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Je suis un humaniste qui a toujours eu comme objectif l'atteinte de la condition d’honnête homme au sens du XIXe siècle et qui a embrassé l'état de spécialiste du savoir dans ce but de non spécialisation. Je continue à faire marcher mes "petites cellules grises" en m'intéressant à tout et à tous .

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lundi 22 octobre 2007

Techno web

La recherche américaine dispose d'un réseau optique national...

La recherche américaine dispose d'un réseau optique national

Le consortium Internet2 a annoncé la fin du déploiement de son réseau de communication par fibre optique aux Etats-Unis. Celui-ci devrait notamment profiter à l'ensemble des communautés de chercheurs.

Publié le 10 Octobre 2007
Internet2 Network
(cliquez pour agrandir)
Internet2 a achevé de tisser sa toile de fibre optique à travers les Etats-Unis. Ce consortium à but non lucratif mené par plus de 200 universités américaines a effectivement annoncé la mise à disposition de ce réseau nouvelle génération lors de son dernier congrès d'automne. Capable d'atteindre des débits allant jusqu'à 100 gigabits par seconde (Gbps), cette infrastructure optique devrait notamment profiter aux activités spécialisées nécessitant de très importantes capacités en terme de bande passante : recherche scientifique, télémédecine et arts numériques sont dans le collimateur.

Du très haut débit à la demande

L'infrastructure en fibre optique proposée par Internet2 est en outre conçue pour prendre en charge le protocole IPv6, le multicasting - procédé autorisant la communication avec plusieurs ordinateurs via une unique adresse IP - et d'autres technologies liées aux réseaux hautes performances. Internet2 sera accompagné du service de bande passante à la demande Dynamic Circuit Network (DCN) dès janvier 2008. Ce dernier devrait mettre à disposition des chercheurs des débits de 10 Gbps pouvant être portée à 20, 40 voire 100 Gbps selon les besoins. Le DCN a d'ailleurs été expérimentée dans le cadre de recherches autour du projet de grand accélérateur de particules (Large Hadron Collider), le Compact Muon Solenoid (CMS).
 
Innovation scientifique en ligne de mire
 
"L'expérimentation dans laquelle notre campus va s'investir durant ces prochaines années implique l'exploration de nouveaux types de réseaux pouvant assurer les importants besoins de nos chercheurs", a déclaré Dale Finkelson, directeur du réseau de l'université du Nebraska. "Le Dynamic Circuit Network d'Internet2 promet de fournir de la bande passante à la demande sur un mode très efficace en termes de coûts. Il ne constitue pas uniquement une plate-forme répondant aux besoins de notre LHC, mais il ouvre aussi la voie à de nouvelles applications et technologies pour notre communauté", a-t-il poursuivi.  

mardi 16 octobre 2007

Techno web

Dossier OpenOffice : présentation

OpenOffice : le concurrent d'Office gratuit

Suivante
fond ecran openoffice
 
© OpenOffice.org
 

Vous venez d'acheter un nouvel ordinateur, mais il vous manque Word, Excel et PowerPoint. Plutôt que de débourser 169 euros, testez OpenOffice. Gratuit, il reprend les fonctionnalités d'Office et est compatible avec ce dernier.

 

Disponible en version française 2.2.1, et bientôt en version 2.3, il fonctionne avec Windows, Linux et Mac OS. Gratuit, il offre quasiment le même contenu que la suite Office de Microsoft. Pour l'obtenir, il suffit de le télécharger sur le site officiel, ou via notre logithèque.

lundi 15 octobre 2007

Techno web

Le moteur de recherche, indispensable outil de l'internaute ...

Le moteur de recherche, indispensable outil de l'internaute

Les moteurs de recherche sont devenus incontournables dans le paysage Internet : chaque internautes a effectué plus de quatre-vingt requêtes via ces services en ligne au mois d'août, annonce Comscore.

Publié le 11 Octobre 2007
SEO logosPlus de 60 milliards de recherches auraient été effectuées sur Internet pour le seul mois d'août dernier, annonce Comscore. Selon le spécialiste de la mesure d'audience de l'Internet, l'ensemble de ces requêtes aurait été le fait de 95 % des internautes sur cette période. Les 5 % restant accédant directement aux sites désirés. En moyenne chaque internaute aurait effectué plus de quatre-vingt recherches. Ces estimations ont été générées à partir de l'analyse du trafic sur les cinquante sites les plus visités au monde. Elles sont issues de la plate-forme qSearch 2.0, nouveau service de mesure de Comscore centré sur la recherche en ligne.

Le progrès technologique accentue aussi les inégalités

Le progrès technologique accentue aussi les inégalités Appli...

Le progrès technologique accentue aussi les inégalités

Malgré l'opportunité qu'il représente pour le développement, le progrès technologique est en partie responsable de l'aggravation des inégalités. D'où l'importance de mener une politique active de généralisation de l'accès aux TIC.

Publié le 11 Octobre 2007
Changement de niveau de vieLes populations des pays émergents doivent absolument pouvoir bénéficier des retombées du progrès technologique et de la globalisation, souligne le FMI (Fonds Monétaire International) dans le quatrième chapitre du World Economic Outlook, intitulé Globalization and Inequality. Ce, afin de réduire les inégalités. Car si rien ne vient répondre à cet enjeu, les TIC pourraient avoir l'effet contraire. Un effet qui se constate actuellement : sur les vingt dernières années, les avancées technologiques, de paire avec la globalisation de l'économie, ont surtout contribué à accentuer le fossé séparant les marchés matures de ceux en émergence.
 
Les effets pervers de la technologie
 
Principale raison invoquée : qu'il s'agisse des pays avancés ou émergents, les technologies accélèrent la demande de postes à haute qualification au détriment de ceux qui n'en requièrent pas. De même, le moindre changement technologique induit par la mondialisation reflète les effets à la fois positifs et négatifs de la globalisation du commerce et de la finance sur l'inégalité. Il en est de même pour les investissements directs étrangers (IDE), la hausse de l'exportation et la libéralisation des tarifs. S'ils contribuent à la redistribution des revenus, ils participent également à la hausse des inégalités, les personnes jouissant d'un niveau de vie élevé étant les plus à même de tirer partie de ces nouvelles opportunités.
 
Aider les plus pauvres à s'approprier la technologie
 
Selon le FMI, il est dès lors urgent de mettre en place des actions pour permettre aux personnes peu qualifiées et à faible revenu de profiter des progrès technologiques et de la mondialisation. Parmi elles, point de remède miracle, mais la nécessité d'améliorer les systèmes éducatifs et d'élargir l'accès aux services financiers. L'organisme souligne également l'impact positif des initiatives qui visent à aider les travailleurs de secteurs sinistrés à migrer vers d'autres marchés plus porteurs, notamment ceux concernant les TIC. Enfin, plus généralement, une exportation plus importante des produits agricoles des pays émergents vers les pays développés permettrait une distribution plus équilibrée du revenu sur les deux marchés.
 

mardi 9 octobre 2007

Et l'humain dans tout ça?

Les nouvelles technologies cherchent l'humain Applications I...

Les nouvelles technologies cherchent l'humain

Publié le 05 Octobre 2007
Etre efficace n'est pas suffisant. Pour que l'être humain prenne possession d'une technologie, elle doit lui ressembler, ou singer ses habitudes. Quitte à tomber dans l'étrange.
 
Le concours mondial de blagues UML est lancé ! C'était hier. Une communication d'un institut international focalisé sur la conception de méthodologies de développement de logiciel. Faire rire avec Unified Modeling Language, un langage de modélisation des données et de processus... Voilà à quoi on arrive en voulant faire rimer informatique et humain dans le but de "découvrir de nouvelles approches pour améliorer la productivité des développeurs". Un exemple isolé ? Pas du tout. De nombreuses recherches en robotique se concentrent sur l'aspect humanoïde des machines, en particulier celles en contact avec les hommes. Le but n'est pas de faire des robots plus efficaces, mais de mieux les faire adopter par leurs utilisateurs.
 
Les humains humanisent eux-mêmes
 
Les chercheurs n'auront pas forcément beaucoup d'efforts à faire. Il n'y a qu'à voir ce qui se passe avec le robot-aspirateur Roomba. Celui-ci ne ressemble en rien à un humain ? Qu'à cela ne tienne, ses heureux possesseurs font des concours d'habillage ! Au point que Beki Grinter, un professeur du Georgia Tech's College of Computing étudie le phénomène, probablement aidée dans cette tâche par le fabricant. C'est aussi valable pour les applications Internet. Pour preuve le programme de recherche de la Queen's University de Belfast consacré à l'addition du toucher aux univers virtuels. Et s'il n'est pas possible de plaquer la chair sur de l'informatique, il est toujours possible d'y appliquer les us et coutumes terriennes. C'est en tous cas la démarche choisie par le réseau social Xivio.com.
 
Le Pazar au service du gène

Celui-ci a conformé son système de contrôle parental aux "protections" textuelles ordinairement réservées à la télévision ou au cinéma. Le principe est moins original, il est vrai, puisqu'il avait déjà été singé il y a longtemps pour les besoins de la commercialisation des jeux vidéo. Dernier exemple dans le domaine biomédical cette fois. Des chercheurs canadiens, bulgares et français ont lancé un nouveau système de stockage des informations sur la régulation des gènes dans une base de données. Pour faciliter la vie des biologistes, les universitaires se sont inspirés du principe des magasins, et plus précisément des "Pazar", du nom des boutiques bulgares. Le but ici est tout "simplement" de regrouper les données portant sur un même thème au sein de petites bases.

Renaud Edouard-Baraud, responsable éditorial de L'Atelier

vendredi 5 octobre 2007

technoweb


RNDH : Blogs Et Rss


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Présentation pour le Réseau National des Documentalistes Hospitaliers


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jeudi 4 octobre 2007

Techno web

Direction Informatique

La survie des mieux adaptés

01/03/2006 - Quand Darwin a élaboré son grand principe de l’évolution des espèces, il était sans doute loin de se douter qu’on l’appliquerait à la dynamique des organisations à l’ère de la société de l’information.

Patrice-Guy Martin


La capacité de s’adapter à son environnement et à en exploiter les ressources est, selon Charles Darwin, le principal moteur qui conditionne les mécanismes de sélection naturelle et qui décide en bout de ligne, quels sont les types de changements évolutifs qui risquent d’avoir du succès et qui doivent être retenus. C’est essentiellement en se basant sur ces principes que le naturaliste britannique expliquait l’évolution des espèces dans son ouvrage, De l’origine des espèces, publié en 1859.

Tous les articles que vous lirez dans la section économie de votre quotidien favori ou dans nombre de magazines spécialisés, la plupart des reportages et des analyses d’experts de tout acabit qui traitent du monde des affaires n’oublient jamais de faire référence aux conditions du marché qui sont en changement constant. Les écosystèmes économiques sont « vivants » et évoluent sans cesse. La comp;eacute;tition est globale et il n’y a que les mieux adaptés qui survivront. C’est inéluctable.

Dans ce contexte, les technologies ont un rôle extrêmement important à jouer. Elles contribuent à modifier les conditions environnementales à toute vitesse et elles fournissent les moyens de s’adapter pour évoluer au même rythme, permettant ainsi aux organisations de tirer leur épingle du jeu et survivre.

Notre monde n’est plus que global, affirme les analystes de la firme de conseil en gestion McKinsey, il est instantané. Notre manière de travailler doit s’adapter à ces conditions et les outils technologiques sont essentiels pour nous permettre de suivre la cadence. Deux milliards de personnes utilisent des téléphones mobiles, ce qui signifie qu’on peut les rejoindre en tout temps, et nous nous échangeons trois trillions de courriels par année, auxquels nous nous attendons souvent à avoir une réponse immédiate.

Nos besoins en information sont croissants, sauf qu’en même temps nous avons désormais accès à une masse d’information en croissance exponentielle. McKinsey mentionne que nous effectuons, globalement, un milliard de recherches quotidiennes sur Google pour trouver ce que nous cherchons.

De plus en plus d’entreprises mettent en place des systèmes qui aident les gestionnaires à prendre des décisions, soulignent encore McKinsey, transformant la gestion de plus en plus en une science et de moins en moins en un art. Nous l’observons régulièrement : tel système de forage de données analyse les variations de comportement chez les clients d’une entreprise, un système de gestion des relations clients mesure le nombre de plaintes sur un produit spécifique, un outil de rapport permet d’évaluer l’efficacité des campagnes publicitaires sur le Web, etc.

Les technologies ont un impact majeur sur notre façon de gérer, de communiquer et d’interagir. Pour survivre, il faut s’adapter et tirer le meilleur des ressources que sont les technologies. On ne peut malheureusement plus se permettre de rester en marge de tout cela et se refuser de suivre l’évolution technologique.

Les organisations, grandes et petites, ont souvent tendance à réfléchir en termes d’économies de coûts ou de hausse de productivité pour analyser la justification d’un projet ou d’un investissement technologique. Je crois qu’il faut absolument ajouter à l’exercice, l’analyse concurrentielle et la capacité de survie. Les technologies sont devenues un investissement obligatoire pour assurer une croissance, si ce n’est pour se maintenir en place. Si les concurrents le font, il nous faut également le faire, car l’effet de levier dont on pourra profiter en le faisant ne se mesure souvent pas en dollars au préalable et l’investissement de rattrapage que cela pourra demander plus tard risque d’être trop important et nous expose à des risques majeurs.

L’histoire du monde est truffée d’espèces disparues qui n’ont pas su s’adapter aux conditions environnementales changeantes. Je préfère être de celles qui survivent.

Patrice-Guy Martin est rédacteur en chef du magazine Direction informatique.

lundi 1 octobre 2007

Techno web


L'ISO rejette le format Office OpenXML de Microsoft

* Publié par Julien Jay le Mercredi 5 Septembre 2007 | envoyer | commenter
Après les non successifs de la France et de la Grande Bretagne pour la standardisation du format de fichiers Office OpenXML (voir Open XML&ODF: l'AFNOR demande la convergence(màj) et L'Angleterre rejette le format de fichiers Office), format de fichiers promu par Microsoft, c'est sans grande surprise que nous apprenons que celui-ci a été rejeté par l'ISO, l'organisme international de standardisation. Plusieurs pays ont en effet formulé des commentaires négatifs à l'encontre du format OpenXML, des commentaires qui, selon Microsoft, proviennent tous (ou presque) d'une seule et même compagnie, à savoir IBM. Pour être acceptée, une proposition de standard à l'ISO doit remporter deux rounds à savoir l'obtention de deux tiers des voix des membres P, c'est à dire des organismes de standardisation nationaux (comme l'AFNOR) mais aussi trois quarts des voix de tous les membres votants.

Office OpenXML a échoué sur les deux tableaux avec 74% de votes favorables parmi tous les votants et seulement 53% de votes favorables parmi les membres P. La plupart des organismes nationaux de standardisation ont accompagné leurs votes de commentaires et l'Afnor sème la pagaille en demandant de scinder le format OpenXML en deux avec d'un côté une spécification sur le noyau OOXML pour les fonctionnalités de base qui convergerait avec le format ODF et de l'autre une spécification pour les fonctionnalités étendues. La France n'est pas toutefois pas le seul pays à commenter longuement l'Office OpenXML, le Brésil ayant formulé une soixantaine d'objections alors que l'Inde s'inquiète de l'incompatibilité de l'Office Open XML avec le format ODF.

Microsoft devra donc trouver des compromis, à moins que la firme s'entête, alors que son format OpenXML sera l'objet d'un nouveau vote d'ici un an environ. La décision de l'ISO est naturellement un sévère revers pour Microsoft qui, si elle est confirmée l'an prochain par le second vote, pourra priver l'éditeur de certains contrats avec les institutionnels. Certains gouvernements imposent en effet l'utilisation d'un format de document ouvert afin de ne pas être à la merci d'un éditeur de logiciel en particulier pour garantir l'accessibilité à leurs archives numériques pour les années qui viennent.

Naturellement on peut s'interroger sur la volonté qui pousse Microsoft à faire standardiser l'OpenXML coûte que coûte alors que depuis des années l'éditeur impose ses vues avec des formats qui deviennent des standards de fait, et ce sans se préoccuper le moins du monde des normes internationales. Mais cette question trouve peut être sa réponse dans notre précédent énoncé, les institutions publiques exigeant dorénavant des garanties d'ouverture au niveau des formats de fichiers employés et Microsoft n'est certainement pas enclin à perdre des parts de marché, et donc du chiffre d'affaires, à cause de cette exigence. Reste que l'attitude de la firme, son arrogance sur le sujet et son entêtement ne risquent pas de l'aider dans le procédé de standardisation. Et d'aucuns ne diront que pour une fois Microsoft a trouvé plus fort que lui en matière de lobbying... IBM étant vraisemblablement celui « à qui profite le crime », selon les propos de Marc Mossé de Microsoft France.

Pour aller plus loin

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Canoë  Simon-Pierre Goulet
11/05/2007 20h31 - Mise à jour 11/05/2007 21h10
De notre journaliste mobile - Webcom 2007: pour maintenir une longueur d'avance...
 

C'est jeudi qu'avait lieu la seconde édition du Webcom, le rendez-vous des professionnels du Web en entreprise et du marketing.

Une journée complète de conférences portant sur l'intégration des technologies du Web 2.0 au sein des entreprises.

Le thème de cette rencontre: «Toujours une longueur d'avance...»

Au menu: blogues, Wikis, plateformes de mise en relation, Web 3D, phénomène du bouche à oreilles (Word of Mouth).

Environ 80 personnes ont profité du Webcom 2007 pour assister aux diverses conférences et réseauter entre profesionnels du milieu web et interactif.

Le prochain rendez-vous Webcom aura lieu le 14 novembre 2007 au siège social de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), à Montréal.