Cet article de Branchez-vous sera peut être un jour, la pierre kilométrique zéro d'une révolution...???
"Dès cet été, Archambault embarquera dans le train du numérique et vendra des livres québécois en format électronique, a appris Branchez-vous.com.
Le détaillant de musique et de livres, filiale de Quebecor, vend depuis novembre dernier un lecteur de livres électroniques, le Cybook Gen3, au coût de 350$, mais le choix de littérature francophone est jusqu'à présent assez limité.
Or, dès son lancement, le nouveau service d'Archambault permettra de télécharger un minimum d'un millier de documents d'une vingtaine d'éditeurs de la belle province.
Tout cela sera rendu possible grâce à une initiative de l'Association nationale des éditeurs de livres (ANEL). Depuis peu, le regroupement met à la disposition des éditeurs de langue française du pays un outil pour les aider à distribuer des livres électroniques.
Il s'agit en fait d'une plateforme numérique ouverte à tous les éditeurs, membres ou non de l'ANEL, dans laquelle ils peuvent téléverser des livres ou seulement quelques chapitres pour consultation, en quelques clics rapides.
Développé par la firme québécoise De Marque, cet «entrepôt numérique» servira ensuite de passerelle auprès des librairies et marchands de livres. Archambault est un des premiers clients de l'entrepôt.
Si l'ANEL atteint son objectif de verser 3000 autres livres francophones d'ici la fin de l'année, ce sera autant d'œuvres qui seront mises en vente sur Archambault.ca.
Les livrels (pour livres électroniques) que distribuera Archambault pourront être lus sur des ordinateurs ou des lecteurs de livres comme le Cybook.
À long terme cependant, Archambault vise aussi les cellulaires, comme l'iPhone ou le BlackBerry, a dit Philippe Laperle, directeur des achats et de la mise en marché, volet livres et web chez Archambault.
De même, le choix d'œuvres s'élargira également. «On va commencer avec les livres québécois de l'ANEL. Ensuite, on va étendre notre sélection à des auteurs d'autres pays», précise-t-il.
Quant aux prix proposés, Archambault ne compte pas copier la formule d'Amazon. Le détaillant américain en ligne fixe un prix unique pour les best-sellers: 9,99 $US.
«Le Québec est un marché beaucoup plus petit que celui des États-Unis. On ne peut se permettre des prix aussi bas que ceux d'Amazon», note M. Laperle.
De toute façon, poursuit-il, ce ne sera pas Archambault, mais bien les éditeurs qui détermineront le prix de vente de leurs produits.
Il est encore tôt pour savoir si le livre numérique connaîtra une certaine popularité. Pour l'heure, il est loin d'avoir la cote.
Aux États-Unis, il compte pour seulement 1% des ventes totales de livres et au Québec, pour presque rien, selon des chiffres fournis par le vice-président du numérique chez de Marque, Clément Laberge.
Or, outre Archambault, Indigo Books and Music y voit un potentiel. Le commerçant a récemment lancé Shortcovers, une plateforme permettant d'acheter des livres électroniques et de les lire sur un ordinateur, un iPhone, un BlackBerry ou un cellulaire supportant Android. Aucun livre en français n'y est encore vendu.
Quant à l'autre grand libraire du Québec, Renaud-Bray, il ne projette pas de vendre des livrels, nous a affirmé sa porte-parole, Marie-Eve Carron."
Les articles ci après ne sont pas, sauf indication contraire, des articles originaux, mais forment plutôt une revue de presse d'articles glanés en veille sur le web. L'adresse de l'article original est toujours fournie.(JMR)
Qui suis-je
- Jean-M. Riopel (bibl.pro.)
- Je suis un humaniste qui a toujours eu comme objectif l'atteinte de la condition d’honnête homme au sens du XIXe siècle et qui a embrassé l'état de spécialiste du savoir dans ce but de non spécialisation. Je continue à faire marcher mes "petites cellules grises" en m'intéressant à tout et à tous .
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vendredi 27 mars 2009
lundi 23 mars 2009
Galerie d'images : Le Web a 20 ans : la genèse en images - ZDNet.fr
Galerie d'images : Le Web a 20 ans : la genèse en images - ZDNet.fr: "Le Web a 20 ans : la genèse en images
Par Jonathan Skillings , CNETNews.com
ZDNet France, publié le 16 mars 2009
Tags: Navigateurs, Recherche et développement, Navigateurs, Recherche et développement
Photos - Retour sur la genèse du Web et les premières étapes de sa création au sein d'un laboratoire du CERN par Tim Berners-Lee.
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Le fondateur, Tim Berners-Lee
En 1989, les PC étaient encore une nouveauté pour la plupart des gens et, en dehors des milieux scientifiques, rares sont les personnes qui avaient déjà entendu parler d’Internet.
Tout cela était sur le point de changer : le 13 mars de cette même année, un chercheur nommé Tim Berners-Lee (ici sur la photo en 1994) travaillant au CERN, l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire, soumet un projet très sérieux visant à adresser « le problème de la perte d’information dans des systèmes complexes et évolutifs » : il propose « une solution basée sur un système distribué hypertext ».
Ce qui donnera naissance au World Wide Web et, accessoirement, à Facebook, eBay, Google, iTunes, Youtube, Pets.com et aux blogs...
lire la suite
(crédit photo : CERN)"
Par Jonathan Skillings , CNETNews.com
ZDNet France, publié le 16 mars 2009
Tags: Navigateurs, Recherche et développement, Navigateurs, Recherche et développement
Photos - Retour sur la genèse du Web et les premières étapes de sa création au sein d'un laboratoire du CERN par Tim Berners-Lee.
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Le fondateur, Tim Berners-Lee
En 1989, les PC étaient encore une nouveauté pour la plupart des gens et, en dehors des milieux scientifiques, rares sont les personnes qui avaient déjà entendu parler d’Internet.
Tout cela était sur le point de changer : le 13 mars de cette même année, un chercheur nommé Tim Berners-Lee (ici sur la photo en 1994) travaillant au CERN, l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire, soumet un projet très sérieux visant à adresser « le problème de la perte d’information dans des systèmes complexes et évolutifs » : il propose « une solution basée sur un système distribué hypertext ».
Ce qui donnera naissance au World Wide Web et, accessoirement, à Facebook, eBay, Google, iTunes, Youtube, Pets.com et aux blogs...
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(crédit photo : CERN)"
mercredi 18 mars 2009
IBM voudrait racheter Sun Microsystems
Selon le Wall Street Journal, IBM serait en négociation pour racheter l'américain Sun Microsystems, fabricant de serveurs et concepteur de systèmes d'exploitation (Java, Solaris). Il serait prêt à verser pour cette opération 6,5 milliards de dollars en cash.
IBM offrirait même une prime de 100% par rapport aux 4,95 dollars par action que vaut Sun sur le Nasdaq, la Bourse américaine des valeurs technologiques.
Le quotidien américain des affaires souligne que ces derniers mois, Sun a fait l'objet de plusieurs approches en vue d'un rachat. Si IBM met effectivement la main sur son concurrent de la Silicon Valley, il pourrait asseoir sa position de premier fournisseur mondial de serveurs et distancer encore HP et Dell. Une telel acquisition lui permettrait également de faire face à l'arrivée d'un nouveau rival, l'américain Cisco, qui a annoncé lundi son entrée sur le marché des serveurs.
Sun Microsystems a réalisé en 2007-2008 (exercice annuel clos au 30 juin) 13,87 milliards de dollars de chiffre d'affaires et dégagé 473 millions de dollars de bénéfice net. Puis en novembre dernier, le groupe engageait un plan de restructuration avec la suppression de 6.000 postes à la clé, soit 18% de ses effectifs . Au deuxième trimestre 2008-2009 le groupe est tombé dans le rouge et a vu ses ventes chuter de 11%.
lire cette information du Wall Street Journal relayée par La Tribune
latribune.fr"
IBM offrirait même une prime de 100% par rapport aux 4,95 dollars par action que vaut Sun sur le Nasdaq, la Bourse américaine des valeurs technologiques.
Le quotidien américain des affaires souligne que ces derniers mois, Sun a fait l'objet de plusieurs approches en vue d'un rachat. Si IBM met effectivement la main sur son concurrent de la Silicon Valley, il pourrait asseoir sa position de premier fournisseur mondial de serveurs et distancer encore HP et Dell. Une telel acquisition lui permettrait également de faire face à l'arrivée d'un nouveau rival, l'américain Cisco, qui a annoncé lundi son entrée sur le marché des serveurs.
Sun Microsystems a réalisé en 2007-2008 (exercice annuel clos au 30 juin) 13,87 milliards de dollars de chiffre d'affaires et dégagé 473 millions de dollars de bénéfice net. Puis en novembre dernier, le groupe engageait un plan de restructuration avec la suppression de 6.000 postes à la clé, soit 18% de ses effectifs . Au deuxième trimestre 2008-2009 le groupe est tombé dans le rouge et a vu ses ventes chuter de 11%.
lire cette information du Wall Street Journal relayée par La Tribune
latribune.fr"
lundi 16 mars 2009
Crise : les responsables informatiques regardent de plus en plus Linux Actualité --- Silicon.fr ---
"La crise pourrait donner un sérieux coup de fouet au pingouin. Selon une étude IDC menée pour le compte de Novell, plus de la moitié des 300 responsables informatiques interrogés prévoient d’accélérer l’adoption de Linux en 2009. Par ailleurs, plus de 72 % des personnes interrogées ont affirmé qu’elles y réfléchissaient sérieusement, ou qu’elles avaient déjà décidé d’augmenter leur utilisation de Linux sur le serveur en 2009, avec plus de 68 % pour le poste de travail.
Plus de 40 % des participants à l’étude ont affirmé qu’ils envisageaient de déployer des charges de travail supplémentaires vers Linux au cours des 12 à 24 prochains mois, et 49 % ont affirmé que Linux deviendrait leur plate-forme de serveur principale dans les cinq années à venir.
Par ailleurs, pratiquement 50 % des personnes interrogées prévoient d’accélérer l’adoption de Linux sur le poste de travail, en particulier pour les fonctions poste de travail de base, les utilisateurs de postes de travail techniques, et dans les cadres scolaire et universitaire.
Evidemment, les économies réalisées par une migration vers le libre figurent en bonne place parmi les critères de choix des entreprises. D'un autre côté, les problèmes d'interopérabilité constituent encore les principaux freins à l'adoption.
Ainsi, 67 % des personnes interrogées ont affirmé que l’interopérabilité et la manoeuvrabilité entre Linux et Windows sont des facteurs déterminants au moment du choix d’un système d’exploitation.
A noter, les entreprises de la région Asie Pacifique semblent être les plus motivés pour passer à Linux puisque 73 % des personnes interrogées dans cette zone disent vouloir augmenter le nombre de déploiements sur le serveur et que 70 % sur le poste de travail. En Amériques, 66 % des interrogés prévoient ou ont déjà décidé d'augmenter l'adoption de Linux sur le poste de travail et 67 % sur le serveur.
lire cet article sur silicon.fr
Plus de 40 % des participants à l’étude ont affirmé qu’ils envisageaient de déployer des charges de travail supplémentaires vers Linux au cours des 12 à 24 prochains mois, et 49 % ont affirmé que Linux deviendrait leur plate-forme de serveur principale dans les cinq années à venir.
Par ailleurs, pratiquement 50 % des personnes interrogées prévoient d’accélérer l’adoption de Linux sur le poste de travail, en particulier pour les fonctions poste de travail de base, les utilisateurs de postes de travail techniques, et dans les cadres scolaire et universitaire.
Evidemment, les économies réalisées par une migration vers le libre figurent en bonne place parmi les critères de choix des entreprises. D'un autre côté, les problèmes d'interopérabilité constituent encore les principaux freins à l'adoption.
Ainsi, 67 % des personnes interrogées ont affirmé que l’interopérabilité et la manoeuvrabilité entre Linux et Windows sont des facteurs déterminants au moment du choix d’un système d’exploitation.
A noter, les entreprises de la région Asie Pacifique semblent être les plus motivés pour passer à Linux puisque 73 % des personnes interrogées dans cette zone disent vouloir augmenter le nombre de déploiements sur le serveur et que 70 % sur le poste de travail. En Amériques, 66 % des interrogés prévoient ou ont déjà décidé d'augmenter l'adoption de Linux sur le poste de travail et 67 % sur le serveur.
lire cet article sur silicon.fr
mercredi 11 mars 2009
Internet et culture Dématérialisation de la culture: de la démocratisation à l'exclusion
entête - UQTR: "Par Pierre Pinsonnault
La venue d'Internet a très certainement eu pour effet de rendre la culture plus accessible, et ce, à un coût relativement peu élevé. Cela a donné lieu, en parallèle, à une dématérialisation croissante de la culture, alors que les citoyens délaissent de plus en plus les objets culturels physiques, disques compacts, livres et oeuvres d'art, au profit du numérique. Si cette révolution «donne l'impression» de démocratiser la culture, certaines catégories de citoyens, dont les moins nantis, se trouvent néanmoins exclues de ce monde culturel virtuel.
Phénomène de l'exclusion culturelle
À travers ses recherches et son implication dans le milieu de la culture, Yvon Laplante, professeur au Département de lettres et communication sociale de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a remarqué qu'une majorité de personnes ne fréquentent pas les activités culturelles. Une problématique qui aurait peu à voir avec leur situation financière, puisque les personnes à faible revenu ont accès à certains programmes offrant des entrées gratuites dans des musées, pour des spectacles et des événements culturels. Le professeur Laplante a remarqué que ces programmes ne connaissent pas un grand succès, du fait que plusieurs citoyens, malgré leur intérêt pour la culture, ne se sentent pas à leur place dans un musée ou une salle de spectacle. Selon lui, ils ne veulent pas être victimes de préjugés, parce qu'il est mal vu de se présenter au musée en culotte de jogging et en t-shirt, par exemple. Bref, le chercheur a remarqué que les représentations sociales entourant la promotion des événements culturels en favorisent l'aspect élitiste, ce qui contribue à l'exclusion culturelle."
Lire cet article de fond sur le site de l'UQTR
La venue d'Internet a très certainement eu pour effet de rendre la culture plus accessible, et ce, à un coût relativement peu élevé. Cela a donné lieu, en parallèle, à une dématérialisation croissante de la culture, alors que les citoyens délaissent de plus en plus les objets culturels physiques, disques compacts, livres et oeuvres d'art, au profit du numérique. Si cette révolution «donne l'impression» de démocratiser la culture, certaines catégories de citoyens, dont les moins nantis, se trouvent néanmoins exclues de ce monde culturel virtuel.
Phénomène de l'exclusion culturelle
À travers ses recherches et son implication dans le milieu de la culture, Yvon Laplante, professeur au Département de lettres et communication sociale de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a remarqué qu'une majorité de personnes ne fréquentent pas les activités culturelles. Une problématique qui aurait peu à voir avec leur situation financière, puisque les personnes à faible revenu ont accès à certains programmes offrant des entrées gratuites dans des musées, pour des spectacles et des événements culturels. Le professeur Laplante a remarqué que ces programmes ne connaissent pas un grand succès, du fait que plusieurs citoyens, malgré leur intérêt pour la culture, ne se sentent pas à leur place dans un musée ou une salle de spectacle. Selon lui, ils ne veulent pas être victimes de préjugés, parce qu'il est mal vu de se présenter au musée en culotte de jogging et en t-shirt, par exemple. Bref, le chercheur a remarqué que les représentations sociales entourant la promotion des événements culturels en favorisent l'aspect élitiste, ce qui contribue à l'exclusion culturelle."
Lire cet article de fond sur le site de l'UQTR
Qu'est-ce qui va changer dans l'entreprise de demain (I) ?
"Don Tapscott l'auteur du célèbre Wikinomics nous donne sa vision de l'entreprise de demain. En voici les principaux points. A l'origine, la technologie n'a pas été utilisée pour modifier les modes de travail, mais pour les automatiser. Par conséquent, les entreprises restent bloquées avec des systèmes qui sont des obstacles, plutôt que des catalyseurs du changement. Elles sont tournées vers des relations transactionnelles. Une nouvelle ère de collaboration est en train d'émerger, et grâce à l'Internet (le Web 2.0 comme on l'appelle) les entreprises peuvent plus facilement s'organiser, innover et communiquer avec l'ensemble des parties prenantes où qu'elles soient. L'ADN des systèmes d'information doit céder la place à un nouvel ADN basé sur l'interaction, et permettant la collaboration."
lire la suite de cet article sur "Social media"
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lundi 2 mars 2009
Santé et technologie, une équation gagnante ? - CEFRIO
"Santé et technologie, une équation gagnante ?
La modernisation des soins de santé par le biais des technologies de l’information (TI) implique d’importants investissements financiers et humains. Un récent article démontre, statistiques à l’appui, que le jeu en vaut bien la chandelle et que le recours aux TI dans le milieu de la santé entraîne des impacts positifs à plusieurs niveaux.
Un projet pilote mené auprès de 41 hôpitaux situés au Texas indique, entre autres, que l’informatisation des dossiers des patients diminue de 15 % le décès des patients âgés de 50 ans et plus lors d’une hospitalisation puis réduit de 16 % les complications liées à leur état de santé. De plus, les TI permettent une réduction significative des coûts associés à l’admission des patients. Bref, une meilleure circulation et un accès plus grand à l’information grâce à l’utilisation des TI s’avèrent bénéfiques autant pour les patients que pour les établissements de santé. Ces nouvelles données fournissent des arguments supplémentaires pour appuyer les démarches d’informatisation entreprises au sein du système de santé québécois.
Rédaction : Sophie Poudrier, chargée de projet, CEFRIO
Pour en savoir plus sur le sujet :
Clinical Information Technologies and Inpatient Outcomes : A Multiple Hospital Study
Hôpital: améliorer la qualité des soins par l'informatique ? Quelles preuves ?
Date de publication
26 février 2009
Auteur(s)
Sophie Poudrier, chargée de projet, CEFRIO"
La modernisation des soins de santé par le biais des technologies de l’information (TI) implique d’importants investissements financiers et humains. Un récent article démontre, statistiques à l’appui, que le jeu en vaut bien la chandelle et que le recours aux TI dans le milieu de la santé entraîne des impacts positifs à plusieurs niveaux.
Un projet pilote mené auprès de 41 hôpitaux situés au Texas indique, entre autres, que l’informatisation des dossiers des patients diminue de 15 % le décès des patients âgés de 50 ans et plus lors d’une hospitalisation puis réduit de 16 % les complications liées à leur état de santé. De plus, les TI permettent une réduction significative des coûts associés à l’admission des patients. Bref, une meilleure circulation et un accès plus grand à l’information grâce à l’utilisation des TI s’avèrent bénéfiques autant pour les patients que pour les établissements de santé. Ces nouvelles données fournissent des arguments supplémentaires pour appuyer les démarches d’informatisation entreprises au sein du système de santé québécois.
Rédaction : Sophie Poudrier, chargée de projet, CEFRIO
Pour en savoir plus sur le sujet :
Clinical Information Technologies and Inpatient Outcomes : A Multiple Hospital Study
Hôpital: améliorer la qualité des soins par l'informatique ? Quelles preuves ?
Date de publication
26 février 2009
Auteur(s)
Sophie Poudrier, chargée de projet, CEFRIO"
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