 08 h 10


En lançant la plate-forme Azure, Microsoft rejoint notamment Amazon et Google dans le marché émergent des serveurs informatiques sur mesure et des logiciels services. À l'heure où une majorité d'entreprises prévoient une baisse de leurs dépenses en technologies de l'information (TI), l'ère de l'informatique «dans le nuage» semble néanmoins promise à un bel avenir.
Pour en savoir plus
Amazon.com | Facebook | Google | IDC | Microsoft | Réseautage social | Moteurs de recherche | Serveurs

Avec son service EC2 (pour Elastic Compute Cloud), Amazon fait office de pionnière dans ce créneau, qui est appelé à exploser au cours des prochaines années, selon IDC. L'«informatique dans le nuage» représente actuellement 4% des dépenses des entreprises nord-américaines en TI. Cette proportion devrait passer à 9% d'ici 2012, et sa valeur tripler, de 16 à 42 milliards de dollars. Une croissance quatre fois plus rapide que pour le reste des TI (27% vs 7%).



Manifestement, c'est une formule qui semble plaire aux grandes entreprises. Un chercheur du cabinet Gartner révélait dans un sondage effectué il y a deux semaines, donc après la crise financière, que 20% d'entre elles utilisent déjà ces services, les deux tiers (65%) prévoyant y avoir recours d'ici 2012.

Sur mesure

L'informatique dans le nuage comprend les logiciels services grand public, comme la fameuse suite bureautique en ligne Google Docs, qui sont, en quelque sorte, la pointe de l'iceberg. Des serveurs sur mesure pour entreprises, comme EC2 et Azure, en constituent la grande portion immergée et s'adressent surtout aux entreprises. Celles qui cherchent une solution de rechange abordable à des serveurs dédiés coûteux à acquérir et à entretenir, précise Mark Relph, vice-président aux nouvelles plate-formes pour Microsoft Canada.

Le service EC2 d'Amazon a recours à des «machines virtuelles», sorte de copie logicielle d'un serveur physique, pour maximiser sa propre puissance d'opération et sa bande passante. Azure, qui est en rodage en attendant son lancement officiel tôt en 2009, a recours à de véritables serveurs, mais le principe est le même: les entreprises gèrent à distance, via une page Web, la taille et le nombre de serveurs dont ils ont besoin et sont facturés en conséquence.

«Si j'étais une entreprise qui comptait lancer le prochain Facebook, en 2009, je n'aurais peut-être pas les moyens d'acquérir les serveurs et la bande passante nécessaires», illustre M. Relph. «Azure s'adapte en cours de route. Il s'adresse aux développeurs qui se demandent s'ils pourront continuellement ajouter la puissance nécessaire pour faire fonctionner leurs logiciels.»

Montréal dans les nuages

Au Québec, plusieurs petites sociétés Web sont déjà «dans le nuage», comme le dit Sylvain Carle, cofondateur de la startup montréalaise Praized Media. Selon lui, les petites entreprises dont les affaires sont concentrées sur l'internet y trouvent leur compte, puisque c'est une solution qui, à défaut d'être parfaitement sûre, est abordable et facile à mettre en place.

«Ça peut prendre cinq à 10 jours pour installer un serveur traditionnel, avec le matériel et tout, comparativement à cinq à 10 minutes pour un serveur virtuel comme ceux d'EC2. Sur EC2, on peut se payer sept serveurs pour le prix de deux serveurs traditionnels», dit-il. «Si nous avions besoin de serveurs hautement sécurisés pour faire des services bancaires, ce serait autre chose, mais pour nous, c'est sûr que c'est avantageux: on peut augmenter ou réduire notre capacité (sans pénalité).»

M. Carle constate qu'il n'est pas le seul que ces services attirent. Il compte d'ailleurs organiser une conférence sur le sujet, à Montréal, fin février. L'événement, baptisé CloudCamp, réunirait des utilisateurs actuels de ces services internet et des entrepreneurs qui aimeraient en savoir plus. «Ça commence à être de plus en plus commun pour les startups d'être dans le nuage. En fait, il n'y a pas de raison de ne pas y être», conclut-il.

mardi 16 décembre 2008

La presse écrite commence à craindre pour sa survie | Internet

Agence France-Presse
16 décembre 2008 | 07 h 53

Un homme lit le journal sur une terrasse - Archives La Presse

Avec des tirages au plus bas, des revenus publicitaires qui s'effondrent et des lecteurs de plus en plus accaparés par l'internet, la presse américaine est au plus mal et de grands titres de l'histoire du journalisme sont désormais en péril.
Pour en savoir plus
Chicago Tribune | eMarketer | Los Angeles Times | New York Times | Newsweek | USA Today | Wall Street Journal | Rupert Murdoch | Médias électroniques et portails | Publicité et marketing en ligne

«Le modèle économique de la presse écrite ne fonctionne plus», estime le président de la Washington Post Company, Donald Graham, se faisant l'écho des propos que tiennent de plus en plus de nombreux observateurs du paysage médiatique américain.

«Le Washington Post et Newsweek vont perdre de l'argent en 2008», a annoncé M. Graham la semaine dernière lors d'une conférence à New York, à propos de deux de ses titres phares. «Une période très difficile pour la publicité s'annonce en 2009».

Le groupe de presse Tribune, propriétaire des prestigieux quotidiens Chicago Tribune et Los Angeles Times, a annoncé la semaine dernière qu'il s'était placé sous la protection de la loi sur les faillites (chapitre 11).

La presse américaine a licencié ou invité au départ, par le biais de guichets spécifiques, quelque 15 400 personnes cette année, estime Erica Smith, une journaliste du St. Louis Post-Dispatch qui comptabilise les pertes d'emplois dans le secteur.

Pas un jour ne passe sans son cortège de mauvaises nouvelles, le ralentissement économique accélérant le déclin des revenus publicitaires et incitant de nombreux annonceurs à se tourner vers les sites internet gratuits.

Selon le Bureau de la diffusion de la presse, le tirage des 507 quotidiens américains a chuté de 4,6% en six mois avec 38 millions d'exemplaires vendus en moyenne de mars à septembre au lieu de 40 millions un an plus tôt.

Seuls USA Today, du groupe Gannett, et le Wall Street Journal, du magnat de la presse Rupert Murdoch, parviennent à résister, affichant de modestes gains de 0,01% de leur lectorat.

Les revenus publicitaires de la presse ont chuté de 18,1% au dernier trimestre, le sixième trimestre consécutif de baisse, selon l'Association nationale des journaux américains (NAA).

Pendant ce temps, la publicité en ligne augmente, même si elle ne devrait progresser que de 8,9% en 2009, selon eMarketer. Et les recettes tirées de l'internet ne dépassent 15% du total dans aucun grand journal du pays.

Même le New York Times, le titre le plus prestigieux des États-Unis, a annoncé la semaine dernière qu'il allait emprunter 225 millions de dollars en hypothéquant son nouveau siège de Manhattan afin de contrecarrer une crise de liquidités provoquée par un resserrement du marché du crédit et une baisse de ses bénéfices.

«Je pense que nous allons voir des régions entières sans quotidien local dans un avenir assez proche», a prévenu Roy Peter Clark, vice-président du Poynter Institute, qui étudie le secteur des médias.

Prenant la parole lors d'une rencontre à Naples, en Floride, sur «l'avenir du journalisme», M. Clark a estimé qu'il n'existait pas de «potion magique» pour assurer la survie du secteur.

L'American Press Institute a invité le mois dernier 50 patrons de presse à une réunion intitulée «Sommet des patrons pour sauver une industrie en crise».

Deux experts ont prévenu les patrons qu'ils se trouvaient face à un scénario classique de «évolue ou crève» et qu'ils devaient agir rapidement.

Fin octobre, le quotidien Christian Science Monitor, à la diffusion confidentielle mais très respecté par ses pairs, a annoncé qu'il abandonnerait son édition papier pour passer au tout internet en avril.

lundi 15 décembre 2008

Les DSI français se disent prêts à adopter les équipements réseaux sans fil - Actualités - ZDNet.fr

Les DSI français se disent prêts à adopter les équipements réseaux sans fil

Vincent Birebent, publié le 15 décembre 2008
Tags: réseau sans-fil, entreprise, wi-fi

Technologie - Selon une étude menée auprès de 400 DSI en Europe, les équipements réseaux sans fil séduisent les décideurs informatiques. En France, 70 % des DSI comptent faire migrer leur réseau entièrement vers des technologies sans fil à l’horizon 2010.

Malgré des problèmes de fiabilité, de rapidité et de sécurité, les directeurs des services informatiques dans leur grande majorité semblent prêts à migrer vers les réseaux sans fil. C'est ce qui ressort d'une étude du cabinet d'études Vanse Bourne, pour le compte de Motorola, où quatre cents DSI européens (*) de sociétés de mille salariés (et plus) ont été interrogés sur leur équipement actuel et leurs intentions pour le proche avenir.

Concernant la France, si à peine 20 % des sondés ont déjà à disposition un réseau entièrement sans fil (8 %) ou majoritairement sans fil (12 %) au sein de leur entreprise, 70 % d'entre eux envisagent de passer complètement leur infrastructure réseau en Wi-Fi ou à d'autres normes de communication sans fil d'ici à 2010. Un chiffre légèrement supérieur à la moyenne européenne qui s'établit à 69 %. Reste que pour effectuer cette transition, les DSI espèrent d'abord voir certaines de leurs interrogations levées au sujet des technologies sans fil.

Par exemple, pour les directeurs informatiques français interrogés, les principaux sujets d'inquiétude concernent la sécurité (61 %) et les coûts (41 %) d'une telle migration. Dans une moindre mesure, la vitesse (31 %), la performance (33 %) et la fiabilité (33 %) de ces réseaux sont aussi des problématiques qui les inquiètent.

Répondre au besoin de mobilité des salariés

Quand on les interroge sur les raisons d'une migration vers les technologies sans fil, 48 % d'entre eux mettent en avant le besoin stratégique de mobilité des salariés, à égalité avec la mise à jour ou l'amélioration des infrastructures réseaux existantes.

Reste que les sondés voient définitivement l'avenir sans fil dans les trois années à venir. Pour 86 % des DSI français interrogés, une majorité des périphériques réseaux sera sans fil d'ici à 2011. Là aussi, ils sont dans la moyenne européenne qui s'établit à 88 %, avec des pointes en Italie (96 %) ou en Grande-Bretagne (93 %), alors qu'à l'inverse, 28 % des DSI outre-Rhin doutent que le sans fil s'impose aussi vite.

D'ores et déjà, ils sont 62 % en France à indiquer que dans leurs dépenses actuelles d'équipements réseaux, la part du sans-fil dépasse celle des équipements filaires, une proportion largement supérieure à celles de leurs homologues européens qui s'établit à 54 % - avec les Pays-Bas (42 %) et le Royaume Uni (44%) en queue de peloton.

(*) Une diziane de pays européens a participé à l'étude : Grande-Bretagne, Allemagne, France, Italie, Espagne, Pays-Bas, Suède, Danemark, Norvège et Finlande.

Par Vincent Birebent, ZDNet France

14 millions de Netbooks vendus en 2008 - Actualités - ZDNet.fr

Vincent Birebent, publié le 10 décembre 2008
Tags: netbook, chiffres

Business - Selon le cabinet DisplaySearch, le segment des netbooks a enregistré une croissance de 160 % entre le second et le troisième trimestre. Au total, les ventes mondiales devraient atteindre 14 millions d'unités en 2008.

Dans un marché des ordinateurs plutôt morose, le cabinet DisplaySearch confirme que le segment des netbooks tire son épingle du jeu. Selon les conclusions d'un rapport sur les ventes de PC, citées par le site taïwanais Digitimes, on apprend que la croissance des livraisons de netbooks a été de 160 % entre le second et le troisième trimestre 2008.

Sur ce trimestre, ce sont 5,6 millions de netbooks qui ont été vendus dans le monde. Globalement, DisplaySearch s'attend à ce que ce marché représente des ventes de l'ordre de 14 millions d'unités pour 2008 - contre moins d'un million en 2007.

Acer en tête des ventes, Asus perd du terrain

Principal gagnant de cet engouement, le taïwanais Acer, qui à travers ses trois marques phares (Acer, Gateway et Packard Bell) capte 38,8 % du marché sur l'année. À l'inverse, Asus, qui a largement contribué à développer ce marché avec son EeePC, perd du terrain et la tête de ce segment, avec 30,3 % de part de marché sur 2008.
Suivent HP et MSI, tout deux avec un peu moins de 6 % de PDM, puis Dell, Medion et les machines OLPC (One Laptop per Child) avec plus ou moins 2,5 % de PDM.

« A l'exception d'Apple, toutes les grandes marques du Top 10 (des vendeurs d'ordinateurs, NDLR) sont entrées sur ce marché du mini-PC, au départ pour répondre à la menace posée par Asus, mais aussi pour satisfaire la demande des consommateurs pour des produits d'entrée de gamme, fins et légers, qui offrent au moins une pincée de fonctions bureautiques basiques et permettent une plus grande mobilité » note John F Jacobs, analyste de DisplaySearch,

Il ajoute que « la demande mondiale pour ces produits est appelée à croître rapidement dans les années à venir avec une demande provenant de sources variées, allant des "early adopters" aux clients particuliers ou entreprises recherchant un second ou un plus petit PC, en passant par la demande des particuliers sur les marchés émergents. Nous nous attendons a ce que le marché des mini-PC atteigne environ 16 % du marché des portables à l'horizon 2011 ».

Retrouvez la sélection des meilleurs netbooks de l'année sur Businessmobile.fr

Par Vincent Birebent, ZDNet France

mercredi 3 décembre 2008

Brancher le Québec à pas de tortue | Internet

Hélène Baril, La Presse
02 décembre 2008 | 07 h 29 | 22 commentaires

Le Québec est branché, du moins on aime à le croire. Mais est-ce bien vrai? C'est relativement vrai dans les villes, mais faux en région, où un nombre considérable de citoyens attendent encore le grand jour, celui où ils auront accès à l'internet à haute vitesse.
Pour en savoir plus
OCDE | Branchement à Internet

L'internet est peut-être considéré maintenant comme un service essentiel, mais le service tarde à s'implanter dans les régions, et pas nécessairement les plus éloignées.

En 2002, le Parti libéral du Québec avait promis de brancher les régions avant la fin de son premier mandat. Mais selon la Fédération québécoise des municipalités, il y a encore en 2008 plus de 400 municipalités au Québec dont les services internet sont soit inexistants, soit insuffisants.
Sur le même sujet
Très-Saint-Rédempteur.com: jamais mieux servi que par soi-même
Haute vitesse en région: la réaction des fournisseurs

Pourtant, il n'en a pas été beaucoup question dans la campagne électorale qui s'achève.

«Le fait que certaines régions n'aient pas accès à l'internet à haute vitesse est catastrophique», estime Phillipe Le Roux, président de VDL2, une firme de services internet.

Selon lui, l'internet est aujourd'hui un service aussi important que l'eau, l'électricité et le téléphone. «Je dirais que c'est même plus important que le téléphone», ajoute-t-il, en soulignant l'importance de l'internet dans l'information et l'éducation de ses utilisateurs. «On se dirige vers une société à deux vitesses, ceux qui ont accès à la haute vitesse et les autres.»

Même dans les villes, les résidents ne sont pas aussi branchés qu'on le croit, souligne Monique Chartrand, directrice générale de Communautique, un organisme à but non lucratif qui veut favoriser l'accès aux technologies.

Le Québec utilise moins l'internet que les autres provinces canadiennes. Selon Communautique, il y a 64% d'internautes au Québec comparativement à 83% en Alberta.

Le Canada, qui a déjà été dans le peloton de tête des pays branchés selon le classement de l'OCDE, recule maintenant dans ce classement depuis trois ans.

C'est que la connexion téléphonique traditionnelle, suffisante pour la plupart des utilisateurs dans les débuts de l'internet, ne satisfait plus leurs besoins. Il faut être branché sur la fibre optique et les régions, dont la population est clairsemée, sont désavantagées par rapport aux centres densément peuplés.

Même dans les villes, le coût élevé d'un branchement à haute vitesse est un frein à son utilisation, souligne-t-elle. «Le modèle à forfait qui se répand, soit un meilleur tarif pour les abonnés au téléphone, à la télédistribution et à l'internet a un coût exorbitant pour beaucoup de gens.»

Exorbitant pour les utilisateurs, mais très payant pour les fournisseurs de services. Philippe Le Roux fait le calcul suivant: les deux tiers des trois millions de ménages québécois, soit deux millions de foyers, sont branchés à l'internet haute vitesse. Au coût moyen de 80$ par mois, c'est 1 milliard de dollars par année qui va dans les coffres des entreprises.

«L'entreprise privée fait beaucoup d'argent dans les grands centres urbains, mais se tient loin des régions où il y a peu de perspectives de profit», constate-t-il.

À Montréal, la ville aurait les moyens d'offrir gratuitement l'internet sans fil à ses résidents, mais elle ne le fait pas à cause des pressions des entreprises, estime-t-il.

Avec les profits qu'elles tirent des villes, les entreprises devraient être forcées par le gouvernement à desservir les régions, estime le fondateur de VDL2.

«La question est: est-ce qu'on considère l'internet comme un produit ou comme un service essentiel?»

Si c'est un service essentiel, alors Hydro-Québec, qui possède le plus important réseau de télécommunications au Québec, pourrait brancher rapidement tout le Québec à peu de frais, croit Philippe Le Roux.

Le gouvernement québécois a bien essayé de brancher les régions, mais ses efforts n'ont pas eu le succès escompté. Avec le programme Villages branchés, il a investi 150 millions pour relier les mairies, les écoles et les bibliothèques municipales.

Le gouvernement pariait qu'une fois la bande passante rendue dans les régions, l'entreprise privée prendrait le relais et investirait à son tour pour recruter de nouveaux clients.

Ça ne s'est pas produit. Les grands fournisseurs de services ont continué de développer leur réseau dans les villes et se sont désintéressés des campagnes.

«Les grandes entreprises ont écrémé le marché et laissé de côté les régions», dit Claire Bolduc, la présidente de Solidarité rurale qui a fait de l'accès à l'internet haute vitesse un cheval de bataille.

Le Trésor public a dû débourser davantage. Un nouveau programme, Communautés rurales branchées, a vu le jour avec un budget de 24 millions sur cinq ans. Pas un dollar de ce programme n'a encore été dépensé. L'aide promise arrivera le 1er avril, a fait savoir le ministère des Affaires municipales et des régions, qui en a la responsabilité.

mardi 2 décembre 2008

Pratiquer la veille multilingue en 4 étapes et 15 outils linguistiques

Google Reader permet de faire de la veille multilingue grâce à ses fonctions de traduction automatique

Dire que Google Reader permet de faire de la veille multilingue grâce à ses fonctions de traduction automatique c'est une chose, le démontrer c'est mieux. Il ne s'agit en effet pas seulement de récupérer un flux rss dans une langue étrangère et de cliquer sur le bon bouton. Ca c'est la dernière étape :-)
Je vous invite donc à un petit exercice pratique et j'ai choisi à cet effet un thème de veille volontairement complexe et d'actualité : Que dit la presse russe des positions françaises durant et après le sommet UE - Russie?

Sujet compliqué car :

1 : j'ai fait un peu de russe mais c'est tellement loin que je décrypte à peine 50% de l'alphabet cyrillique (et que je comprends à peu près 1% de ces 50% ...)
2 : c'est une langue à déclinaison qui pourrait poser pas mal de problèmes lorsqu'il s'agira de surveiller un mot-clé puisqu'on le retrouvera avec un nombre incalculable de terminaisons. Enfin si calculable mais bon... je n'ai pas vraiment le temps de me replonger dans la grammaire russe actuellement. Ceci nous apprend toutefois une première chose essentielle : lorsque l'on veut faire de la veille dans un langue précise il faut s'intéresser un minimum à sa construction grammaticale : si vous choisissez un mot dans une forme qui n'est jamais utilisée, sinon par les dictionnaires, vous pourriez ne pas avoir de résultat. Heureusement Google News, grâce lui soit rendu, a pensé à tout et propose dans ses résultats les variantes d'un même mot (pluriel/singulier, masculin/féminin, et donc les déclinaisons. Cette possibilité relativement récente et très gênante lorsque l'on recherche un mot précis s'avère ici d'une grande utilité.

Précision : il est évident que cet article ne prétend pas faire le tour de la question. Dans un processus de veille réel, pour une entreprise par exemple, il s'agirait d'une simple phase de démarrage. Sachant que les mots-clés choisis ici seront ensuite optimisés en fonction des résultats obtenus. La veille c'est forcément itératif et personne ne peut prétendre arriver d'emblée avec un système parfait.

1 - Première étape : choisir ses mots-clés.
(lire la suite sur http://www.outilsfroids.net/news/pratiquer-la-veille-multilingue-en-4-etapes-et-15-outils-linguistiques)

lundi 1 décembre 2008

Les jeunes, les technologies et le travail : changer sa souris d'épaule

Les jeunes, les technologies et le travail : changer sa souris d'épaule
Jean-François Ferland -04/11/2008

Au lieu de craindre l'insertion des jeunes technophiles en milieu du travail, les organisations devraient en faire des catalyseurs de changement dans le recours aux nouvelles technologies. Constats de deux observateurs intéressés.

Voici un deuxième article portant sur l'intégration des jeunes utilisateurs de technologies au sein des organisations. Nous vous invitons à lire l'article d'André Ouellet Intégration au travail des nouvelles générations: au-delà de la nécessité, un atout, paru la semaine dernière.


Les jeunes qui font partie de la génération Y ont-ils le dos large? Certains les disent « pointilleux », « impatients » et « difficiles » lorsqu'il est question de l'utilisation des technologies de l'information et des communications (TIC) chez leurs employeurs, plus particulièrement celles qui sont liées à l'interaction en ligne. Les employeurs, qui sont aux prises avec une pénurie de main-d'oeuvre, sont confrontés à un défi organisationnel d'importance. Caprice de jeunesse ou choc des générations?

Catherine Lamy est directrice de projet à l'organisme Cefrio à Québec. Elle oeuvre au projet Génération C : les 12-24 ans en tant qu'agents de transformation des organisations québécoises, qui étudiera au cours de la prochaine année comment les attitudes et les comportements des jeunes de la génération Y, mais aussi de la génération C qui les précède, face aux technologies se transposent dans leur vie d'étudiant, de travailleur, de citoyen et de consommateur.

« On dit beaucoup de choses [des jeunes, de l'utilisation des TIC et de leur attitude au travail], mais il y a beaucoup de mythes et de préjugés, considère Mme Lamy. Il faut aller plus loin et essayer de les comprendre. De toute façon, les organisations devront se transformer et s'adapter, parce que c'est la main-d'oeuvre de l'avenir. Il faut arrêter de les voir comme étant un problème, mais comme un catalyseur et un levier de transformation. »

La conseillère et conférencière Michelle Blanc s'intéresse aux technologies Web et à leur adoption par les diverses générations. Elle indique que la conception de la vie de la génération Y, née avec l'Internet, diffère de celle des générations précédentes. Qui plus est, son poids démographique est plus important que celui des fameux baby-boomers.

« Il faudra faire avec ce qu'ils pensent de la réalité, ce qui est bien différent de leurs prédécesseurs, observe Mme Blanc. Pour eux, le travail, la collaboration et le divertissement sont équivalents et devraient coexister tout le temps. Le travail emm...? On change de travail. On ne peut collaborer? On change de travail. [...] Le courriel est pour les vieux, alors qu'ils sont habitués à la messagerie instantanée, aux blogues, aux wikis et à Facebook. S'ils ont quelque chose à dire, c'est maintenant, car dans une demi-heure ce ne sera plus pertinent. Cela change beaucoup de choses dans l'entreprise. »

Changement philosophique

En matière de changement, Mme Lamy estime que les premières actions d'adaptation du travail au contexte des jeunes des organisations se situent au niveau de la présence au travail, puisqu'ils ont déjà des technologies permettant le travail à distance, du nombre d'heures travaillées - des entreprises américaines évaluent dorénavant les employés en fonction des résultats - et de la formule de travail ‘de 9 à 5', alors que les jeunes veulent parfois travailler le soir et même la nuit.

« Il faut un changement de la culture de gestion, affirme-t-elle. Ce n'est plus une question de contrôle. Les gestionnaires doivent apprendre à composer avec cela. De toute façon, on peut être 40 heures assis à un bureau et perdre son temps. Cela a toujours existé, même avant les technologies. »

Michelle Blanc croit que l'enjeu de l'adaptation des organisations à la nouvelle génération « technophile » est avant tout de nature philosophique. Elle croit que donner un bon salaire à un nouvel employé et de lui bloquer les accès aux technologies constitue un paradoxe.

« Auparavant, on assistait à une autorité dogmatique et une communication unidirectionnelle : le médecin a raison, le professeur sait tout, l'entreprise sait ce que veulent les clients et ce qu'il faut dire aux employés. Aujourd'hui, nous sommes dans une communication multidirectionnelle et égalitaire. L'entreprise est critiquée, le professeur est mis au défi, le [propos du] médecin est [comparé] avec des informations trouvées sur le Web... Personne n'a la vérité et tout le monde a une portion de la vérité. Et les jeunes sont habitués à naviguer là-dedans et à se faire leur propre idée. L'époque où le patron parle et que tout le monde doit écouter tire à sa fin », estime-t-elle.


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L'Europe se transforme en un continent d' << accros à la connexion >> assoiffés de contenu

AMD, November 17 /PRNewswire/ --

- Publication des résultats d'un important sondage européen réalisé par AMD sur l'utilisation, le contenu et la connectivité des ordinateurs portables

L'Europe se transforme en un continent d' << accros à la connexion >> assoiffés de contenu, selon les conclusions de l'Étude sur la connectivité en Europe d'AMD (European Connectivity Study), réalisée en ligne auprès de plus de 5 000 personnes. D'après l'étude sponsorisée par AMD (NYSE : AMD) en collaboration avec YouGov, une société de recherche indépendante, 77 % des personnes interrogées ne pourraient pas vivre sans un accès quotidien à Internet.

Ce pourcentage s'est révélé plus élevé que l'accès à toute autre commodité, y compris à une automobile (54 %) et à une machine à laver (61 %). Cette tendance correspond aux conclusions d'un autre sondage* d'AMD réalisé par le passé, qui indiquait que presque tous (99 %) les répondants renonceraient plutôt à leur caméra numérique, Blackberry ou lecteur MP3 qu'à leur ordinateur portable.

<< L'ensemble des recherches indique que les consommateurs songent à l'utilisation principale qu'ils feront de leur ordinateur portable ou PC de bureau lorsqu'ils considèrent en acheter un. Une plate-forme équilibrée et optimisée pour ces différents modèles d'utilisation - particulièrement les activités axées sur la maison, le travail et le jeu - sera sans doute essentielle pour combler les besoins des consommateurs de demain. Les ordinateurs portables ne représentent plus seulement la flexibilité ou la possibilité de travailler en toute mobilité, ils offrent également à l'utilisateur une véritable expérience multimédia en HD. Alors que le rendement et la vitesse de traitement des ordinateurs augmentent, la société peut s'attendre à observer une fusion du contenu multimédia de qualité et de la connectivité. Les résultats du sondage révèlent qu'AMD a jusqu'à présent adopté la bonne stratégie et qu'alors que les technologies évoluent, AMD est prête à garantir à ses clients l'expérience visuelle ultime (The Ultimate Visual Experience(TM)) et un rendement élevé pour leur permettre de faire plusieurs choses à la fois >>, a déclaré Nigel Dessau, vice-président directeur et directeur du marketing chez AMD.

Assoiffés de contenu

La soif de contenu semble être un des principaux facteurs de cette dépendance à la connexion. Les Européens cliquent désormais sur la souris peu de temps après avoir pris une photo. En effet, 81 % des répondants ont affirmé avoir enregistré des photos numériques l'année dernière. Cette tendance à l'égard de la consommation et du partage de contenu se reflète également dans les vidéos et la musique. À travers l'Europe, 77 % des personnes interrogées ont visionné des vidéos sur YouTube ou des sites semblables, et 66 % ont téléchargé de la musique au cours de l'année passée.

Cet appétit pour le contenu visuel s'explique en partie par l'engouement des Européens pour les jeux. En effet, 76 % des répondants ont déclaré avoir joué sur un ordinateur portable ou un PC de bureau l'an dernier. En outre, 51 % ont téléchargé et 43 % transmis des films au cours de l'année dernière. Enfin, 14 % des répondants ont déclaré regarder des films Blu-ray, ce qui indique que cette technologie est de plus en plus populaire en Europe.

<< Le PC est devenu omniprésent en tant que dispositif de divertissement numérique suprême. En effet, les consommateurs sont conscients du bien-fondé de disposer d'un seul appareil pour prendre en charge et interagir avec le vaste éventail de contenu disponible dans la bibliothèque de divertissement exhaustive d'aujourd'hui. Qu'il s'agisse d'un ordinateur de bureau ou portable, les capacités du PC moderne permettent d'adopter le credo d'"un dispositif pour tout", et le remplacement possible des télévisions dans l'avenir par des PC n'est pas si farfelu que ce que nous avons pu croire par le passé >>, a déclaré Jochen Polster, directeur du marketing de la région EMEA chez AMD.

Pleins feux sur la qualité visuelle améliorée

Les conclusions du sondage laissent également penser que les consommateurs souhaitent une expérience visuelle en HD sur leurs ordinateurs portables. Près de la moitié (46 %) des répondants ont indiqué que les éléments graphiques jouent un rôle important dans leur décision d'achat concernant un ordinateur portable. Les hommes s'attendent davantage à obtenir une meilleure expérience visuelle (51 %) que les femmes (37 %). Fait intéressant, 59 % de la tranche de 18 à 24 ans sondés ont affirmé que la qualité graphique jouait son rôle lors l'achat d'un ordinateur portable.

<< Les membres de la génération Y n'utilisent pas leur ordinateur portable de la même façon que le consommateur moyen d'aujourd'hui. En effet, ils s'attendent à ce les éléments visuels de leur portables soient aussi renversants que ceux auxquels ils sont habitués dans leur vie de tous les jours, particulièrement pour ce qui est du contenu comme les jeux haut de gamme sur PC et les films. AMD s'emploie à offrir du contenu réaliste du point de vue de la qualité des longs métrages d'Hollywood sans compromettre la performance, et ainsi de redéfinir l'expérience de l'ordinateur portable pour les consommateurs de nouvelle génération >>, a indiqué Jochen Polster, d'AMD.

Qualité-prix

La diversité des activités que les consommateurs entreprennent sur leurs ordinateurs portables montre que les gens considèrent désormais ceux-ci comme un achat sérieux, et feront leur choix en fonction de divers facteurs de performance. Alors que les portefeuilles sont de moins en moins garnis en Europe, les consommateurs s'attendent à obtenir des performances élevées, mais à un bon prix. En effet, 80 % d'entre eux ont affirmé que le coût aurait une incidence sur leur décision d'achat. Chose étonnante, les personnes interrogées ont également révélé qu'elles seraient prêtes à dépenser davantage d'argent pour un nouvel ordinateur de bureau qu'un ordinateur portable ; à travers l'Europe, le prix moyen estimé de leur prochain ordinateur de bureau serait de 792 EUR, comparativement à seulement 713 EUR pour un ordinateur portable.

<< Depuis toujours, les ordinateurs portables coûtent plus chers que leurs cousins de bureau, mais le marché a maintenant rétabli l'équilibre, puisque les résultats de notre sondage indiquent que les consommateurs sont désormais prêts à investir dans les ordinateurs de bureau >>, a affirmé Jochen Polster, d'AMD. << Les consommateurs commencent à considérer le PC de bureau comme une alternative multifonctionnelle aux PVR (enregistreur vidéo personnel), aux lecteurs Blu-ray et aux téléviseurs. Nous sommes désormais dans l'ère où le PC est la plaque tournante des activités à la maison, où les ordinateurs personnels sont au centre de la maison numérique de demain, et offrent ainsi une façon simple de créer, de partager et de consommer du divertissement, ainsi que d'y accéder. >>

Croissance globale des ventes d'ordinateurs portables

Selon la dernière étude de marché d'IDC(1), l'expédition de PC a enregistré une augmentation de 27 % dans la région de l'EMEA au troisième trimestre de 2008, comparativement au trimestre équivalent de l'année dernière. L'étude a conclu que les ordinateurs portables continuaient de stimuler la croissance globale du marché, qui a connu une hausse de 52 %, alors que la demande des consommateurs en Europe de l'Ouest ne montrait aucun signe de ralentissement. L'étude sur la connectivité en Europe d'AMD corrobore cette étude, car lorsqu'on a demandé aux répondants leur préférence quant à leur prochain ordinateur à la maison, 48 % d'entre eux ont répondu un ordinateur portable, 32 % un PC de bureau et 14 % un netbook (petit ordinateur portable). Ces données indiqueraient également que bien que la demande demeure élevée pour tous les formats, seulement 6 % des répondants n'avaient aucune préférence quant à leur prochain ordinateur ou n'avaient pas d'avis à ce sujet : l'ordinateur portable est toujours considéré comme le dispositif le plus populaire.

<< Les habitudes d'utilisation des ordinateurs de bureau et portables sont en train de changer de façon radicale. Alors que les ordinateurs de bureau sont considérés comme la plaque tournante du divertissement à la maison, on opte de plus en plus pour l'ordinateur portable pour ce qui est d'obtenir une expérience de contenu multimédia riche en toute mobilité >>, a déclaré Eszter Morvay, analyste principale de recherche du service Informatique individuelle européenne chez IDC. << Comme les consommateurs sont de plus en plus instruits, les décisions d'achat sont plus souvent fondées sur le meilleur rapport qualité-prix. Le design, le contenu et la convivialité sont les aspects auxquels les consommateurs attachent le plus d'importance lorsqu'ils achètent un nouvel ordinateur portable. Ainsi, les ordinateurs portables devront proposer un ensemble de fonctions riche - mais à un prix raisonnable. >>

Pour obtenir de plus amples renseignements et pour consulter les conclusions complètes du rapport portant sur l'Étude de connectivité en Europe, veuillez contacter le service de presse au numéro +44(0)20-8834-3411 ou à l'adresse amdemea_consumer@bitepr.com.

À propos du sondage

YouGov a interrogé en ligne 5 148 personnes en provenance de la France, de l'Allemagne, de la Russie, de l'Espagne et du Royaume-Uni entre le 17 et le 30 septembre. Dans le cadre du sondage, les répondants ont dû répondre à des questions portant sur leurs habitudes informatiques, particulièrement sur leur utilisation d'un ordinateur portable et la connectivité.

À propos d'AMD

Advanced Micro Devices (NYSE : AMD) est une société de technologie innovante qui se consacre à la collaboration avec ses clients et partenaires afin de donner corps à une nouvelle génération de solutions informatiques et graphiques au travail, à domicile et pour le jeu. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le http://www.amd.com.

(c)2008 Advanced Micro Devices, Inc. AMD, le logo d'AMD en forme de flèche, ATI, le logo d'ATI, Radeon, The Ultimate Visual Experience et toute combinaison de ces éléments sont des marques de commerce d'Advanced Micro Devices, Inc. Les autres noms mentionnés ne sont fournis qu'à titre indicatif et peuvent être des marques de commerce de leurs propriétaires respectifs.

Méthodologie du sondage* d'AMD mené en 2005 : La recherche a été réalisée par Benchmark Research Ltd. pour AMD. Dans le cadre de ce sondage, 516 interviews ont été réalisées en septembre 2005 dans cinq pays européens : la Suède, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la France et l'Italie. Le sondage en ligne ciblait les utilisateurs de PC à la maison qui participent à la prise de décisions concernant l'achat d'un PC et qui utilisent régulièrement leur PC pour télécharger, créer et manipuler du contenu numérique. Le résumé des résultats du sondage est disponible auprès d'AMD.


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