Qui suis-je

Ma photo
Je suis un humaniste qui a toujours eu comme objectif l'atteinte de la condition d’honnête homme au sens du XIXe siècle et qui a embrassé l'état de spécialiste du savoir dans ce but de non spécialisation. Je continue à faire marcher mes "petites cellules grises" en m'intéressant à tout et à tous .

Rechercher sur ce blogue

lundi 8 janvier 2007

DOSSIER SPÉCIAL : "WEB 2.0"

Une dernière foi.
Télécharger en PDF

DOSSIER SPÉCIAL : "WEB 2.0"


SOMMAIRE :

Éditorial

Regards sur le Web 2.0 – Didier Frochot, Fabrice Molinaro

Genèse du terme de Web 2.0 – Fabrice Molinaro

Petit lexique du Web 2.0 – Fabrice Molinaro

Pourrais-je avoir un nuage de tags sur mon site Web 2.0 ? – Didier Frochot

Quelques applications emblématiques du Web 2.0 – Fabrice Molinaro

o Blog
o Partage de fichiers multimédia
o Encyclopédie collaborative en ligne
o Géo-localisation
o Bureautique en ligne

Le Web 2.0 au service de la veille et de la recherche d'information – Fabrice Molinaro

o Flux RSS
o Revue de presse personnalisée
o Social bookmarking
o Moteur de recherche personnalisé
o Moteur de recherche et répertoire collaboratif
o Page d'accueil personnalisée



EDITORIAL

Le concept de Web2.0 s'est répandu comme une traînée de poudre, dans les milieux du Web tout d'abord, puis dans les médias grand public. Il semble ainsi que, près de 15 ans après la naissance du Web, les grands médias aient de nouveau de la matière à se mettre sous la dent à propos du phénomène Internet. Et comme d'habitude, avec un cortège d'approximations et de slogans plus ou moins marketing. Bref, le Web 2.0 est devenu une mode. Une raison de plus – a priori – pour Defidoc de ne pas en parler, tant il est vrai que notre ligne éditoriale est de s'élever au-dessus des modes et des phénomènes d'engouement superficiel. Nous avons tant vus de prétendues révolutions disparaître comme elles étaient venues, sans laisser de traces…
Mais cette fois, en dépit de la mode, le phénomène Web 2.0 est vraiment sérieux, même s'il est difficile à cerner. Le concept lui-même a été lancé à l'anglo-saxonne, de manière très pragmatique, comme une nébuleuse indéfinissable, tout juste illustrée d'exemples "pour faire comprendre ce qu'on veut dire". On est loin de la conceptualisation à la française et l'esprit cartésien est toujours un rien dérouté par l'empirisme d'outre-Atlantique.

Aucun commentaire: