Qui suis-je

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Je suis un humaniste qui a toujours eu comme objectif l'atteinte de la condition d’honnête homme au sens du XIXe siècle et qui a embrassé l'état de spécialiste du savoir dans ce but de non spécialisation. Je continue à faire marcher mes "petites cellules grises" en m'intéressant à tout et à tous .

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mardi 30 septembre 2008

Avez-vous votre "avatar" ? Jean-Philippe Accart - Home

Un site à consulter souvent ...celui de Jean-Philippe Accard un bibliothécaire Suisse très au fait des techno et de l'évolution des biblio.
http://www.jpaccart.ch/

« Un « avatar » désigne l'apparence que prend un internaute dans un univers virtuel, voire dans des forums de discussion. Choisi par l'utilisateur lui-même, l'avatar le représentant apparaît à chaque fois que celui-ci se connecte à un univers virtuel ou écrit un message dans un forum, afin qu'on l'identifie visuellement. » (Définition Wikipedia). avatarD'après le Gartner Report publié en 2007, plus de 80 % des internautes auront leur avatar sur Second Life d'ici 2011. Second Life est un monde virtuel en trois dimensions lancé en 2003 et considéré comme une des applications du Web social ou Web 2.0. C'est un espace d'échange visant à être aussi vrai que la vie réelle, où l'utilisateur (« le résident ») peut vivre une sorte de « seconde vie » dans un monde qu'il modèle et façonne. Quelques exemples : The Library 2.0 est un réseau international de bibliothèques réelles de plus de vingt universités (Standford, UCLA, Dublin, Guelph...), souhaitant développer leur présence sur Second Life. Plus de 630 bibliothécaires et documentalistes réels y sont affiliés. McMaster University Library a lancé en 2007 un service de référence virtuel sur Second Life, dans le secteur Infoisland, Cibrary City (Second Life est divisé en îlots thématiques, et les bibliothèques et services d'information sont regroupés dans le secteur Cibrary City). Alliance Library System est une expérience identique qui rassemble des professionnels de référence sur l'ensemble du territoire américain : en 2007, plus de 6500 utilisateurs de Second Life ont posé quelque 2400 questions au service de référence virtuel.

Serez-vous parmi les 80% d'internautes ayant un avatar en 2011 ?

JP Accart

cop. octobre 2008

Pourquoi craindre le logiciel libre ? | Logiciels

Michael Wybo, La Presse
29 septembre 2008 | 08 h 16 | 18 commentaires


Au cours de l'année 2008, deux organisations québécoises ont signalé leur intention à la Cour supérieure de Québec de poursuivre le gouvernement pour ne pas avoir passé par un processus d'appel d'offres pour son approvisionnement en logiciels.
Pour en savoir plus
Logiciels | Linux

En plus de voir les achats par attribution comme étant en dérogation avec ses propres règles et un frein à la libre concurrence, ces organisations soutiennent que le gouvernement renonce à des économies importantes en passant directement aux nouvelles versions des logiciels propriétaires au lieu de considérer l'acquisition de logiciels libres.



Pour sa part, le gouvernement justifie son action en soulignant que certains de ces achats sont de simples «mises à jour», et non des achats de nouveaux logiciels. Ce à quoi les organisations plaignantes répliquent que le logiciel libre pourrait facilement remplacer le logiciel propriétaire, sans perte de fonctionnalité, tout en procurant des économies substantielles.

Selon ces organisations, le gouvernement agit comme s'il était une filiale des grands éditeurs de logiciel. Comme d'habitude, la vérité se retrouve quelque part entre ces deux positions extrêmes.

Ce qu'il n'est pas

Il est d'abord utile de clarifier ce que le logiciel libre n'est pas. Le logiciel libre n'est ni une technologie ni un processus de développement de logiciel. Il n'est pas obligatoirement gratuit, ni nécessairement plus performant, plus sécuritaire, ou plus facile à utiliser qu'un logiciel propriétaire, et ne représente certainement pas la fin de l'industrie du logiciel.

Ce qu'il est d'abord et avant tout, c'est un logiciel. Cela veut dire qu'il faut le conceptualiser, en définir les spécifications, le développer, le tester, l'implanter, le maintenir et le supporter dans son utilisation. Ce qui lui confère son aspect «libre», ce sont les termes de la licence sous laquelle il est distribué.

En bref, la licence d'un logiciel propriétaire donne normalement à l'utilisateur des droits de locataire: il peut utiliser le logiciel, mais il ne lui appartient pas. Par contre, la licence libre confère des droits de propriétaire. L'utilisateur a le droit d'installer le logiciel sur autant d'ordinateurs que désiré, le modifier selon ses besoins et le distribuer avec ou sans ses modifications. Il peut même demander d'être payé pour distribuer des copies, avec ou sans ses modifications. Par exemple, le logiciel Ubuntu, une version de Linux, peut être téléchargé gratuitement du site Ubuntu.com. Il est aussi vendu par Amazon.com pour 12$ la copie, plus les frais d'expédition!

L'équipement

Le plus important malentendu que nous ayons rencontré lors de nos recherches est que d'adopter un logiciel libre implique automatiquement que l'organisation doive aussi être équipée pour le développer, l'entretenir et le supporter. Une autre perception très répandue est que l'entreprise sera à la merci d'un groupe de «hackers» anonymes pour ces services essentiels.

La réalité est que la majorité des logiciels libres sont distribués par des organisations ayant pignon sur rue, avec du personnel permanent et des services de soutien à prix compétitif. Bien entendu, un logiciel libre donne la possibilité à son utilisateur de faire son propre développement, entretien et support, mais il ne l'oblige pas à le faire.

Le fait que le logiciel soit ouvert signifie aussi qu'il est possible de développer des compétences locales pour fournir ces services. Aucun logiciel n'est réellement «gratuit» en ce qui concerne son déploiement et son utilisation dans une organisation.

Mais dans le cas du logiciel libre, le choix du fournisseur et le niveau de soutien demeurent sous l'entière responsabilité de l'organisation qui adopte le logiciel en question.

Cet aspect devrait être explicitement pris en considération dans le choix de logiciels par des institutions publiques qui ont un rôle à jouer dans l'économie locale.

Il est tout à fait possible que les coûts d'acquisition d'un logiciel libre (sans frais de licence) et de son contrat d'entretien soient plus ou moins équivalents à ceux d'un logiciel propriétaire dont l'entretien est inclus dans les frais de licence.

Les fonctionnalités

La décision d'adopter un logiciel, qu'il soit libre ou propriétaire, doit être basée sur l'évaluation de ses fonctionnalités, de sa performance et de sa compatibilité avec l'infrastructure TI déjà en place.

Cette décision doit aussi prendre en compte les coûts d'acquisition et d'utilisation des différentes options offertes.

Le logiciel libre offre en plus la possibilité d'exercer des droits de propriété et de déterminer par qui, comment et à quel prix les services essentiels seront fournis.

La meilleure façon d'éclairer une telle décision est encore un processus d'appel d'offres ouvert et transparent.

La semaine prochaine, nous traiterons de l'évaluation des droits de propriété qu'un logiciel libre peut procurer.

L'auteur est professeur agrégé à HEC Montréal: www.hec.ca/profs/michael.wybo.html

jeudi 25 septembre 2008

Le programme « Connected Urban Development » de Cisco indique l'avenir d’une ère de travail durable

SOURCE: CISCO SYSTEMS, INC.
24 sept. 2008 08h55 HE

Le premier centre de travail « Smart Work Center » ouvre ses portes dans la région d’Amsterdam au cours de la 2e conférence mondiale « Connected Urban Development »

AMSTERDAM, NETHERLANDS--(Marketwire - September 24, 2008) - Aujourd'hui, Cisco (R) (NASDAQ: CSCO) a annoncé une nouvelle façon de travailler de manière plus durable sous l’appellation « Connected and Sustainable Work » (Travail connecté et durable), conçue pour fournir aux villes, aux employeurs et aux citoyens un nouveau cadre qui permettra de favoriser la croissance économique, d’améliorer la qualité de la vie, et de relever les défis du changement climatique. L'annonce, marquée par l'ouverture du premier centre de travail Smart Work Centre (SWC) à Almere, Amsterdam, a mis en évidence la deuxième conférence mondiale Connected Urban Development (CUD), organisée par Cisco et la ville d'Amsterdam. La conférence suivra la conférence inaugurale CUD, présidée par Cisco et la ville de San Francisco, l’année dernière en février.

Le premier SWC est situé à Almere, communauté voisine d'Amsterdam et fournit des cadres de travail individuel ou collectif, grâce à des technologies de l'information et des communications (TIC), tout en améliorant le mode de vie, les objectifs de productivité, les modèles d'entreprise, et en réduisant les coûts de voyage et l’impact global des émissions de carbone.

Les centres SWC créent des cadres de travail individuel ou collectif grâce aux technologies de l’information et des communications pour permettre d’exploiter le travail souple et évolutif. Le concept de SWF offre de multiples applications selon les groupes de l'utilisateur qu'il soutient. Sa combinaison novatrice de technologies et de services comprend l'accès aux plates-formes de collaboration telles que Cisco TelePresence pour des réunions virtuelles de qualité supérieure, ainsi que les garderies, des services de restauration haut de gamme et des services financiers, complétés par un bon accès aux autoroutes et aux transports publics. Le SWF est également équipé d’aires de repos intégrées dans le lieu de travail et de grands espaces publics.

« La congestion du trafic et les changements climatiques ont rendu nécessaires la recherche de nouveaux moyens, ou en fait de nouveaux lieux de travail », a déclaré Job Cohen, maire d'Amsterdam. La ville d'Amsterdam, employant plus de 25 000 personnes, est un client de lancement du centre SWC à Almere. « La poursuite de l'innovation est essentielle pour une croissance durable. Amsterdam travaille déjà sur un plan de compensation d’émissions de CO2 pour rendre ses propres bâtiments ‘CO2 neutral’ d'ici 2015 ».

« Nous voulons investir dans la pratique patronale moderne et effectuer des changements de mode de vie afin de préserver l'environnement. Nous avons besoin de nouvelles connaissances pour nous aider à rendre nos modes de vie et nos processus de production le plus neutre possible en termes d'émissions de sources énergétiques et de CO2 », a déclaré Annemarie Jorritsma, maire d'Almere. « Almere est une ville innovatrice. Nous disposons d’un nouveau réseau de fibre optique à l’échelle de la ville, une nouvelle solution TIC à large bande pour la communication visuelle de qualité supérieure permettant aux entreprises de maintenir un contact visuel avec leur siège social qui se situe ailleurs — à la fois au sein et en dehors des Pays-Bas. C'est l'épitome de la mondialisation. En tant que conseillers municipaux, nous tenons à faciliter ces mesures. »

« Nous mettons en oeuvre une nouvelle approche sur la manière d'optimiser la journée de travail », a déclaré Bas Boorsma, chef de Connected Urban Development à Amsterdam, Internet Business Solutions Group (IBSG). « Si les principes de travail intelligent sont appliqués à grande échelle, alors le premier résultat qui en aboutirait serait : l'échange d'informations ne constitue plus une raison principale de transport physique, ce qui signifie moins d'énergie dépensée, moins de temps perdu et un meilleur équilibre travail-vie. »

Le SWC, qui hébergera d'abord les travailleurs de la ville d'Amsterdam, d’HP et de IBM, est un concept souple doté d’applications multiples, selon les groupes d'utilisateurs auxquels le centre s’adresse. Ses services comprennent l'accès aux plates-formes de collaboration telles que la technologie de réunion virtuelle sous la forme de Telepresence de Cisco, ainsi que d’une garderie, des services de restauration haut de gamme et des services financiers, complétés par un bon accès aux autoroutes et aux transports publics. Le SWC est également équipé d’aires de repos intégrées dans le lieu de travail et de grands espaces publics.

Le projet pilote SWC est l’un parmi un certain nombre de projets qui ont vu le jour depuis l’engagement de Cisco pris en 2006 pour soutenir l’objectif que s’est donné la Clinton Global Initiative pour réduire les émissions de carbone. Lancé à la fin de 2006, le programme « Connected Urban Development » (CUD) est un partenariat public-privé visant à remédier aux problèmes environnementaux uniques auxquels sont confrontées les zones urbaines et à développer des solutions TIC qui seront reproduites pour les villes dans le monde entier. Dans sa première phase, la CUD a établi des partenariats avec trois villes, à savoir San Francisco, Amsterdam et Séoul, et a annoncé que quatre nouvelles villes se joindront au programme en février 2007 : Madrid, Lisbonne, Hambourg et Birmingham.

À propos de la ville Almere

Almere est une nouvelle ville multicentrique, située à environ 20 km à l'est d'Amsterdam, fondée par le gouvernement néerlandais en 1971, et abrite actuellement environ 185 000 habitants. Si le gouvernement national pouvait faire ce que bon lui semble, Almere construirait une nouvelle ville autour de la ville existante. Almere continuera de croître — de 185 000 à 350 000 habitants en 2030, avec 60 000 nouvelles maisons, 100 000 nouveaux emplois et services annexes. Cette énorme expansion de la ville d'Almere offre une occasion unique d’aménager sur une grande échelle plus de renouvellement urbain durable à tous les niveaux. En même temps, l’envergure de cette augmentation apporte une énorme responsabilité. Un nombre trop important de résidents doivent se déplacer en dehors de la ville tous les matins pour se rendre au travail. Travailler dans votre propre ville réduit les embouteillages, augmente le temps libre et aboutit en un meilleur progrès économique. C’est pourquoi la ville d’Almere a le plaisir de présenter le premier centre Smart Work Centre.

À propos de Cisco

Cisco (NASDAQ: CSCO) est le chef de file mondial des réseaux, transforme la manière dont les gens se connectent, communiquent et collaborent. Des informations sur Cisco sont disponibles sur le site http://www.cisco.com. Pour obtenir directement les dernières nouvelles, veuillez visiter la salle de presse sur : http://newsroom.cisco.com.

Cisco, Cisco Systems et le logo de Cisco Systems sont des marques déposées de Cisco Systems, inc. et/ou de ses filiales aux États-Unis et certains autres pays. Toutes les autres marques mentionnées dans ce document appartiennent à leurs propriétaires respectifs.

Pour un flux en direct d'informations RSS concernant toutes les nouvelles de Cisco, consultez la page « News@Cisco » sur le site suivant :

http://newsroom.cisco.com/dlls/rss.html

Moonves, l'ami du web - Actualité techno - Internet

Pour le PDG du réseau de télévision américain CBS, Leslie Moonves, les médias qui ne distribuent pas leurs contenus en ligne sont condamnés à l'échec.

Hier à New York, lors d'une allocution dans le cadre de la conférence annuel Mixx, le PDG de CBS, Leslie Moonves, a parlé du rôle que jouait l'Internet pour son réseau de télévision.

D'abord nerveux et effrayé de la possibilité de voir son auditoire fondre au profit de l'Internet, Moonves croit désormais que la diffusion en ligne est inévitable et que les médias qui ne distribuent pas leurs contenus en ligne sont condamnés à l'échec.

«L'Internet n'est pas cannibale, il est seulement complémentaire», a déclaré Moonves qui voit le web comme un laboratoire pour CBS ajoutant que «l'Internet peut aider le réseau et vice versa». «Nous voulons offrir aux internautes un contenu de qualité qui n'est pas que des reprises de ce qu'ils peuvent voir à la télé».

Le PDG de CBS, dont les propos ont été repris par plusieurs médias américains en ligne, a également parlé de l'acquisition récente par CBS du réseau en ligne CNET. Grâce à cette acquisition, Moonves espère que son réseau deviendra un incontournable de l'information et éliminerait potentiellement le besoin pour des médias imprimés. «L'un des avantages de l'Internet est que nous prenons l'argent de la presse», a aussi déclaré Moonves, faisant bondir certains lecteurs du magazine Wired.
par Marc-André Brouillard

Fenêtres contextuelles: les internautes seraient imprudents

Pop-up.jpgLes internautes seraient imprudents lorsque des fenêtres contextuelles (pop-up windows) apparaissent dans leur écran d'ordinateur, révèle une nouvelle étude publiée cette semaine par l'Université de la Caroline du Nord.

L'étude montre qu'une majorité d'internautes appuient sur le bouton « OK » lorsqu'une fenêtre contextuelle apparaît, sans prendre le temps de vérifier la source de l'avertissement.

Or, les fenêtres contextuelles peuvent être un moyen utilisé par les pirates informatiques de berner les internautes afin d'installer un logiciel malveillant dans leur ordinateur.

« Cette étude montre à quel point il est facile de berner les internautes, a déclaré à la BBC l'un des auteurs de l'étude, le professeur de psychologie Michael Wogalter. Les gens devraient fermer la fenêtre plutôt que d'appuyer sur OK. »

L'étude montre que les répondants ont été bernés par de fausses fenêtres contextuelles dans 63 % des cas, même dans ceux où la fenêtre contextuelle soulignait qu'un logiciel malveillant serait installé dans l'ordinateur.

Selon le professeur, les entreprises informatiques devraient penser à de nouveaux moyens pour rendre les messages d'avertissement plus efficaces.

Tony Neate, le directeur général de la campagne publicitaire britannique Get Safe Online, soutient de son côté que les internautes doivent absolument activer un outil pour bloquer les fenêtres contextuelles. « Ces outils sont offerts dans la plupart des navigateurs ou des logiciels antivirus. Il n'y a aucune raison de tolérer ces fenêtres contextuelles, qui servent seulement à installer un logiciel malveillant dans votre ordinateur ou vous vendre des produits », a-t-il expliqué.
© Copyright BRANCHEZ-VOUS! inc. et partenaires, 1995-2008. Tous droits réservés.

mardi 23 septembre 2008

La carte mémoire, nouveau support pour un album? - Actualité techno - Électronique

slotmusic.jpgLa carte mémoire flash deviendra-t-elle le successeur du CD comme principal support pour les albums de musique ? C'est du moins ce qu'espèrent le fabricant SanDisk et quatre maisons de disque.

SanDisk, EMI Music, Sony BMG, Universal Music Group et Warner Music Group lanceront lundi leur nouveau support qu'ils appellent « SlotMusic ».

Plutôt que de graver les chansons d'un album sur un CD, les pièces musicales d'un artiste seront plutôt enregistrées dans une carte mémoire Micro SD. L'album pourra ainsi être écouté en insérant la carte mémoire dans un baladeur audionumérique ou un téléphone cellulaire disposant d'un lecteur compatible.

Les chansons qui se trouveront dans les cartes mémoire « SlotMusic » seront encodées dans le format MP3 et seront disponibles sans protection anticopie.

Selon le Wall Street Journal, qui citent des sources anonymes travaillant pour ces cinq entreprises, les premières cartes « SlotMusic » en vente contiendront les albums les plus récents d'artistes tels que Rihanna, Weezer ou New Kids on the Block.

Un autre dirigeant anonyme aurait pour sa part confié au New York Times que chaque album « SlotMusic » se vendra entre sept et dix dollars. Ils seront disponibles dans les prochaines semaines chez plusieurs détaillants américains, dont Wal Mart et Best Buy.
par Christian Ledu

Microsoft veut redorer le blason de Windows Vista - La Tribune.fr

Le géant américain de l'informatique Microsoft a reconnu ce lundi lors d'une conférence de presse être déçu par les ventes et les performances de son dernier système d'exploitation Windows Vista. Du coup, la firme de Redmond souhaite réhabiliter Windows et reconquérir les utilisateurs.

Lors de sa conférence de presse de rentrée, Microsoft, le célèbre éditeur de logiciels, a fait le point sur ses prochains axes de dévelopement. Y figure notamment son système d'exploitation Windows Vista - dix-neuf mois d'existence - au sujet duquel Eric Boustouller, président du groupe en France, admet avoir essuyé quelques déceptions.

En dépit des améliorations apportées en mars dernier avec la mise à jour de Windows Vista, Service Pack 1 (SP1), le système peine à convaincre tant auprès des professionnels que des particuliers.

D'ailleurs, une étude publiée ce lundi par le cabinet Xiti indique que le bilan de Windows Vista est moins glorieux que son prédecesseur Windows XP. L'étude indique que Vista affiche une part de visites de 19% en août 2008 contre 6,5% un an plus tôt. Au final, XP est toujours devant Vista au sein des visites Windows. Et Xiti de souligner que XP s'était imposé bien plus rapidement que Vista. En témoigne les chiffres délivrés: après dix-neuf mois sur le marché des systèmes d'exploitation, XP générait 37,7% des visites contre 20,3% pour Vista.

Mais, rapporté au secteur global des sytèmes d'exploitation confondus, Microsoft conserve largement sa suprématie avec 93,6% part de marché en août 2008 pour Windows, suivi de Mac OS (4,1%) et Linux (1,2%). L'écart a beau être gigantesque, Xiti constate néanmoins un recul de Windows sur les six derniers mois de 0,97 point quand, dans le même temps, Mac Os et Linux progressent respectivement de 0,08 point et 0,21 point.

Pas question pour Microsoft d'installer durablement cette tendance et pour palier ces contreperformances, le groupe entend réagir. Face aux critiques de Vista, le groupe a dans un premier temps tenté d'améliorer son système, notamment en matière de compatibilité. Le groupe affirme même aujourd'hui "n'avoir jamais été aussi bon". Mais Microsoft a tout de même décidé de sortir l'artillerie lourde avec "la plus grande campagne publicitaire jamais faite pour le grand public par Microsoft" sur la marque Windows.

Ce n'est pas tout. Pour booster ses ventes au-delà des quelques 180 millions d'exemplaires de Vista vendus dans le monde depuis son lancement en janvier 2007, sont aussi prévus des chantiers de démonstration dans les magasins, des gros investissements sur le produit lui-même pour proposer davantage de scénario. Le groupe envisage également de travailler avec des fabricants d'ordinateurs. Et puis, en attendant, la version suivante de Vista, Windows 7, est dans les tuyaux. Une version bêta pourrait sortir à la fin de l'année pour une version définitive attendue début 2010.

mardi 16 septembre 2008

Sir Tim Berners-Lee annonce la création de la World Wide Web Foundation - Actualité techno - Internet

Sir Tim Berners-Lee annonce la création de la World Wide Web Foundation

tbl.jpg

Destinée à promouvoir un Web libre et ouvert afin d'étendre ses avantages à tous les habitants du monde, l'inventeur du Web, Sir Tim Berners-Lee annonce la création d'une fondation dotée d'un fond de démarrage de 5 millions de dollars.

Depuis vendredi dernier, les canaux Twitter des employés du consortium W3C résonnaient d'une importante annonce à venir dimanche soir. C'est désormais chose faite : l'inventeur du Web, Sir Tim Berners-Lee met au service d'une toute nouvelle fondation, la World Wide Web Foundation, une somme de 5 millions de dollars. Ce montant, une subvention provenant de l'importante fondation John S. and James L. Knight, sera le fond d'amorçage d'un formidable projet ayant pour mission «de concrétiser une vision du Web, une humanité connectée par le biais de la technologie».

De dire Sir Tim Berners-Lee, directeur du World Wide Web Consortium (W3C) et codirecteur de la Web Science Research Initiative (WSRI), «le Web est une formidable plate-forme d'innovation, mais de nombreuses difficultés doivent être surmontées pour le rendre plus utile, en particulier pour les populations mal desservies. À travers cette nouvelle initiative, nous espérons développer un écosystème international qui aidera à façonner le Web du futur. Un Web ouvert à chacun nous profitera à tous.»

Les premiers efforts de la fondation seront tournés vers les populations désavantagées afin que ses habitants aient accès aux bénéfices du Web, soit en tout premier lieu, un accès aux ressources et ensuite aux contenus. «La libre circulation de l'information revêt une importance cruciale pour les populations dans une démocratie et le maintien d'un Web libre est essentiel pour l'avenir de cette libre circulation», a expliqué Alberto Ibargüen, PDG de la fondation Knight.

Suite à ce lancement, les administrateurs de la World Wide Web Foundation entendent réunir dans différents projets, et sous un même toit, entrepreneurs, innovateurs, établissements d'enseignement et de recherche, gouvernements, ONGs et experts dans de nombreux domaines.

vendredi 12 septembre 2008

Le Québec, «blogosphère distincte» | Internet

Le Québec est une société distincte jusque dans le monde numérique, ont trouvé trois chercheurs de l'Université Laval dans ce qu'ils décrivent comme la «première étude sur les blogueurs politiques québécois».

Passionnés de politique, avec ou sans affiliation à un parti, ces blogueurs sont des gens ordinaires qui commentent régulièrement l'actualité politique sur leur site Web personnel. Au printemps dernier, Thierry Giasson, professeur au département d'information et de communication de l'Université Laval, a interviewé avec Cynthia Darisse et Vincent Raynauld (Carleton) 56 de ces «journalistes citoyens».

Premier constat, le blogue n'a pas encore atteint ici l'ampleur qu'il a aux États-Unis, où certains blogueurs ont un statut de quasi-vedette. Au Québec, dit M. Giasson, les blogues les plus consultés attirent entre 1000 et 2000 visiteurs par jour. Ce n'est quand même pas mal du tout, bien que l'on soit encore loin de l'achalandage de sites d'informations «traditionnels», comme cyberpresse.ca et radio-canada.ca.

Mais la différence la plus notable se trouve sans doute dans les penchants politiques de ces commentateurs improvisés. M. Giasson a en effet trouvé que 63,4 % des blogueurs québécois se disent «de gauche», contre seulement 21,4 % qui s'identifient à droite.

«Ce n'est pas le portrait qu'on remarque aux États-Unis et au Canada anglais, où les blogueurs de droite sont plus actifs, génèrent plus de discussion et ont plus d'impact politique que les blogueurs de gauche. (...) Dans ce sens-là aussi, le Québec est une société distincte», commente le chercheur.

En outre, les deux tiers (66 %) se disent en faveur de la souveraineté et ils sont des électeurs nettement plus «disciplinés» que la moyenne, puisque 88 % ont voté aux provinciales de 2007 et 84 % aux fédérales de 2006.

On ne doit cependant pas s'attendre, a priori, à ce que les blogueurs du Québec jouent un grand rôle dans la présente campagne, puisque seulement 5 % d'entre eux se prononcent sur la politique fédérale. L'actualité provinciale, municipale et locale retient le gros de leur attention (68 %), suivie des affaires internationales (14 %).

jeudi 11 septembre 2008

Bisbille entre un groupe de presse et Google

Agence France-Presse
11 septembre 2008 | 08 h 05
Bisbille entre un groupe de presse et Google
Le Chicago Tribune -

Le groupe de presse américain Tribune et Google sont engagés dans une controverse acrimonieuse sur la responsabilité de la diffusion d'un article de presse remontant à 2002 sur la faillite de United Airlines, dont la rediffusion avait semé la panique à Wall Street lundi.

Tribune, qui publie notamment le Chicago Tribune et le Florida Sun Sentinel d'où est ressortie l'information de 2002 lundi, en était mercredi soir à son cinquième communiqué de la semaine sur l'affaire.«La confusion entourant un article du Chicago Tribune de 2002 (diffusé) sur internet le week-end dernier a commencé avec l'incapacité du système automatisé de Google, 'Googlebot', de faire la différence entre les informations nouvelles et les articles consultés fréquemment sur les sites internet des journaux», a souligné Tribune mercredi soir, affirmant avoir demandé à Google, avant même cet incident, de cesser de référencer les sites internet de ses journaux.

«Ce qui est clair», a riposté un porte-parole de Google interrogé par l'AFP, «c'est que si l'article avait été clairement daté, rien de tel ne serait arrivé».

En outre, a ajouté le porte-parole, Gabriel Stricker, «l'affirmation selon laquelle Tribune a demandé à Google de cesser de référencer les articles de ses journées n'est pas vraie».

Le titre de United Airlines avait perdu plus des deux tiers de sa valeur, à tombant à 4,42 dollars, et sa cotation avait dû être brièvement suspendue après la reprise par une agence de presse d'un article affirmant que la compagnie aérienne se mettait sous la protection de la loi sur les faillites.

Cette information émanait d'un article de 2002, qui était apparu sur le site internet du Sun Sentinel parmi les «articles les plus lus», après avoir été consulté une seule fois mais à une heure creuse durant le week-end, selon Tribune.

De là il avait migré, sans référence de date, à la Une du site internet du Sun Sentinel avant d'être référencé, également sans mention de la date originale, par Google News, puis d'être repris par une agence de presse.

Marie-Eve Morasse : Google numérise les archives des journaux | Internet

Google a dévoilé plus tôt cette semaine la première phase d'une vaste entreprise pour mettre les archives de plusieurs quotidiens disponibles en ligne. Un journal québécois est un des premiers à sauter dans l'aventure.

Pour en savoir plus
Google | Moteurs de recherche

Le Quebec Chronicle-Telegraph, publié de Québec depuis 1764, a accepté l'offre de Google de numériser les microfilms contenant ses archives.

Résultat : une partie de ses archives sont maintenant disponibles à tous les internautes via le site Google News. La totalité des archives le sera au cours des prochains mois.

Google a également l'intention de permettre aux journaux de mettre ces archives numérisées sur leur propre site.

«Personne ne peut égaler l'expertise de Google et la vitesse avec laquelle ses serveurs livrent l'information», explique Pierre Little, l'éditeur du journal, pour expliquer son choix de dire «oui» au géant de la recherche.

L'équipe du Quebec Chronicle-Telegraph a toutefois pris soin de vérifier comment les droits d'auteurs seraient respectés dans le cadre de cette entente avec Google.

Comme elle le fait pour la plupart de ses produits, Google place des publicités contextuelles aux côtés des archives des journaux. Elle garde la moitié des profits et redistribue l'autre moitié aux quotidiens.

Plus d'une centaine de journaux collaboreraient actuellement avec Google à ce projet et des millions d'articles auraient déjà été numérisés.

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lundi 8 septembre 2008

Mozilla renouvelle son entente avec Google - Actualité techno - Internet

La Fondation Mozilla a récemment annoncé le renouvellement de son entente avec Google, qui lui rapporte annuellement 57 millions de dollars américains, soit environ 85% de ses revenus.

L'entente, qui devait expirer en novembre 2008, expirera plutôt en novembre 2011.

Comme le support de Google compte pour 85% des revenus de Mozilla, on pourrait penser qu'elle en est dépendante. Pourtant, Mozilla tient à son indépendance, selon un paragraphe de leur FAQ sur les états financiers de 2006, pointé par TechCrunch: «Nous développons [nos produits] en suivant un processus ouvert et sans lien avec [la relation] que nous entretenons avec Google. Nous parlons avec Google des portions du produit qui offrent des produits Google, comme la page d'accueil de Firefox, et les services qu'ils nous fournissent. Autrement, Google n'a pas de relation particulière avec les activités de développement de Mozilla.»

La conseillère de Mozilla Mitchell Baker expliquait, quant à elle, que «[Google] apprend chaque année davantage de manières d'utiliser les ressources financières de Mozilla pour aider ses contributeurs, via l'infrastructure qu'elle propose, de nouveaux programmes, et du support de la part d'employés.»

«Nos défis sont grands, nos opportunités sont grandes, et notre force est grande. Le tout réuni, on a un brillant avenir.»

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Ottawa coupe dans les nouveaux médias - Actualité techno - Internet


Le Fonds des nouveaux médias du Canada a récemment annoncé à ses partenaires la fin de son programme, prévue pour le 31 mars prochain.

Le programme, qui visait à «favoriser la conception, la production, la commercialisation ou la distribution de nouveaux médias culturels canadiens de qualité supérieure, originaux, interactifs ou en ligne, dans les deux langues officielles,» coûtait annuellement 14,5 millions de dollars et vient en aide à plusieurs créateurs et diffuseurs.

Administré par Téléfilm Canada et financé par Patrimoine canadien, le Fonds a une histoire de dix ans caractérisée par l'instabilité; renouvelé chaque un ou deux ans, le programme semble avoir subi les contrecoups d'une vision à trop court terme.

«La nouvelle génération consomme beaucoup de contenu en ligne, dont une grande portion en provenance des Etats-Unis. Pour les Canadiens qui souhaitent que leurs enfants consomment du contenu canadien ligne, ce Fonds favorise l'innovation, crée de l'emploi et une industrie rentable,» expliquait Raja Khanna, co-PDG de GlassBOX Television, un bénéficiaire du Fonds, au Globe and Mail. «Sans le Fonds, ça ne sera pas possible. C'est majeur.»

Un nouveau programme, mieux adapté aux récents changements technologiques, pourrait voir le jour. Téléfilm Canada n'a pas retourné les appels du Globe and Mail.

Source: The Globe and Mail

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jeudi 4 septembre 2008

Google Chrome : le test complet

Le navigateur web de Google adopte une architecture totalement différente de celle de ses concurrents. Il est particulièrement réussi. Nous l'avons scruté sous toutes ses coutures, comparé à I.E 8 bêta 2, à Firefox 3..., En 6 pages


Nous avons effectué un test complet de la version bêta deGoogle Chrome, le navigateur web du géant de la recherche Internet. En tout premier lieu, nous tenons à signaler combien ce produit est intéressant, tant il fourmille de bonnes idées. C'est, de loin, le meilleur navigateur Internet du marché. Et il n'est encore disponible qu'en version bêta ! Notez que le code source de ce logiciel est accessible sous licence BSD (une licence open source très permissive).

L'interface graphique est des plus réussies. Par défaut, Chrome ne présente qu'une barre d'onglets placée en haut de la fenêtre et une large barre d'adresses suivie de deux icônes. La première affiche un menu des fonctions disponibles (copier, coller, rechercher, imprimer, manipulation des fenêtres et onglets…) alors que la seconde se concentre sur les outils (options, historique, téléchargements…). Au besoin, vous pourrez également choisir d'afficher la barre des favoris de façon permanente.

Une interface simplifiée à l'extrême

L'interface est aussi dépouillée que celle proposée par les autres navigateurs web du marché quand ils sont configurés en mode « plein écran ». Elle demeure toutefois aussi complète que lorsque les autres produits se trouvent en mode « normal ». L'essentiel de l'espace de votre écran sera donc utilisé pour visualiser la page ; un (premier) bon point. Notez que l'aide et les historiques (pages ou téléchargements) s'affichent tous dans de nouveaux onglets. Cela évite la multiplication des fenêtres.

Nous retrouvons ce concept dans la gestion des popup : ils s'ouvrent, mais dans une fenêtre réduite, laquelle se place en bas de la page du navigateur (mais dans aucun des autres onglets ouverts). Un simple clic permet d'en afficher le contenu. Cette solution est plutôt novatrice. Nous l'avons confrontée aux nombreux tests de popuptest.com. Tous les popups'affichent de façon non intrusive. Vous pouvez donc les ignorer sans problème, ou les afficher si vous le souhaitez : plus besoin de gérer les paramètres de votre filtre anti-popupsite par site ! Notez que le logiciel a le bon goût de bloquer les popup qui vous empêcheraient de continuer à surfer normalement.

La barre d'adresses/recherche (ou omnibox) propose des résultats issus de votre historique de navigation, ainsi que ceux suggérés par votre moteur de recherche favori (qui n'est pas obligatoirement celui de Google). Le tout est totalement interactif : tapez « proc » et Chrome vous proposera de rechercher « processeur » sur Internet. Ce concept élimine le besoin d'une barre de recherche séparée : encore de l'espace gagné.

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