Qui suis-je

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Je suis un humaniste qui a toujours eu comme objectif l'atteinte de la condition d’honnête homme au sens du XIXe siècle et qui a embrassé l'état de spécialiste du savoir dans ce but de non spécialisation. Je continue à faire marcher mes "petites cellules grises" en m'intéressant à tout et à tous .

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mardi 25 septembre 2007

Techno web

IBM Lotus Symphony

Be Free. Work Smart.

Richly-featured productivity tools that are intuitive to use and compatible with your files.

Provided at no charge for your home, school or business.

Benefits for businesses, developers...and you

IBM® Lotus®Symphony™ offers something for everyone – a community-oriented site, a template gallery, and tips and support to help you succeed. Your business can get more control over spiraling upgrade costs while protecting and maintaining documents into the future. If you’re a developer, Lotus Symphony supports Microsoft® Windows® and Office applications, which means you get even more from your current investments. Read more... Users | Businesses | Developers

How is Lotus Symphony different?

You're in charge! Lotus Symphony is based on the Open Document Format (ODF) standard-which means you're not locked into proprietary file formats, software licensing agreements and upgrades. Finally, free tools and freedom of choice!

Can Lotus Symphony handle my existing files?

With Lotus Symphony, you can import, edit and save a variety of file formats including Microsoft Office files. You can even export your documents to Adobe® Portable Document Format (PDF). The tools work with computers running both Microsoft Windows and Linux- environments, with support for Apple Macintosh planned for the future.

 

vendredi 21 septembre 2007

Techno web

Biblioflux : Sciences de l'information [http://xfruits.com/w...

Réseaux d’entreprise : le câble noir et le câble blanc
http://xfruits.com/willyten/?id=18502&clic=138364146&url=http%3A%2F%2Fwww.internetactu.net%2F%3Fp%3D7285http://www.internetactu.net/?p=7285

Published: Thu, 20 Sep 2007 13:46:02 GMT  <COMMENTS>
http://www.internetactu.net/?p=7285#comments
 

Chris Anderson, rédacteur en chef du magazine Wired, nous livre une belle métaphore pour montrer comment la fracture numérique s’exprime dans l’entreprise :

cablenoiretblanc02.jpg

“Sur mon bureau, au travail, j’ai deux câbles ethernet pour me connecter. L’un est noir, l’autre est blanc. Le noir est connecté à notre réseau d’entreprise. Je l’utilise surtout quand je veux imprimer. Je peux aussi l’utiliser pour surfer sur l’internet et accéder à l’intranet, mais je ne le fais pas car le réseau interne bloque de nombreux ports, incluant ceux que j’utilise pour Skype ou Second Life. Il est aussi assez lent.

Le câble blanc est une connexion Adsl standard, avec rien pour la limiter. Notre responsable des services informatiques l’a installée pour répondre aux nombreuses demandes de l’équipe, certainement sans en demander la permission à la direction. Ce câble est rapide. Je l’utilise tout le temps.”

Et de voir dans ces deux câbles un symbole des deux mondes qui constituent l’informatique d’entreprise : les utilisateurs finaux et la direction des services informatiques. “La fracture entre les deux n’a jamais été aussi nette, en partie parce que les outils disponibles sur le web n’ont jamais été aussi réussis.” Mais qu’on ne s’y trompe pas, il n’est pas une seconde question pour lui d’abandonner l’un pour l’autre.

“Notre réseau d’entreprise est capital, il a permis de transformer notre organisation et nos processus, et je ne voudrais rien faire pour lui porter atteinte. Nous avons besoin de sauvegardes de données fiables, et celles-ci nous ont évité le pire plus d’une fois. Nous en avons besoin pour échanger avec les applications d’autres entreprises (…). Mais dans le même temps, nous vivons tous en ligne et la distinction entre le travail et la vie s’efface chaque jour un peu plus. Expérimenter les dernières trouvailles du web 2.0 n’est pas une composante de la modernité, mais fait partie de notre travail (nous sommes tout de même Wired (c’est-à-dire “connecté”), après tout).”

Alors pourquoi ne pas construire des infrastructures qui reflètent cette dualité ? “Pour encourager l’expérimentation d’un côté et protéger les opérations de l’autre, deux réseaux fonctionnent mieux qu’un”, conclut l’éditorialiste.

Bien entendu, beaucoup de responsables de la sécurité de réseaux d’entreprise s’inquièteront d’une telle approche qui semble le meilleur moyen d’acheminer un virus dans l’entreprise. “Une bonne politique de sécurité sur le réseau ne restreint pas les utilisateurs dans l’utilisation des applications qu’ils veulent ou ont besoin d’utiliser, mais leur apporte les moyens d’utiliser ces applications correctement”, rappelle pourtant avec philosophie l’un des commentateurs.

Les deux mondes on encore du mal à se croiser, comme le constataient les intervenants à la conférence Office 2.0 qui se tenait début septembre à San Francisco. Entre la bureautique et le bureau 2.0, il y a encore un monde. Les exceptions notables ne concernent pourtant pas que des petites start-ups, rappelle ComputerWorld : des grands groupes comme Morgan Stanley ou Pfizer déploient des outils du web 2.0 pour améliorer la productivité de leurs équipes. Reste encore à comprendre ce que recouvre le concept d’entreprise 2.0, qui ne se résume jamais à une simple évolution des outils utilisés ou à un câble à brancher.

lundi 17 septembre 2007

Techno web

Colloque : Cultures libres, innovations en réseau | Laborato...

Colloque : Cultures libres, innovations en réseau

Le (logiciel) libre comme phénomène technique et social

17 et 18 septembre 2007 - Salle DR-200 - Université du Québec à Montréal
Entrée libre


Le colloque "Cultures libres, innovations en réseau" réunira pour deux jours une trentaine de conférenciers et conférencières du Québec et de la France. L'objectif de ce colloque est de discuter, à partir de différentes perspectives disciplinaires, des "cultures libres", ces formes de collaboration et d'innovation en réseau qui émergent autour du logiciel libre.

Le modèle du logiciel libre propose que le code source du logiciel soit librement lisible, modifiable et réutilisable par tous. D'un point de vue juridique, le modèle du logiciel libre peut être décrit comme un renversement du concept de droit d'auteur : on y réfère d'ailleurs souvent par le terme « copyleft ». Le modèle du logiciel libre, en anglais « free software » ou « open source », a suscité, ces dernières années, un mouvement de coopération à l'échelle internationale qui a permis la production de nombreux logiciels dont quelques-uns, comme Firefox et OpenOffice, rivalisent aujourd'hui avec certains produits commerciaux.

Ces formes de collaboration et d'innovation en réseau apparaissent, selon plusieurs, comme étant mieux adaptées à la capacité actuelle de dupliquer ou de modifier quasi instantanément les produits informationnels, comme les logiciels mais également l'ensemble des oeuvres numériques. Les modèles actuels des droits d'auteurs et de la propriété intellectuelle sont ainsi souvent critiqués pour servir davantage les industries culturelles et technologiques, au détriment de la création du savoir ou de la culture.

Les thèmes suivants seront abordés pendant l'événement:

  • Le libre au Québec
  • Culture libre et bien commun
  • Libre, politique et idéologies
  • Le libre et l'art
  • Culture libre, organisation et management
  • Autour de wikipedia
  • Apprentissage et culture libre
  • Communautés du libre en pratique
  • Système(s) du libre

Ce colloque se tiendra dans le cadre de la Semaine québécoise de l'informatique libre. Il est organisé par le Laboratoire de communication médiatisée par ordinateur (LabCMO), le Laboratoire de recherche en gestion du logiciel (LRGL) de l'UQÀM, en partenariat avec le Centre de recherche interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (CIRST), l'Association facultaire étudiante des Lettres, Langues et Communication de l'UQÀM et Savoir-Faire Linux.

Pour consulter le programme complet (PDF).

Semaine québécoise de l'informatique libre

Techno web

Demande de recours collectif au Québec contre Microsoft | La...

Demande de recours collectif au Québec contre Microsoft

16 septembre 2007 - 08h04

Le Soleil

Guy Benjamin

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Le fondateur de Microsoft, Bill Gates.




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MSFT

Marc Lefrançois demande à la Cour supérieure la permission d'intenter un recours collectif de 20 M$ contre la compagnie Microsoft (MSFT).

Le citoyen de Beauport reproche à Microsoft d'avoir comploté afin de réduire la concurrence et ainsi pouvoir vendre ses logiciels d'exploitation d'ordinateurs à des prix artificiellement plus élevés.

Microsoft se retrouve devant les tribunaux à travers le monde depuis de nombreuses années.

La compagnie a été reconnue coupable en Europe et aux États-Unis d'avoir violé les lois antitrusts et s'est vu imposer de fortes amendes, notamment 497 millions d'euros par la Commission européenne.

Plusieurs recours collectifs sont inscrits devant les tribunaux tant aux États-Unis qu'ailleurs au Canada.

M. Lefrançois a été un utilisateur d'ordinateurs dans lesquels se retrouvent les logiciels d'exploitation et d'application de Microsoft. Comme il s'est procuré son matériel informatique dans le district judiciaire de Québec, il souhaite donc exercer un recours collectif dans ce district.

Le citoyen de Beauport veut être nommé représentant du groupe que formeraient tous les utilisateurs de logiciels d'exploitation de Microsoft entre le 18 mai 1994 et le 30 juin 2006.

Les dommages réclamés sont la différence entre le prix artificiellement élevé payé pour les produits et le prix qui aurait été payé sur un marché où règne la libre concurrence, précise-t-on dans le document déposé en Cour supérieure.

Toujours selon le document, M. Lefrançois estime que «le groupe peut comprendre plusieurs dizaines de milliers de personnes vu l'usage répandu des micro-ordinateurs».

Pour autoriser le recours collectif, le tribunal devra déterminer si Microsoft a bel et bien empêché la concurrence et en a profité pour vendre ses logiciels à un prix plus élevé qu'elle l'aurait fait s'il y avait eu concurrence.

Enfin, il faut savoir si les actes de Microsoft constituent une faute pouvant entraîner une indemnisation.

vendredi 7 septembre 2007

le web 2.0 et les professionnels

Les professionnels positivent le web 2.0 Informatique

Les professionnels positivent le web 2.0

Publié le 06 Septembre 2007
Les responsables informatique montrent un large intérêt pour les nouvelles applications d'Internet. Ils estiment aussi que leur entreprise présente un faible niveau d'adoption des applications web 2.0.
 
Les preneurs de décision se montrent globalement enthousiastes concernant les dernières évolutions de l'informatique d'entreprise, et plus particulièrement la déferlante de nouvelles applications estampillées 2.0, annonce IDC. Mille professionnels impliqués dans les technologies de l'information et de la communication ont ainsi répondu aux questions du cabinet d'analyse en vue du European ICT Forum organisé ce mois-ci. De ce sondage, il ressort notamment que la sécurité et le maintien de l'activité sont les deux principales préoccupations de ces professionnels.
 
Une faible adoption des applications web 2.0
 
Suivent l'intégration des systèmes et des réseaux de communication qu'un quart des sondés ont placé en tête des défis de leur entreprise. Enfin, si le respect des normes réglementaires préoccupe encore 17% des responsables d'entreprises, ils ne sont plus que 15% à définir la flexibilité comme leur principale challenge informatique. Autre fait remarquable, les sondés estiment dans leur majorité que l'adoption des technologies 2.0 dans leur entreprise est relativement limitée. Ils restent néanmoins optimistes, affirmant que ce retard serait rattrapé dans les six à dix-huit mois à venir.
 
Favoriser la collaboration interne
 
Cet effort de rattrapage devrait être plus marqué au Royaume-Uni, en Pologne et en Russie, précise l'étude. Dans le détail, les applications Internet de voix et de gestion des données, les solutions de messagerie électroniques unifiées, ainsi que les outils de réseaux sociaux sont les technologies les plus fréquemment citées par les sondés s'agissant de leur future adoption du web 2.0. Dans ce cadre, plus de la moitié des responsables escomptent améliorer la collaboration interne à travers ces dispositifs. La relation client étant toutefois le principal moteur pour près de 30% d'entre eux.