Qui suis-je

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Je suis un humaniste qui a toujours eu comme objectif l'atteinte de la condition d’honnête homme au sens du XIXe siècle et qui a embrassé l'état de spécialiste du savoir dans ce but de non spécialisation. Je continue à faire marcher mes "petites cellules grises" en m'intéressant à tout et à tous .

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mercredi 9 décembre 2009

Collecta : recherche d'opinions en temps réel

Collecta fait parti des nouveaux moteurs de recherches en temps réel. C'est-à-dire indexant quasi automatiquement les contenus publiés sur le web (sur le modèle de Twitter). Le temps réel semble donc être une des avancées les plus significatives du web à l’heure actuelle, et intégrer ce concept à l’aide d’outils adéquats dans sa veille d’e-réputation parait nécessaire.

in reference to:

"Collecta : recherche d'opinions en temps réel Collecta fait parti des nouveaux moteurs de recherches en temps réel. C'est-à-dire indexant quasi automatiquement les contenus publiés sur le web (sur le modèle de Twitter). Le temps réel semble donc être une des avancées les plus significatives du web à l’heure actuelle, et intégrer ce concept à l’aide d’outils adéquats dans sa veille d’e-réputation parait nécessaire."
- Collecta : recherche d'opinions en temps réel - CaddE-Réputation (view on Google Sidewiki)

mardi 8 décembre 2009

Google révolutionne la Recherche ce soir ! - Zorgloob - Tout savoir sur Google... ou presque !

Google révolutionne la Recherche ce soir ! - Zorgloob - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Google révolutionne la Recherche ce soir !

Par TOMHTML

3 commentaires
Google révolutionne la Recherche ce soir !

Recherche vocale, visuelle, géolocalisation, temps-réel, … Que d’annonces pour Google ce soir, que d’annonces !

Au cours des 67 derniers jours, Google a rendu public 33 nouveautés concernant son activité de base : son moteur de recherches. Avec les vacances on pensait qu’ils se seraient calmés. On en est loin !!! Pendant que la conférence de Google suit son cours en Californie – vous pouvez suivre nos commentaires en direct sur Zorgloob Live – Zorgloob fait le point sur les nouveautés annoncées de taille ce soir."

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mardi 10 novembre 2009

Le Web des Données : Rendre l’information compréhensible par des machines | ReadWriteWeb France

L'article ci-dessous va, pour une foi, au-delà du quotidien et nous fait entrevoir un changement majeur dans nos relations avec l'ordinateur et l'information, permettant au non spécialiste un raffinement sans précédant dans ses interrogations.

Ecrit le 29 octobre 2009 par Alexander Korth et traduit par Julien Nakache

Dans les prochaines années, nous serons témoin d’une révolution dans la capacité des machines à accéder, retraiter et utiliser l’information. Cette révolution sera due essentiellement à 3 tendances liées au Web Sémantique : le Web des Données, le Web des Services et le Web des Identités. Ces Webs ont pour objectif de rendre disponibles, accessibles et utilisables le savoir sémantique concernant des données, les services sémantiques, et le savoir sémantique concernant des individus. Dans cet article, nous allons explorer le premier des ces 3 Webs, le Web des Données, et voir comment rendre l’information accessible par des machines transformera la manière de trouver l’information."
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vendredi 30 octobre 2009

» Résultats d’octobre – NETendances 2009

» Résultats d’octobre – NETendances 2009

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Evaluer sa présence sur les réseaux sociaux

Evaluer sa présence sur les réseaux sociaux

Je suis intervenu le 16 octobre 2009 à une journée très intéressante sur Web 2.0 et musées au Louvre. Les objectifs de cette journée étaient de communiquer sur la démarche des musées au niveau du web participatif et de partager les expériences en la matière. La plupart des présentations sont disponibles sur Slideshare.

par Philippe Fabry, titulaire d’un DESS sur les communautés virtuelles et management de l’intelligence collective, je travaille dans le domaine des TIC. Depuis 2003, je me suis spécialisé dans le tourisme.

lundi 24 août 2009

La fin de la presse en ligne gratuite ?

La fin d'une hère? La fin de la gabegie? A vous de décider!

La fin de la presse en ligne gratuite ?

La fin de la presse en ligne gratuite?Journalism Online est une entreprise fondée par d’anciens patrons de presse US qui entendent mettre fin au modèle de la presse en ligne gratuite.
A lire sur http://socialmediatoday.com/fra/118132

vendredi 21 août 2009

Twitter payant avant la fin de l'année?


21-08-2009

Par Christophe Lagane


Le créateur de Twitter, Biz Stone, évoque l'arrivée de services payants pour le courant de l'année

lundi 3 août 2009

=?iso-8859-1?Q?Votre s=E9lection d'actualit=E9s?=


Twitter, outil de résistance et de désinformation ?

Publiée le 19 juillet 2009. Version originale : http://www.les-infostrateges.com/actu/0907758/twitter-outil-de-resistance-et-de-desinformation

Le journal Swissinfo.ch s'intéresse au service Twitter dans un article intitulé "Outil de résistance, Twitter, l'autre face du journalisme".
Cet outil de microblogging qui permet à l'utilisateur d'envoyer des messages, appelés des tweets (gazouillis en français), de 140 caractères maximum par Internet, par messagerie instantanée ou par SMS, est devenu en l'espace de quelques mois un véritable phénomène médiatique. Le Web 2.0 a fourni des outils (blogosphère, réseaux sociaux, plateformes de partage vidéo, etc.) qui permettent aux internautes de devenir des médias à part entière. Twitter accélère le processus en offrant la possibilité de réagir en temps réel sur certains événements (exemples du crash de l'Airbus Rio-Paris ou de la mort de Mickael Jackson) et surtout de contourner la censure étatique.

La puissance de Twitter s'est à nouveau révélée à travers les dernières élections contestées en Iran. Ainsi, selon le journal Swissinfo.ch, "Les canaux de télévision ont été mis en veilleuse, les lignes téléphoniques ont été interrompues et les sites Internet placés sous contrôle militaire. Twitter est donc resté le seul moyen de communication en mesure d'affronter les contrôles du gouvernement iranien. Car, pour fonctionner, il n'a pas besoin d'une adresse de poste électronique et les messages (tweets) peuvent aussi être envoyés par sms. « Il s'agit d'une façon différente de communiquer », poursuit Nicole Simon. « Par ce biais, les barrières de la censure peuvent être renversées dans les régimes, iranien ou chinois par exemple, qui essayent de bâillonner les informations. En soi, c'est un résultat exceptionnel.»"

Mais il faut rester prudent car si Twitter peut permettre le développement d'un journalisme à la portée de tous, il peut également se transformer en outil de diffusion de rumeurs favorisant la manipulation de l'information. Il convient donc de veiller à la fiabilité des sources diffusées sur ce type de réseaux qui tendent à apparaître comme de nouveaux espaces propices à la guerre de l'information.

Consulter l'article de Swissinfo.ch : www.swissinfo.ch/fre/a_la_une/Outil_de_resistance_Twitter...


vendredi 1 mai 2009

Social Network Sites Not Just For Teens

Dans l'article repris ci-après, on nous montre que le "web social" n'est pas que pour les jeunes. A 59 ans , j'en suis la preuve. (JMR)

Pc World.ca Forums

The common perception of social networking sites is that they are the exclusive realm of teens and college students. However a recent study conducted by Pew Research shows that every year, more and more adults are hopping aboard social networking sites.

According to the study, in February 2005, only 8 percent of adult Internet users claimed to use social networking sites, but that number has increased to 35 percent as of December 2008.

By age, the breakdown of adult users shows that social networks are still mostly populated by younger users. 75 percent of 18 to 24 year olds use social networking sites, with a still respectable 57 percent of 25 to 34 year olds also using sites. As expected, the percentage steadily decreases as the age increases, but 7 percent of adults 65 and older have accounts on social networking sites--something I found very impressive.

Really, this data shouldn't come as too much of a surprise. Teens and college students grow up, and as they move into the adult age bracket they will keep their social networking accounts in order to stay in touch with friends. According to the study, 89 percent of adults who use social networking sites do so for the purpose of staying in touch.

What I did find surprising from the study was which social networking sites are most used by adults. There is a perception that each of the social networking sites caters to a specific demographic. Typically Myspace is considered the realm of young teens and high school students, while Facebook is for college students, and LinkedIn is meant to cater to adults. However, in reality 50 percent of adults who subscribe to social networking sites are Myspace users, with only 22 percent on Facebook, and 6 percent on LinkedIn.

As the current generation of social network users enters the workforce it will become more commonplace for adults to have accounts with social networks. Even older employees will be encouraged to jump aboard the social network bandwagon in order to keep in touch with their colleagues, and the age that uses social networking will continue to grow."

mardi 28 avril 2009

Panorama du web 2009 : l’ère de l’«e-socialisation

A lire "Panorama du web 2009 : l’ère de l’«e-socialisation »
Selon une récente étude de Nielsen Online’s, les réseaux sociaux seraient désormais plus populaires que l’e-mail (66,8% des utilisateurs d’Internet ont utilisé les réseaux sociaux contre 65,1% pour l’e-mail)…"

lundi 27 avril 2009

Attention aux chiffres et à l'engouement médiatique...l'exemple Twitter

Lire cet article très intéressant sur l'engouement médiatique qui remet les pendules à l'heure et nous fait différencier le feux de paille de l'apport réel.(JMR)

Attention aux chiffres et à l'engouement médiatique...l'exemple Twitter: "Beaucoup de médias ou d'entreprises s'enflamment suite à la lecture d'articles de blogs ou de presse tout aussi enflammée sur le phénomène Twitter. 'Mais si Twitter, il faut absolument que j'y sois : c'est une chiffre de croissance à quatre chiffres, c'est énorme !'. Il faut pas oublier une chose, c'est qu'en partant de très bas, les chiffres de croissance pourraient laisser croire qu'un grand nombre d'internautes français sont sur Twitter alors que ce n'est pas le cas. Comme je le précisais récemment dans un commentaire sur cet article de Fred Cavazza : Twitter a-t-il atteint le point de bascule ?

Twitter n'a pas encore atteint 100 000 utilisateurs en France, donc on est très loin des quasiment 10 millions d'utilisateurs de Facebook, si je devais comparer ces services sur leur audience en France. Twitter a encore un taux de pénétration très faible en France de la population internaute. Je vous rassure, je ne dis pas que je ne trouve pas l'outil pertinent car je suis le premier à l'utiliser très fréquemment (http://twitter.com/cdeniaud) et à en être très satisfait dans l'usage professionnel que j'en ai, mais il faut également penser à la majorité des internautes dont je ne suis pas représentatif, au niveau des usages."

lire la suite

jeudi 23 avril 2009

Plus on est âgé, plus on est engagé

lire cet article en format original sur Social média
"O'Reilly s'est fendu d'une fort étude sur Facebook par pays. Elle est intéressante à deux titres.

D'abord sur les comparaisons par pays. O'Reilly a produit des chiffres en valeur et non en taux de pénétration et je vous propose donc quelques extractions sous cet angle. Où l'on voit qu'avec bientôt 10 millions de français enregistrés, il y en a encore sous le pied et que nôtre beau pays est même talonné de près. Où l'on constate que Facebook a encore du chemin à faire dans d'autres grands pays bien plus avancés dans le développement des usages numériques. Sauf qu'en Allemagne, Facebook est concurrencé par Studivz, son précurseur germanique et ses 13 millions d'utilisateurs, ce qui ferait porter le taux germain à presque 20% de pénétration. Facebook a beau dominer la géopolitique des réseaux sociaux, il est loin d'avoir tout conquis. Ce n'est pas non plus l'arbre qui cache la forêt. La qualification de mainstream devrait aussi s'appliquer aux réseaux sociaux maintenant.

Mais le plus frappant, c'est d'observer, toute géographie confondue, que plus une tranche générationnelle est représentée, moins elle est active. Il y a là-dedans une part d'évidence. Dans une tranche à faible taux de pénétration, on est à l'émergence, donc avec une forte proportion de précurseurs hyperactifs par nature. À l'inverse, dans une tranche à maturité, il y a un effet de dilution évident. Pour autant, on ne peut qu'être frappé par le niveau d'activité des plus âgés. Nous avons tellement en tête la génération Y et le fait que les petits jeunes sont suractifs, qu'on en oublierait de regarder à côté.
Cela fait plusieurs fois que je vous bassine avec la suractivité de la population féminine de plus de 45 ans, mais le fait est qu'à l'instar des Twitter Moms dont je parlais dans mon dernier billet, cette frange manifeste un dynamisme et un engagement vraiment très important. De là à observer des effets de broadcast, il n'y a qu'un pas.

Facebook et les réseaux sociaux sont les instruments des jeunes génération, cela ne fait aucun doute. Mais en même temps, n'est-il pas temps de prendre acte du caractère mainstream des réseaux sociaux et de considérer que les populations plus matures sont bien là et qu'elles sont mêmes bien plus engagées que leur progéniture. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'on découvre une sorte de ménagère de moins de 50 ans de l'ère numérique, mais je pense qu'on devrait être moins enfermé dans les stéréotypes et utiliser les médias sociaux sur bien d'autres populations que des ados ou post-ados. On pourrait alors peut-être découvrir une valeur inattendue, en ces temps où d'aucun se plaignent que ça pourrait marcher mieux."

lundi 6 avril 2009

Sites That Will Matter in 2009

Les lecteurs de PC World .CA choisissent les sites qui compterons en 2009. Êtes-vous d'accord?
Conparez vos choix avec ceux de cet article

"Most readers liked our '10 Sites That Will Matter in 2009' but they also had quite a few suggestions of their own for sites that will be big this year. We take a look at them, and give you our impressions.

Whenever we publish a story saying that a group of products, services or sites are All That TM, we get a wave of inevitable (and instructive) responses from readers doubting our sanity and/or nominating alternatives that should have been on our list.

Our recent feature called '10 Sites That Will Matter in 2009' was no different. Many PC World readers actually lauded our picks for 2009's big sites, but they still submitted many other suggestions for sites that should have made the list.

I decided to go check out these sites that our readers say are All ThatTM. And some of them, I found, were pretty darn good.

FindingDulcinea"

Forum Mondial de l'e-Démocratie: Une présidence 2.0 ?

Barack Obama est bien de son temps. Après avoir fait une campagne par le web, après avoir rallié les forces vives de la nation américaine par le web 2.0, il tend vers la démocratie directe en se servant du web et des outils 2.0. Le chat viens donc d'acquérir ses lettres de noblesse. Ce n'est plus un amusement. C'est un outils de démocratie.(JMR)

"Une présidence 2.0 ?

Après sa victoire,Barack Obama avait promis un « gouvernement ouvert », et l'utilisation « les outils technologiques capables de promouvoir la participation citoyenne dans la prise de décision ».Deux récentes initiatives (un chat organisé depuis la Maison Blanche et l'appel à la mobilisation de ses partisans pour soutenir son projet de budget) illustrent cette nouvelle façon de gouverner à l'ère de la société numérique.

Pour la première fois, un Président américain a répondu, le 26 mars dernier, aux questions posées par les Internautes."

Pour lire cet article important au niveau social

Forum Mondial de l'e-Démocratie: Un diplôme de journaliste Internet ?

Le Forum Mondial de l'E démocratie nous parle aujourd'hui d'un phénomène important, l'instauration par une université française d'un diplôme de journalisme sur Internet. Allié aux nouvelles régulières depuis un an concernant la faillite de grands journaux et le passage à une publication sur internet exclusive de plusieurs autres, c'est un signe de plus que les journaux , tel qu'on les connais depuis plusieurs siècles sont une espèce en voie de disparition. A lire.

"Un diplôme de journaliste Internet ?

L'Université de Metz vient d'annoncer la création d'une licence de 'journalisme Internet' destinée à former au journalisme en ligne des"

pour lire cet article

jeudi 2 avril 2009

Europe : Firefox 3 passe devant Internet Explorer 7 ! Actualité --- Silicon.fr ---

"StatCounter fournit des statistiques d’utilisation des navigateurs web. Il annonce que sur les sept derniers jours Firefox 3 passe devant Internet Explorer 7 sur le marché européen.

C’est une première pour le navigateur de la fondation Mozilla. Toutefois, Microsoft reprend l’avantage lorsque nous additionnons les parts de marché d’IE 6 et IE 7. Toutes versions confondues, Firefox reste derrière Internet Explorer. Mais l’écart se réduit : 38,96 % d’utilisateurs pour Firefox et 48,83 % pour Internet Explorer.

Internet Explorer 7 reste cependant devant Firefox 3 au niveau mondial, boosté par des parts de marché de 46,78 % en Amérique du Nord. Nous notons également la contre-performance de Firefox 3 sur le territoire français. Avec 27,39 % des parts de marché, il reste loin derrière Internet Explorer 7 qui caracole en tête à 52,65 % de parts de marché.

L’Europe reste globalement favorable aux offres open source. Ceci se confirme avec les systèmes d’exploitation. Linux est ainsi utilisé par 1 % des internautes européens (devant Windows 2000 !). C’est bien mieux que la moyenne mondiale, qui est de 0,65 %.

Cette dernière est largement tirée vers le bas par certaines régions, où le piratage règne en maitre, mais aussi par l’Amérique du Nord où seul 0,58 % des PC sont équipés de Linux. Cette fois-ci, la France fait partie des bons élèves, puisque Linux représente 1,28 % des parts de marché. Ouf."

vendredi 27 mars 2009

ARCHAMBAULT vendra des livres électroniques cet été - QuébecTech - Mobilité

Cet article de Branchez-vous sera peut être un jour, la pierre kilométrique zéro d'une révolution...???

"Dès cet été, Archambault embarquera dans le train du numérique et vendra des livres québécois en format électronique, a appris Branchez-vous.com.

Le détaillant de musique et de livres, filiale de Quebecor, vend depuis novembre dernier un lecteur de livres électroniques, le Cybook Gen3, au coût de 350$, mais le choix de littérature francophone est jusqu'à présent assez limité.

Or, dès son lancement, le nouveau service d'Archambault permettra de télécharger un minimum d'un millier de documents d'une vingtaine d'éditeurs de la belle province.

Tout cela sera rendu possible grâce à une initiative de l'Association nationale des éditeurs de livres (ANEL). Depuis peu, le regroupement met à la disposition des éditeurs de langue française du pays un outil pour les aider à distribuer des livres électroniques.

Il s'agit en fait d'une plateforme numérique ouverte à tous les éditeurs, membres ou non de l'ANEL, dans laquelle ils peuvent téléverser des livres ou seulement quelques chapitres pour consultation, en quelques clics rapides.

Développé par la firme québécoise De Marque, cet «entrepôt numérique» servira ensuite de passerelle auprès des librairies et marchands de livres. Archambault est un des premiers clients de l'entrepôt.

Si l'ANEL atteint son objectif de verser 3000 autres livres francophones d'ici la fin de l'année, ce sera autant d'œuvres qui seront mises en vente sur Archambault.ca.

Les livrels (pour livres électroniques) que distribuera Archambault pourront être lus sur des ordinateurs ou des lecteurs de livres comme le Cybook.

À long terme cependant, Archambault vise aussi les cellulaires, comme l'iPhone ou le BlackBerry, a dit Philippe Laperle, directeur des achats et de la mise en marché, volet livres et web chez Archambault.

De même, le choix d'œuvres s'élargira également. «On va commencer avec les livres québécois de l'ANEL. Ensuite, on va étendre notre sélection à des auteurs d'autres pays», précise-t-il.

Quant aux prix proposés, Archambault ne compte pas copier la formule d'Amazon. Le détaillant américain en ligne fixe un prix unique pour les best-sellers: 9,99 $US.

«Le Québec est un marché beaucoup plus petit que celui des États-Unis. On ne peut se permettre des prix aussi bas que ceux d'Amazon», note M. Laperle.

De toute façon, poursuit-il, ce ne sera pas Archambault, mais bien les éditeurs qui détermineront le prix de vente de leurs produits.

Il est encore tôt pour savoir si le livre numérique connaîtra une certaine popularité. Pour l'heure, il est loin d'avoir la cote.

Aux États-Unis, il compte pour seulement 1% des ventes totales de livres et au Québec, pour presque rien, selon des chiffres fournis par le vice-président du numérique chez de Marque, Clément Laberge.

Or, outre Archambault, Indigo Books and Music y voit un potentiel. Le commerçant a récemment lancé Shortcovers, une plateforme permettant d'acheter des livres électroniques et de les lire sur un ordinateur, un iPhone, un BlackBerry ou un cellulaire supportant Android. Aucun livre en français n'y est encore vendu.

Quant à l'autre grand libraire du Québec, Renaud-Bray, il ne projette pas de vendre des livrels, nous a affirmé sa porte-parole, Marie-Eve Carron."

lundi 23 mars 2009

Galerie d'images : Le Web a 20 ans : la genèse en images - ZDNet.fr

Galerie d'images : Le Web a 20 ans : la genèse en images - ZDNet.fr: "Le Web a 20 ans : la genèse en images

Par Jonathan Skillings , CNETNews.com
ZDNet France, publié le 16 mars 2009
Tags: Navigateurs, Recherche et développement, Navigateurs, Recherche et développement

Photos - Retour sur la genèse du Web et les premières étapes de sa création au sein d'un laboratoire du CERN par Tim Berners-Lee.
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Le fondateur, Tim Berners-Lee
En 1989, les PC étaient encore une nouveauté pour la plupart des gens et, en dehors des milieux scientifiques, rares sont les personnes qui avaient déjà entendu parler d’Internet.

Tout cela était sur le point de changer : le 13 mars de cette même année, un chercheur nommé Tim Berners-Lee (ici sur la photo en 1994) travaillant au CERN, l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire, soumet un projet très sérieux visant à adresser « le problème de la perte d’information dans des systèmes complexes et évolutifs » : il propose « une solution basée sur un système distribué hypertext ».

Ce qui donnera naissance au World Wide Web et, accessoirement, à Facebook, eBay, Google, iTunes, Youtube, Pets.com et aux blogs...

lire la suite
(crédit photo : CERN)"

mercredi 18 mars 2009

IBM voudrait racheter Sun Microsystems

Selon le Wall Street Journal, IBM serait en négociation pour racheter l'américain Sun Microsystems, fabricant de serveurs et concepteur de systèmes d'exploitation (Java, Solaris). Il serait prêt à verser pour cette opération 6,5 milliards de dollars en cash.

IBM offrirait même une prime de 100% par rapport aux 4,95 dollars par action que vaut Sun sur le Nasdaq, la Bourse américaine des valeurs technologiques.

Le quotidien américain des affaires souligne que ces derniers mois, Sun a fait l'objet de plusieurs approches en vue d'un rachat. Si IBM met effectivement la main sur son concurrent de la Silicon Valley, il pourrait asseoir sa position de premier fournisseur mondial de serveurs et distancer encore HP et Dell. Une telel acquisition lui permettrait également de faire face à l'arrivée d'un nouveau rival, l'américain Cisco, qui a annoncé lundi son entrée sur le marché des serveurs.

Sun Microsystems a réalisé en 2007-2008 (exercice annuel clos au 30 juin) 13,87 milliards de dollars de chiffre d'affaires et dégagé 473 millions de dollars de bénéfice net. Puis en novembre dernier, le groupe engageait un plan de restructuration avec la suppression de 6.000 postes à la clé, soit 18% de ses effectifs . Au deuxième trimestre 2008-2009 le groupe est tombé dans le rouge et a vu ses ventes chuter de 11%.
lire cette information du Wall Street Journal relayée par La Tribune

latribune.fr"

lundi 16 mars 2009

Crise : les responsables informatiques regardent de plus en plus Linux Actualité --- Silicon.fr ---

"La crise pourrait donner un sérieux coup de fouet au pingouin. Selon une étude IDC menée pour le compte de Novell, plus de la moitié des 300 responsables informatiques interrogés prévoient d’accélérer l’adoption de Linux en 2009. Par ailleurs, plus de 72 % des personnes interrogées ont affirmé qu’elles y réfléchissaient sérieusement, ou qu’elles avaient déjà décidé d’augmenter leur utilisation de Linux sur le serveur en 2009, avec plus de 68 % pour le poste de travail.

Plus de 40 % des participants à l’étude ont affirmé qu’ils envisageaient de déployer des charges de travail supplémentaires vers Linux au cours des 12 à 24 prochains mois, et 49 % ont affirmé que Linux deviendrait leur plate-forme de serveur principale dans les cinq années à venir.

Par ailleurs, pratiquement 50 % des personnes interrogées prévoient d’accélérer l’adoption de Linux sur le poste de travail, en particulier pour les fonctions poste de travail de base, les utilisateurs de postes de travail techniques, et dans les cadres scolaire et universitaire.

Evidemment, les économies réalisées par une migration vers le libre figurent en bonne place parmi les critères de choix des entreprises. D'un autre côté, les problèmes d'interopérabilité constituent encore les principaux freins à l'adoption.

Ainsi, 67 % des personnes interrogées ont affirmé que l’interopérabilité et la manoeuvrabilité entre Linux et Windows sont des facteurs déterminants au moment du choix d’un système d’exploitation.

A noter, les entreprises de la région Asie Pacifique semblent être les plus motivés pour passer à Linux puisque 73 % des personnes interrogées dans cette zone disent vouloir augmenter le nombre de déploiements sur le serveur et que 70 % sur le poste de travail. En Amériques, 66 % des interrogés prévoient ou ont déjà décidé d'augmenter l'adoption de Linux sur le poste de travail et 67 % sur le serveur.

lire cet article sur silicon.fr

mercredi 11 mars 2009

Internet et culture Dématérialisation de la culture: de la démocratisation à l'exclusion

entête - UQTR: "Par Pierre Pinsonnault


La venue d'Internet a très certainement eu pour effet de rendre la culture plus accessible, et ce, à un coût relativement peu élevé. Cela a donné lieu, en parallèle, à une dématérialisation croissante de la culture, alors que les citoyens délaissent de plus en plus les objets culturels physiques, disques compacts, livres et oeuvres d'art, au profit du numérique. Si cette révolution «donne l'impression» de démocratiser la culture, certaines catégories de citoyens, dont les moins nantis, se trouvent néanmoins exclues de ce monde culturel virtuel.

Phénomène de l'exclusion culturelle

À travers ses recherches et son implication dans le milieu de la culture, Yvon Laplante, professeur au Département de lettres et communication sociale de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a remarqué qu'une majorité de personnes ne fréquentent pas les activités culturelles. Une problématique qui aurait peu à voir avec leur situation financière, puisque les personnes à faible revenu ont accès à certains programmes offrant des entrées gratuites dans des musées, pour des spectacles et des événements culturels. Le professeur Laplante a remarqué que ces programmes ne connaissent pas un grand succès, du fait que plusieurs citoyens, malgré leur intérêt pour la culture, ne se sentent pas à leur place dans un musée ou une salle de spectacle. Selon lui, ils ne veulent pas être victimes de préjugés, parce qu'il est mal vu de se présenter au musée en culotte de jogging et en t-shirt, par exemple. Bref, le chercheur a remarqué que les représentations sociales entourant la promotion des événements culturels en favorisent l'aspect élitiste, ce qui contribue à l'exclusion culturelle."

Lire cet article de fond sur le site de l'UQTR

Qu'est-ce qui va changer dans l'entreprise de demain (I) ?

"Don Tapscott l'auteur du célèbre Wikinomics nous donne sa vision de l'entreprise de demain. En voici les principaux points. A l'origine, la technologie n'a pas été utilisée pour modifier les modes de travail, mais pour les automatiser. Par conséquent, les entreprises restent bloquées avec des systèmes qui sont des obstacles, plutôt que des catalyseurs du changement. Elles sont tournées vers des relations transactionnelles. Une nouvelle ère de collaboration est en train d'émerger, et grâce à l'Internet (le Web 2.0 comme on l'appelle) les entreprises peuvent plus facilement s'organiser, innover et communiquer avec l'ensemble des parties prenantes où qu'elles soient. L'ADN des systèmes d'information doit céder la place à un nouvel ADN basé sur l'interaction, et permettant la collaboration."
lire la suite de cet article sur "Social media"

lundi 2 mars 2009

Santé et technologie, une équation gagnante ? - CEFRIO

"Santé et technologie, une équation gagnante ?

La modernisation des soins de santé par le biais des technologies de l’information (TI) implique d’importants investissements financiers et humains. Un récent article démontre, statistiques à l’appui, que le jeu en vaut bien la chandelle et que le recours aux TI dans le milieu de la santé entraîne des impacts positifs à plusieurs niveaux.

Un projet pilote mené auprès de 41 hôpitaux situés au Texas indique, entre autres, que l’informatisation des dossiers des patients diminue de 15 % le décès des patients âgés de 50 ans et plus lors d’une hospitalisation puis réduit de 16 % les complications liées à leur état de santé. De plus, les TI permettent une réduction significative des coûts associés à l’admission des patients. Bref, une meilleure circulation et un accès plus grand à l’information grâce à l’utilisation des TI s’avèrent bénéfiques autant pour les patients que pour les établissements de santé. Ces nouvelles données fournissent des arguments supplémentaires pour appuyer les démarches d’informatisation entreprises au sein du système de santé québécois.

Rédaction : Sophie Poudrier, chargée de projet, CEFRIO

Pour en savoir plus sur le sujet :
Clinical Information Technologies and Inpatient Outcomes : A Multiple Hospital Study

Hôpital: améliorer la qualité des soins par l'informatique ? Quelles preuves ?
Date de publication
26 février 2009
Auteur(s)

Sophie Poudrier, chargée de projet, CEFRIO"

vendredi 27 février 2009

Safari dominates browser benchmarks | Tech News on ZDNet

"Proving itself a staggering 42 times faster at rendering JavaScript than IE 7, our benchmarks confirm Apple's Safari 4 browser, released in beta Tuesday, is the fastest browser on the planet. In fact, it beat Google's Chrome, Firefox 3, Opera 9.6 and even Mozilla's developmental Minefield browser.

We used the SunSpider suite of JavaScript tests to determine which browser was the quickest, and the Safari 4 beat every browser in terms of speed, on both a PC running Windows XP SP2, and a Mac running OS X 10.6 with all updates applied.

Below are the actual figures if you want to see how all seven browsers scored against each other, but for quick reference we determined on a PC that Safari was a whopping 42 times faster than Internet Explorer 7, just over six times faster than Internet Explorer 8, 3.5 times faster than Firefox 3, and 1.2 times faster than Google Chrome. Here's Safari versus the rest, excluding IE 7:"
lire cet article sur ZDNET

mardi 24 février 2009

Firefox passe devant Internet Explorer ! Actualité --- Silicon.fr ---

Selon Silicon .fr, le navigateur Firefox serait en train de passer en première position devant son concurrent. Nouvelle importante dans le monde du web que vous pourrez retrouver ici"Depuis plusieurs années, les parts de marché du navigateur web Mozilla Firefox montent sans discontinuer, au détriment d’Internet Explorer de Microsoft. Nous attendions donc le moment – inévitable – où l’offre libre de la fondation Mozilla passerait devant sa concurrente.
Selon W3Schools, c’est ce qui est arrivé en janvier 2009 : Firefox, avec 45,5 % de parts de marché (dont 39,5 % pour Firefox 3.0), passe devant l’ensemble des versions d’Internet Explorer, qui cumulent 44,8 % de parts de marché. Vous remarquerez aussi que Google Chrome est installé sur 3,9 % des PC, une adoption rapide, mais qui ne se fait pas au détriment de Firefox. Au final, depuis septembre 2008,"
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lundi 23 février 2009

Deux sites à connaître absolument si ce n'est déjà fait.

Dans mes pérégrinations sur le monde du web et encore plus sur le web 2.0, deux sites me sont apparus essentiels et incontournables en français. "Les Infostratèges" et "Le journal du Net". Tout ce que vous voulez savoir sur le net, le web 2.0, la veille, les moteurs, les équipements... tout est clair court et bien ficelé. Au Québec le vénérable "Branchez-vous.com" est encore tout feux tout flamme et donne une très bonne idée, encore la en français, de la situation nord-A lire régulièrement

Comment surveiller votre e-réputation

(vous pouvez trouver l'article suivant in extenso, sur les moyens de surveiller sa réputation sur le web, sur "Le journal du Net ")
L'affaire a éclaté au cours du mois d'août. Rassemblés au sein du réseau social Facebook, des étudiants britanniques ont réussi à faire plier HSBC. La banque avait créé un programme de prêts leur permettant de ne pas payer d'intérêts jusqu'à trois ans après la fin de leurs études universitaires. Mais sans prévenir, la filiale anglaise fait machine arrière, suspendant son offre et contraignant certains étudiants à payer des frais d'intérêt de près de 10 % sur leur emprunt.

La réponse estudiantine n'est pas faite attendre : en quelques jours, plusieurs groupes se constituent sur le réseau social, multipliant les commentaires agressifs vis-à-vis d'HSBC et invitant les clients à boycotter la banque. Face à la grogne, HSBC annonce finalement au début du mois de septembre que l'offre est rétablie.

L'histoire n'est pas anecdotique, car à l'heure d'Internet, David parvient souvent à faire plier Goliath. Avec le Web 2.0, Les internautes ont pris la parole, et leurs propos sont parfois durs vis-à-vis des entreprises. L'image de certaines sociétés n'a d'ailleurs jamais été aussi malmenée, poussant un nombre croissant d'entre elles à dégager un budget pour soigner leur e-réputation.
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mardi 17 février 2009

Guerre chez les titans du savoir universel | Internet

Jean-Simon Gagné, Le Soleil
14 mai 2008 | 08 h 41


Après avoir été sévèrement contrariées par le développement de l'encyclopédie en ligne Wikipédia, d'augustes maisons comme Larousse et Britannica contre-attaquent. Sur la route du savoir universel, la guerre s'annonce sans merci.

À partir de 2001, un raz de marée nommé Wikipédia a déferlé sur le monde de l'encyclopédie. La nouvelle encyclopédie en ligne était gratuite, ce qui suffisait à ébranler les colonnes du temple. Mais surtout, elle confiait aux internautes le soin d'élaborer son contenu. Plus qu'une innovation. Une révolution.

Le succès fulgurant de Wikipédia a pris tout le monde par surprise, y compris son fondateur, l'américain Jimmy Wales. En janvier 2001, il avait lancé Wikipédia sans trop y croire, espérant seulement que les internautes lui fournissent des textes pour alimenter une autre encyclopédie en ligne, Nupédia. On connaît la suite. Dès le mois suivant, Wikipédia proposait 600 articles. Un an plus tard : 20 000.
"Lire cet article sur Cyberpresse"

lundi 16 février 2009

A Washington, l'avènement de la "clicocratie" - Le Monde.fr

"Le 17 janvier, trois jours avant son investiture, Barack Obama, poursuivant une pratique désormais bien établie, envoie une vidéo aux millions d'Américains qui s'étaient enregistrés sur son site Internet de campagne. Il annonce que le mouvement militant qui s'était créé dans tout le pays pour soutenir sa candidature ne doit pas se dissoudre. Il faut au contraire le pérenniser et l'élargir, pour soutenir les réformes que le gouvernement va lancer en matière d'assurance-santé, d'énergie et de lutte contre le chômage : 'Je vous demande, à vous et à ceux qui, comme vous, se sont battus pour le changement pendant la campagne, de continuer à vous battre pour le changement dans votre communauté.' Le texte d'accompagnement conserve le ton intime et familier qui avait si bien fonctionné pendant la campagne, appelant chacun par son prénom, et est signé simplement 'Barack'.
Sur le même sujet
Le 3 février, le sénateur Judd Gregg est nommé secrétaire au Commerce.
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Vidéo Barack Obama s'invite à l'école primaire
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Vidéo Etats-Unis : Obama nomme un républicain secrétaire au commerce
Portfolio Obama nomme un républicain au commerce
Edition abonnés Archive : Barack Obama est déjà confronté à la dure réalité du pouvoir

Six jours plus tard, dans une nouvelle vidéo sur YouTube, deux responsables du Parti démocrate annoncent que l'appareil de campagne se transforme en une entité permanente, baptisée Organizing for America. Elle disposera de sa propre équipe, hébergée au siège du parti à Washington.

La tâche est immense, car ce projet n'a pas de précédent. Cela dit, l'équipe d'Organizing for America ne part pas de zéro. Elle dispose de l'arsenal des nouveaux outils Internet créés et rodés pendant la campagne électorale, et prêts à reprendre du service.

Au coeur du dispositif, une société privée, Blue State Digital, agence Internet d'un nouveau genre créée en 2004 par des jeunes militants démocrates technophiles. Dès janvier 2007, le candidat Obama sous-traita à Blue State Digital la plus grande partie des activités Internet de sa campagne. La direction du secteur Nouveaux Médias fut confiée à l'un de ses fondateurs, Joe Rospars, 25 ans à l'époque, qui amena avec lui plusieurs de ses employés. L'équipe compta bientôt une centaine de membres, en partie issus des firmes de la Silicon Valley et des grands médias.
http://www.lemonde.fr/archives/article/2009/02/11/a-washington-l-avenement-de-la-clicocratie_1153814_0.html

mardi 10 février 2009

Windows XP sera maintenu jusqu'en 2014 Actualité --- Silicon.fr ---

10-02-2009

Après le 14 avril, le support de l'OS passera en mode "étendu"
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Windows XP est coriace, malgré sa mort commerciale, le système d'exploitation de Microsoft est loin d'avoir dit son dernier mot. La durée de vie de l'OS a ainsi été étendue à plusieurs reprises.

Rappelons qu'en principe, l’acquisition de nouvelles licences OEM devait s’achever le 31 janvier 2009. Mais en décembre dernier, Microsoft décide que les constructeurs pourront placer leurs commandes avant la date butoir, et être livrés jusqu’au 30 mai 2009. Le manque de succès de Windows Vista est largement responsable de ce changement. Par ailleurs, les constructeurs de netbooks pourront intégrer Windows XP dans leurs machines jusqu’en 2010.

Du côté du support, Microsoft avait initialement décidé d'arrêter les mises à jour le 14 avril prochain. Mais la firme explique aujourd'hui qu'après cette date, le support passer en mode "étendu". Explication : les mises à jour critiques de sécurité continueront d'être publiées et cela jusqu'en 2014...

Bref, avec ce type de décisions, Microsoft prend acte des difficultés de Vista à s'imposer, notamment sur le marché professionnel. Certaines entreprises semblent ainsi faire l’impasse sur Windows Vista, pour passer directement à Windows 7 dont la sortie est prévue l'année prochaine.

Dans le même temps, il s'agit de répondre à l'attente des utilisateurs de netbooks, sachant que 80% de ces machines vendues au 3e trimestre sont équipées de XP. Pour Redmond, l'arrêt pur et simple des mises à jour de l'OS devenait alors impossible.

mardi 3 février 2009

Un convertisseur USB-HDMI - Électronique - Accessoires numériques

Depuis la récente popularité du HDMI, de plus en plus de fabricants d'ordinateurs offrent une sortie HDMI sur leurs produits. Si votre PC n'est pas doté d'une telle sortie et que vous souhaitez tout de même regarder, par exemple, des fichiers multimédias sur votre télévision haute définition, vous allez être probablement heureux d'apprendre qu'il existe maintenant un convertisseur USB-HDMI.

Apparemment disponible qu'au Japon pour le moment, le Grand HD Cinema, distribué par Lancerlink, est facile à utiliser. Il suffit de connecter l'adaptateur dans le port USB de son ordinateur. Ensuite, on connecte, avec un câble HDMI, sa télévision dans ledit adaptateur.

Malheureusement, le Grand HD n'offre pas la Full HD. En effet, la résolution maximale est de 720p. Il est également possible de connecter plusieurs téléviseurs (jusqu'à six) sur une même machine. À ce moment-là, le son ne sort que d'un appareil.

Le produit de Lancerlink est vendu à 20 000 ¥ (273 dollars canadiens). Il est compatible avec Windows XP/Vista 32 bits et MAC.

mercredi 28 janvier 2009

Julien Decot (Skype) : "Nous allons multiplier les accords avec des tiers" Actualité --- Silicon.fr ---

Le directeur stratégique du trublion de la VoIP revient sur la partenariat avec IBM autour de LotusLive et dément les rumeurs de cession de la part d'eBay
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Outre la mobilité, l'entreprise constitue un levier de croissance stratégique pour Skype. Le spécialiste de la VoIp en mode P2P qui compte 405 millions d'utilisateurs cherche depuis plusieurs trimestres à doper ses revenus et a décidé de mettre l'accent sur le marché entreprise.

En 2008, la filiale de eBay a lancé des services payants à destination des PME et une nouvelle entité : Skype for Business. Dans le même temps, Skype annonçait déjà sa volonté d'intégrer son service de téléphonie sur IP à des applications métiers comme Salesforce et aujourd'hui LotusLive d'IBM.

Ainsi, les salariés des entreprises utilisant LotusLive pourront, grâce à Skype, passer des appels voix et vidéo en cliquant simplement sur les noms ou les numéros de téléphone de leurs contacts Skype au sein de LotusLive.
(Lire la suite )

Du Web aux wikis : une histoire des outils collaboratifs

Voici le début d'un article portant sur le web collaboratif. Simple et complet... à lire. (JMR)

Du Web aux wikis : une histoire des outils collaboratifs: "Du Web aux wikis : une histoire des outils collaboratifs

23/05/08

Vous avez dit « wikis » ? Rendus célèbres par l'encyclopédie en ligne Wikipédia, ces outils collaboratifs ont peu à peu gagné le Web. Ce premier document dresse l'historique des outils collaboratifs de l'époque précédant l'arrivée du Web à nos jours. Ainsi plongés dans le contexte du Web, nous aborderons les aspects techniques et ergonomiques communs à la grande majorité des wikis, ainsi que les aspects sociaux indissociables de ces outils depuis leur origine.

Cette photo représente ce que voyait Ward Cunningham tous les matins en attendant son bus à l’aéroport international d’Honolulu. C'est de là que lui est venue l'idée de donner le nom de wiki à son logiciel.
Photo : Arik Baratz / Wikipédia document externe au site.

Les outils collaboratifs répondent aux besoins des utilisateurs de travailler en groupe, par exemple, faciliter l'écriture collaborative de documents. Nés de la croisée de technologies indépendantes (messagerie, forum, workflow...), ils ont permis de mutualiser les ressources. C'est ce qui explique pourquoi ils se sont progressivement généralisés auprès des utilisateurs."

Les netbooks semblent décevoir leurs utilisateurs Actualité --- Silicon.fr ---

Une étude souligne un taux de satisfaction très inférieur à la moyenne
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Phénomène de l'année 2008, les netbooks ont sans aucun doute permis au marché mondial du PC de sauver les meubles l'année dernière au point que les ventes de portables ont pour la première fois dépassé celles des PC de bureau sur un trimestre.

Les chiffres sont en effet sans appel. Selon une étude d'ABI research, il se vendra cette année plus de 35 millions de ces PC low-cost dans le monde. Et le succès devrait perdurer puisque la même étude table sur 139 millions d'unités écoulées en 2013, notamment grâce à la multiplication de l'offre.

En France, marché pionnier du netbook, plus de 360.000 machines ont été vendues en 2008 dont une très grande majorité à travers les offres des opérateurs mobiles, selon Gfk.

Pour autant, ces machines ne semblent pas apporter toute satisfaction auprès de leurs utilisateurs. Les taux de retour seraient bien plus nombreux que pour des machines classiques.

Pire, le taux de satisfaction serait 40% plus bas que pour les laptops classiques, selon une analyse du cabinet Biz360 qui a observé pendant six mois, les retours utilisateurs de commerçants en ligne américains, les forums en ligne, les commentaires, les blogs, les forums...

La pérénnité du succès des netbooks passera donc par une amélioration qualitative de ces machines. Les fabricants l'ont bien compris : les netbooks actuels sont déjà très éloignés des premiers modèles mis sur le marché.

A lire : Récap 2008, Asus lance la mode des netbooks

lundi 26 janvier 2009

Un nouveau record pour la diffusion en ligne

Un nouveau record pour la diffusion en ligne
Radio-Canada: Vidéo - Le carnet techno de Bruno Guglielminetti
Je viens d'obtenir les chiffres officiels de Radio-Canada.ca au sujet de « l'effet Obama ». Le site de Radio-Canada a marqué un nouveau record de branchement simultané durant la diffusion en direct de l’assermentation de Barack Obama sur le Web. Pour la première fois, Radio-Canada.ca a atteint un sommet de 23 000 branchements vidéo simultanés, à 12 h 15 hier. Les internautes venaient regarder l'émission spéciale de la Télévision de Radio-Canada et de RDI.

Et au même moment, le distributeur de contenu multimédia américain Akamai (qui distribue le flux vidéo de plusieurs réseaux en ligne, dont Radio-Canada, CBC et NBC) a connu un achalandage monstre. Au cours des derniers mois, Akamai enregistrait une moyenne quotidienne de 1,7 million de branchements simultanés sur des flux vidéo en direct et hier, Akamai a enregistré 7 millions.

Radio-Canada en profite pour rappeler son palmarès des grands événements webdiffusés en direct :

1. mardi 19 août 2008 : 14 152 connexions vidéo simultanées jour de la finale de plongeon 3 m hommes aux jeux de Pékin, médaille d’argent d’Alexandre Despatie

2. jeudi 21 août 2008 : 10 900 connexions vidéo simultanées jour de la finale de plongeon 10 m femmes aux jeux de Pékin, médaille d’argent d’Émilie Heymans

3. lundi 8 décembre 2008 : 6854 connexions vidéo simultanées soirée Élections Québec 2008

4. vendredi 8 août 2008 : 6500 connexions vidéo simultanées cérémonie d’ouverture des Jeux de Pékin

Vie privée : le lien troublant entre le site de la Maison-Blanche et YouTube - Vnunet

La plate-forme vidéos de Google installe des cookies à chaque visualisation. Une pratique qui fait tâche sur le site du Président des Etats-Unis.

Cécile Grégoriades 26-01-2009
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Quel est le degré de proximité entre la nouvelle équipe de Barack Obama et Google? On sait déjà qu'Eric Schmidt, P-DG de Google, avait largement soutenu Obama lors de sa campagne. Mais un doctorant de Harvard, spécialisé dans la surveillance sur Internet, pointe du doigt une collusion dérangeante.

Depuis le début de sa campagne, Barack Obama a eu recours à la plate-forme de vidéos en ligne YouTube pour communiquer avec les électeurs sur son site Barackobama.com. Or YouTube, une entité de Google, installe des cookies informatiques à chaque fois qu'un internaute visite une page qui héberge une vidéo.

Autrement dit, Google collecte et conserve des informations personnelles sur le visiteur, son parcours sur le site et ses habitudes de navigation. Et ce sans même avoir besoin de visualiser une vidéo YouTube. Que l'on clique ou non sur "play", YouTube se sert de ces fameux cookies pour collecter des informations personnelles.

Il s'avère que le site du Président des Etats-Unis qui est dorénavant entré en fonction a peu changé de politique envers YouTube : Barack Obama utilise toujours le player gratuit de Google pour héberger ses vidéos.

"Si cela démontre clairement que le 44ème président est à l'aise avec le web 2.0, cette décision de mettre des vidéos YouTube sur son site permet aussi à Google d'amasser insidieusement les données personnelles des millions de personnes qui visitent WhiteHouse.gov, même ceux qui ne cliquent pas sur l'icône play", assure Christopher Soghoian, étudiant au Berkman Center for Internet and Society de Harvard dans une contribution sur un blog de News.com.

Le cookie reste en permanence de facto

Une situation inacceptable selon de nombreux observateurs, qui appellent l'équipe Web du nouveau président à utiliser un autre lecteur payant de type Flash, qui ne permette pas à une société privée de collecter des informations privées sur le dos des contribuables. Le site Internet de la Maison Blanche est en effet financé par de l'argent public.

Certes, la plate-forme de vidéos de Google a l'avantage d'être gratuite. Si l'équipe de campagne d'Obama avait du payer la bande passante des vidéos visualisées des millions de fois, la facture se serait élevée à plusieurs dizaines de milliers de dollars.

Grâce à YouTube, ce montant est proche de zéro, mais à "quel prix" pour les utilisateurs? Le cookie installé dans le navigateur a une durée de vie de huit mois, renouvelable à chaque nouvelle visualisation d'une vidéo YouTube. "Vue le nombre de vidéos 'embedded' sur le Web, le cookie reste de fait permanent sur son navigateur", note Christopher Soghoian.

Il semble que l'équipe Web d'Obama ait cependant fait un effort ce week end, en proposant une image des vidéos YouTube sur le site de la Maison Blanche, comme on peut le voir sur cette page. Grâce à cette technique, YouTube ne peut pas prétendre aux informations personnelles des internautes si ces derniers se contentent de regarder la page Web. Mais dès que l'on clique sur l'icône "play", le cookie est activé.

Un simple pansement sur un problème réel, selon l'expert d'Internet, qui appelle l'équipe d'Obama à mettre la main à la poche pour remplacer le player propriété de Google par un player qui "n'espionne pas" la vie privée des citoyens.

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Les autres articles sur ce sujet :

* YouTube va-elle devenir la "vidéo officielle" de Barack Obama ?
* Le P-DG de Google fait campagne pour Obama
* Vidéos : Obama bat McCain 30 contre 1 sur YouTube
* Barack Obama veut nommer un partisan de la Net Neutrality à la FCC
* L'investiture de Barack Obama à vivre en 3D
* Sécurité IT : les "Obamalwares" s'agitent
* Barack Obama : au revoir Change.gov, bonjour Whitehouse.gov
* Barack Obama pourra conserver son BlackBerry
* L'investiture d'Obama a boosté le trafic sur Yahoo

mardi 13 janvier 2009

Les veilleurs sont-ils de vulgaires espions?

L'actualité vue par les blogueurs

Par Christophe Asselin, publié le 10/01/2009 15:00

Quelle est la frontière entre veille et surveillance, analyse de l'opinion et flicage, Facebook et Edvige? La société numérique provoque des peurs, parfois irraisonnés. L'analyse de Christophe Asselin, blogueur concerné.

"Ce type sait qu'il fait un travail de salaud mais il a fabriqué un discours qui le protège d'avoir à se l'avouer". Ce commentaire, on peut le trouver sur le blog du Contre Journal, en réaction à l'interview d'un professionnel de la veille et de la communication sur Internet.

Le métier de veilleur, vous connaissez? Pas veilleur de nuit, insomniaque ou maître chien. Les veilleurs scrutent les tendances, les opinions, des individus comme des entreprises, les analysent et les synthétisent. Opinions et informations se numérisent et circulent sur la Toile. La veille Internet prend de l'importance, utilise des outils sans cesse plus puissants et sophistiqués.

Ce métier est au mieux inconnu, au pire assimilé à de l'espionnage ou à du fichage. On parle même de cyber-espions ou de cyber-surveillants.

Poser la question "les veilleurs sont-ils des espions" tend "à faire passer le blogueur pour un paranoïaque adepte de la théorie du complot" me fait gentiment remarquer André Gunthert, enseignant-chercheur et auteur du blog Actualités de la Recherche en histoire visuelle.

Assimiler la veille à de l'espionnage voire à du fichage est un (trop) vieux débat en France, pays "inventeur" de la Cnil mais aussi... des RG.

L'information est désormais omniprésente et véhiculée par des supports high tech de plus en plus anodins et miniaturisés. Mais le doute sur l'utilisation des données enrichit toujours les conversations.

"Véritables avancées pour certains, la carte Navigo de la RATP, ave sa puce RFID, ou la carte SIM de votre mobile ne sont pour d'autres que des moyens de faciliter la surveillance", s'amuse Emilie Ogez, Responsable Communication chez XWiki, et spécialiste de l'identité numérique. La veille Internet, elle, n'a rien à voir avec ce type de pratiques.

Quelques polémiques récentes ont encore contribué à rendre plus sulfureux le métier de veilleur, pourtant de plus en plus pratiqué. La dernière en date, un appel d'offre de l'Education Nationale:
(lire cet article de 3 pages)

lundi 12 janvier 2009

Dix tendances IT à suivre en 2009 - Actualités - ZDNet.fr

Vincent Birebent, publié le 5 janvier 2009
Tags: green it, fibre optique, netbook, sécurité, open source, cloud computing, video

Technologie - Que réservera 2009 aux acteurs de l'informatique et des télécoms ? Quels seront les nouveaux produits et services ? Nous avons dégagé dix tendances pour le secteur IT en 2009. Et vous, quelle est votre perception ?

Les tendances à l'international
1/ Les netbooks de milieu de gamme

Si 2008 a marqué l'émergence d'un marché du netbook avec ses 14 millions d'unités vendues dans le monde, 2009 devrait marquer la confirmation de cette tendance mais aussi une montée en gamme de la part de la plupart des constructeurs, surtout si Sony et Apple investissent le créneau. On devrait donc voir débarquer des machines mieux équipées (avec des puces Atom double coeur, des circuits graphiques 3D et compatibles HD, des disques SSD de large capacité) mais aussi plus chères. Reste la question de l'autonomie que tous les constructeurs n'envisagent pas de la même manière.
Suivez l'actualité des netbooks sur Businessmobile.fr
2/ Le cloud computing et l'informatique déportée

Le cloud computing était sur toutes les lèvres en 2008, il devra débarquer sur toutes les machines en 2009. Crise économique oblige, l'idée d'externaliser ses logiciels et son infrastructure informatique fait rapidement son chemin chez les décideurs informatiques en entreprises ; elle pourrait aussi séduire les particuliers sur certains usages (bureautique par exemple). On devrait le cloud computing se propager un peu partout (ou encore du SaaS, Software as a Service), les grands acteurs du logiciels (Microsoft, Google , Amazon) ayant tous des projets ambitieux en la matière.
3/ La vidéo en 3D

Après la révolution HD, c'est l'annonce d'une révolution 3D sur nos écrans ou plus probablement leurs successeurs. Hollywood comme les grands acteurs de la TV payante misent beaucoup sur la vidéo en 3D pour 2009, et on commence à voir apparaître les premiers contenus à ce format, que ce soit au cinéma ou à la télévision. Mais à moins d'opter pour le système des lunettes anaglyphes, ce « big bang » du relief passera par un renouvellement du matériel de diffusion, alors que la haute définition n'est pas encore réellement démocratisée.
4/ L'open source

Fin 2008, les projets open source avaient le vent en poupe, 2009 devra donc confirmer ce basculement d'une partie de l'informatique professionnelle des solutions propriétaires vers les logiciels libres. Avec la crise économique, les besoins de rationalisation vont se faire cruellement sentir, et opter pour des solutions libres pourra s'avérer un choix économique payant. Et là aussi, comme pour le cloud computing, de nombreux grands acteurs du logiciel sont en train de migrer vers une part de logiciels libres ; l'exemple le plus signifiant étant l'ouverture à l'open source de Microsoft .
5/ Le green computing

Là aussi, l'impact de la crise va se faire sentir, auquel il faut ajouter une prise de conscience collective et le changement d'administration américaine. Réduire sa facture énergétique, favoriser le recyclage de ses matériels en fin de vie, opter pour des politiques drastiques en matière de gaspillage, tout cela est à la fois bon pour l'environnement mais aussi pour le porte-monnaie. Autre facteur favorisant le green computing, la transition industrielle de certains constructeurs de panneaux LCD vers la production de panneaux solaires ou des cellules à combustibles, qui va accélérer le développement d'une vraie industrie verte high-tech.
Les dernières tendances sur le blog Green IT de Fred Bordage

vendredi 9 janvier 2009

« Internet ré-invente les tribus », une tribune de Luc Bretones par Neteco.com

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« Internet ré-invente les tribus », une tribune de Luc Bretones
* Publié par Luc Bretones le Mardi 6 Janvier 2009 | envoyer | commenter
Représentant de l'Institut G9+ et co-animateur Essec Business & Technologie et Centrale Marseille IT, Luc Bretones propose cette tribune dans laquelle il revient sur le développement des tribus sur le web...

Luc Bretones
Luc Bretones
En 1953, le chimiste américain Stanley Miller vérifiait expérimentalement l'hypothèse de création de la soupe originelle de la vie. Cinquante ans plus tard, Internet et ses services de communication ré-inventent les tribus, leurs lois et leurs chefs. Seth Godin, auteur du livre « Tribes, We need You to Lead Us» en a fait sa théorie. Selon lui, « le leardership est la meilleure tactique marketing et ce quelle que soit l'organisation ou l'individu (une entreprise, une école, une église, un chercheur d'emploi,..) ».

Les tribus se distinguent des simples groupes par la présence en leur sein d'un ou plusieurs leaders, d'une vision claire et d'un objectif commun. La notion de tribu, vue par Godin, correspond à un stade évolué de groupe ou de communauté.

Le leader génère l'initiative qui forme la tribu. Il exprime une stratégie sur laquelle chaque membre se projetera et agrégera à son tour de nouveaux membres. Si la vision du leader, sa passion, touchent les individus, ils souhaiteront faire partie de cette aventure, en parleront à leurs amis et une tribu robuste pourra naître. Ceci explique que le phénomène communautaire est souvent fortuit, fruit d'un projet ou d'une expression, mais pas nécessairement avec l'objectif initial de créer un mouvement.

Autres caractéristiques d'une communauté organisée et mature, les rites tribaux – comportements, langage, rituels – n'apparaissent qu'en présence d'un leader, celui qui initie, mais aussi celui qui décide en cas de besoin.

Un très bel exemple est celui initié par Muhammad Yunus, prix nobel de la paix 2006, et sa Grameen Bank qui soutient, à fin 2008, 7,64 millions d'emprunteurs pauvres dont 97% de femmes. Avec 2 536 branches, Grameen Bank propose ses services dans 83 415 villages, couvrant plus de 99% des villages du Bangladesh. Dans la même dynamique humanitaire de micro-crédit, j'ai récemment pu interviewer un représentant de Kiva. Fondée par Matt Flannery fin 2005, Kiva a soutenu 92 000 entrepreneurs du monde entier avec 338 000 prêteurs dans plus de 135 pays et un taux de remboursement de 98.5%.

Dans des styles totalement différents, citons la tribu des blogueurs de Sony, hébergée par la Player's Republic, ou celle des « ambassadeurs » web de la marque Thierry Mugler dont l'intégration fonctionne exclusivement par cooptation. La marque de luxe a été la première à ouvrir dès octobre 2007 un espace communautaire et de conversation avec ses clients.

On le voit, l'irruption des technologies de l'ubiquité communautaire fait apparaître des expressions tribales modernes. Internet amplifie et accélère la montée en puissance des mouvements communautaires. En effet, le leadership se démocratise à mesure que les services web permettent la diffusion et la mise en œuvre d'une idée. Les contraintes physiques et temporelles s'effacent largement. Par ailleurs, le leadership vertical classique, à la mode hiérarchique laisse progressivement place à des organisations plus horizontales.

Enfin, Les « digital natives » n'hésitent pas à donner leur avis parfois plusieurs fois par jour sur Internet et dans un nombre toujours croissant de cas, ils argumentent leurs choix. La « generation Y » participe, co-crée, plus qu'elle n'est « fan » d'un projet. L'interactivité est au cœur des lames de fond communautaires que décrivent Charlene Li et Josh Bernoff dans « Groundswell ». Ces interactions ouvertes à 360° permettent à chacun de transcender ses intérêts personnels en participant à un projet ambitieux, d'envergure. Un projet dont la résultante sera nécessairement supérieure à la somme des contributions individuelles prises séparément.

Les tribus se nourrissent des interconnexions qu'elles suscitent. Elles sont d'autant plus fortes que les connexions se densifient entre leurs membres et que les signaux faibles – informations émises par les liens les moins proches et donc les moins forts – se multiplient et finissent par provoquer une rencontre inédite (un recruteur et un candidat, un projet et un financement,..) pleine de valeur.

Mais alors, comment ces tendances socio-technologiques impactent-elles les entreprises ? Le choc des cultures tribales « analogique hiérarchique » et « numérique collaborative » sera-t-il créateur de valeur pour chaque tribu et celle qui les réunit ? Ceux que Louis Naugès appelle avec humour les « Digital Immigrant » – ont connu le courrier papier et le fax, sont devenus accros de l'email et il leur arrive même ... de les imprimer – pourront-ils établir un contact unifiant ?

En fait, les entreprises oscillent encore entre la théorie de Machiavel – être craint pour être respecté – très orientée « top-down » et ces nouveaux modes maillés et créatifs de travail par lequel l'organisation ouvre les connexions qui lui permettent de s'adapter et de progresser. Godin décrit une redéfinition du travail autour de missions plus que d'autorités hiérarchiques. Au-delà des modes de travail, la « tribu entreprise » peut également répondre à une recherche de sens social, de valeurs, d'adéquation culturelle.

Mais pour que le tribalisme intègre l'ADN d'une entreprise, l'initiative devra venir de la direction générale. Elle devra s'assurer que l'entreprise est focalisée toute entière sur sa mission et non sur les points de vue de certains individus au pouvoir. Un effet fort du mode tribal consiste ainsi en l'intégration de la perception client et de ses attentes à la communauté de l'entreprise. Les meilleurs clients, les ambassadeurs, peuvent alors développer un sentiment de participation à l'évolution de l'entreprise, de co-construction. Autre conséquence : un fonctionnement par projets et groupes de travail dédiés et décloisonnés.

Même si les tribus les plus fortes sont les plus focalisées, et que l'on n'imagine pas développer ce type d'approche pour la gestion d'un Etat, Barack Obama n'expliquait-il pas vouloir mener sa campagne comme « un mouvement avec des membres » plutôt que simplement « une campagne avec des clients » ?

Les grandes choses de demain se préparent dans les tribus qui naissent aujourd'hui. Margaret Mead, anthropologiste, spécialiste des tribus, le sait bien : « pas de doute sur le fait qu'un petit groupe de personnes réfléchies et impliquées puisse changer le monde. En fait, ce sont les seuls à l'avoir jamais fait ».

Luc Bretones, représentant Institut G9+ et co-animateur Essec Business & Technologie et Centrale Marseille IT

Pour aller plus loin
12/11 * « Des nouvelles technologies à un nouvel enjeu social ! », une tribune de Luc Bretones

jeudi 8 janvier 2009

Microsoft lance Windows 7 et semble vouloir faire oublier Vista | Logiciels

Le géant des logiciels Microsoft lance la version expérimentale de son nouveau système d'exploitation Windows 7 à peine deux ans après la sortie de Vista, qui avait tourné au fiasco d'image.
Pour en savoir plus
CES | Microsoft | Bill Gates | Steve Ballmer | Ordinateurs portables | Windows

Le PDG Steve Ballmer a appelé quelques milliers de professionnels, d'analystes et de journalistes réunis à Las Vegas pour le gigantesque salon de l'électronique CES, à télécharger dès vendredi le nouveau système.

Windows 7 «va rendre la vie plus facile et plus rapide», a ajouté M. Ballmer, qui a résumé les principales qualités du système: «simplicité, fiabilité, et vitesse». Les partenaires de Microsoft et les développeurs ont eu officiellement accès à la version bêta dès mercredi soir.

Sans jamais évoquer les difficultés rencontrées par Vista, marqué par de nombreux «bugs» lorsqu'il était installé en remplacement d'un autre système d'exploitation, M. Ballmer a assuré que Microsoft était «parti pour livrer la meilleure version de Windows qui ait jamais existé».

Un responsable de Microsoft a souligné que la version finale de Windows 7 était prévue au plus tard en janvier 2010, mais certains spécialistes spéculent sur une sortie anticipée: un journaliste français, très impressionné par le système qu'il expérimente déjà depuis quelques jours, estime la version actuelle proche du niveau requis pour une exploitation commerciale.

Habituellement, Microsoft attend trois ans avant de sortir un nouveau système d'exploitation. Toute commercialisation anticipée de Windows 7 pourrait donc se lire comme un désaveu implicite de Vista.

Il y a quelques mois, le président de Microsoft France Eric Boustouller avait admis «quelques déceptions» liées à Vista, qui s'est tout de même vendu à plus de 180 millions d'exemplaires dans le monde depuis son lancement en janvier 2007.

«On aurait pu faire un peu mieux en France et au niveau mondial», a-t-il estimé, regrettant «quelques problèmes de performance et une compatibilité qui n'était pas parfaite» dans les premiers temps.

Vista ne s'est que très progressivement imposé pour remplacer son prédécesseur Windows XP, qui retiré de la vente en juin dernier seulement.

A Las Vegas, une démonstration a permis à Microsoft de vanter la facilité avec laquelle Windows 7 permet de naviguer entre différents programmes.

Particulièrement appréciée par le public de M. Ballmer, la possibilité de mettre en réseau ordinateurs et autres équipements électroniques de la maison, des appareils photo aux consoles de jeu et aux chaînes hi-fi: en quelques clics sur un ordinateur portable on peut accéder à un catalogue musical stocké dans un ordinateur de bureau pour faire retentir un album dans les enceintes du salon.

«Ca va vraiment commencer à démocratiser la maison numérique», assure Grégory Olivier, directeur de communication de la division grand public et internet de Microsoft France.

Et au-delà de ces innovations, le système promet un fonctionnement de base amélioré, avec une vitesse de mise en route accélérée et une batterie moins sollicitée.

Enfin une directrice de produit de Microsoft a affirmé que le groupe de Redmond préparait l'avenir en inscrivant la fonction d'interface tactile «dans l'ADN» de Windows 7, en prévision de la multiplication des ordinateurs à commande tactile, plutôt que par clavier ou souris.

Ne prétendant guère à la fausse modestie, M. Ballmer a prédit que «Windows resterait au centre du système solaire technologique des gens».

C'est la première fois que M. Ballmer, 52 ans, donnait le coup d'envoi du salon CES, à la suite du retrait du fondateur de Microsoft Bill Gates, qui se consacre désormais à ses activité philanthropiques.

mardi 6 janvier 2009

Google publie un document sans concessions sur la sécurité des navigateurs web Actualité --- Silicon.fr ---

Cet ouvrage très technique est une mine d’informations intéressantes
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Avec le Browser Security Handbook, les équipes de Google fournissent un ouvrage de référence qui répondra à la question suivante : comment les navigateurs web gèrent-ils les problèmes de sécurité et quelles stratégies emploient-ils face à diverses situations courantes ?

Ce livre sans concessions aborde la plupart des navigateurs web du marché : Internet Explorer (6 et 7), Firefox (2 et 3), Safari (3.2), Opera (9.62) et bien entendu les produits de la firme, comme Google Chrome et le navigateur intégré à Android.

Le Browser Security Handbook n’est pas destiné aux amateurs. Très technique, il s’appuie sur des tests librement téléchargeables, écrits spécifiquement pour l’occasion. Tous les domaines sont couverts : gestion des adresses, feuilles de styles, langages de script, support des greffons, etc. Quoique difficile d’accès, ce document pourra se montrer précieux pour les responsables chargés de déterminer quel navigateur web devra être utilisé dans une entreprise (par exemple).

Il est difficile de classer les navigateurs web d’après les résultats décrits dans cet ouvrage, les paramètres étant bien trop nombreux. Toutefois, les choix effectués par les ingénieurs d’Opera semblent judicieux, le navigateur de la compagnie affichant un nombre conséquent de bons points.

Le Browser Security Handbook est disponible en ligne à cette adresse, sous licence Creative Commons.

Facebook, c'est la maison, et LinkedIn, le bureau !

Tags : Social networking, Web 2.0.

Par Fabrice MOLINARO
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Le site de la chaîne LCI a récemment publié un entretien très intéressant avec Reid Hoffman, fondateur du réseau social professionnel LinkedIn. Personnalité en vue de la Silicon Valley, Reid Hoffman a participé de près ou de loin à quelques succès du monde de l'Internet tels que Flickr, Facebook, Mozilla ou encore Technorati.

Fin connaisseur des réseaux sociaux, Reid Hoffman explique qu'au-delà des apparences, leur fonction peut être très différente d'une plateforme à une autre. Selon lui, "MySpace, c'est le bar, Facebook, c'est la maison, et LinkedIn, c'est le bureau".

En voici quelques extraits intéressants :

"L'idée, c'est que, malgré les apparences, ces réseaux sont très différents. Facebook, c'est la maison, le foyer, car l'idée de base est de rassembler dans un lieu virtuel vos proches, une petite partie de vos connaissances, ceux avec lesquels vous pouvez partagez les photos de vos enfants ou des soirées auxquelles vous allez. C'est en quelque sorte les gens que vous pourriez inviter à un barbecue dans votre jardin. Alors, bien sur, il peut y avoir parmi ces gens un collègue de travail mais certainement pas tous : Facebook est d'abord fait pour échanger et partager des informations personnelles."
(...)
"MySpace, c'est comme un bar, car vous faites en sorte d'y rendre votre profil le plus sexy possible, de montrer comme vos habits et la musique que vous écoutez sont cool pour vous valoriser auprès de personnes qui se promènent sur le site et doivent vous apprécier. C'est un lieu de rencontres."
(...)
"LinkedIn, c'est le bureau car il sert à rester en contact professionnellement, à mener des projets, à réussir sa carrière. C'est pour cette raison que pour lorsque l'on me dit que Facebbok et Linkedin sont concurrents, je ne suis pas tout à fait d'accord. Certes, dans les deux cas, vous avez un profil et une liste de contacts auxquels vous pouvez envoyer des messages.... Mais à y regarder de plus près, cela n'a rien à voir. Si vous voulez embaucher quelqu'un et que vous faites une recherche sur Facebook, cela ne donnera rien. Sur LinkedIn, vous aurez des réponses pertinentes car il a été conçu pour ça."

Source : http://tf1.lci.fr/infos/economie/entreprises/0,,4197253,00-facebook-c-est-la-maiso...

De gros joueurs s'allient pour relier la télé à internet | Internet

Le fabricant d'électronique sud-coréen Samsung et le géant américain de l'internet Yahoo! d'un côté, et leurs homologues LG et Netflix de l'autre, ont annoncé lundi des partenariats visant à relier les téléviseurs à des contenus internet.
Pour en savoir plus
Netflix | Samsung | Yahoo! | Films et vidéos en ligne | Moteurs de recherche

Pour Samsung, «certains modèles de la gamme des télévisions à écran plat et à haute définition seront équipés du Widget Engine de Yahoo!, une plateforme d'applications de cinquième génération qui permet aux téléspectateurs d'interagir avec et de profiter d'un ensemble riche de "gadgets TV"», ont expliqué les deux groupes dans un communiqué commun.

Ces «gadgets TV» relieront le téléspectateur à des contenus tels que des informations, des photos ou des vidéos, des cours de Bourse, etc. disponibles jusque-là sur internet via les sites de Yahoo!.

Samsung compte lancer ces téléviseurs dans 13 pays d'Amérique et d'Europe cette année.

«Cette nouvelle interface permet (aux téléspectateurs) d'interagir et de se connecter avec nombre de leurs services internet préférés à un niveau personnel. Cela va franchement au-delà du fait de regarder des émissions de manière passive et constitue sans doute l'avenir de la télévision», a expliqué l'un des dirigeants de Samsung, Boo-Keun Yoon.

Les acheteurs de télévisions LG quant à eux pourront choisir les modèles haute définition «Broadband TV», à écran plasma ou cristaux liquides, conçus spécialement pour faciliter la location via téléchargement sur internet de films du catalogue Netflix.

Sans permettre de surfer sur internet, ces téléviseurs LG suppriment la nécessité d'acheter console ou convertisseur pour accéder aux programmes Netflix.

«Les abonnés de Netflix iront sur le site internet Netflix pour ajouter des films ou des épisodes de séries télévisées à leurs» stocks, et pourront les visionner en 30 secondes, selon un communiqué commun.

Netflix, qui compte 8 millions d'abonnés, a bâti son succès sur des formules d'abonnement permettant de louer des films par voie postale, mais développe de plus en plus l'offre de programmes en téléchargement.

Il avait déjà annoncé l'an dernier un partenariat avec LG pour des lecteurs de DVD haute définition Blu-Ray.

Un nombre croissant d'analystes s'interrogent sur l'avenir du format Blu-Ray, face au développement spectaculaire des offres sur internet.

Ces innovations doivent être présentées lors du salon de l'électronique grand public qui s'ouvre officiellement jeudi à Las Vegas.