Qui suis-je

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Je suis un humaniste qui a toujours eu comme objectif l'atteinte de la condition d’honnête homme au sens du XIXe siècle et qui a embrassé l'état de spécialiste du savoir dans ce but de non spécialisation. Je continue à faire marcher mes "petites cellules grises" en m'intéressant à tout et à tous .

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jeudi 29 novembre 2007

Technaute | Nelson Dumais

Technaute | Nelson Dumais: "Jeudi 29 Novembre 2007 J’hais Internet Explorer ! illustration2007112901.jpgAu train où ça va, il y a deux possibilités : 1- À la signature de mon prochain contrat mirobolant comme pigiste à Technaute, les autorités me verseront une prime salée pour que je continue à bidouiller dans Internet Explorer (IE) de Microsoft afin que ses adeptes puissent bénéficier d’un affichage complet, comme s’ils étaient sous Firefox. 2- À la signature de mon prochain contrat mirobolant comme pigiste à Technaute, IE sera alors devenu un fureteur que plus personne n’utilise, auquel cas mon problème sera résolu. C’est qu’aujourd’hui, au lieu de gagner ma vie, je vais devoir passer mes chroniques à la loupe afin de déceler le petit bout de code de merde qui a causé l’irritant présentement en vigueur dans IE. Et il y a des salariés chez Technaute qui devront en faire autant, cela jusqu’à ce que le problème soit découvert. De quossé ? Si vous comparez les deux prises d’écran qui suivent, vous verrez que dans le cas d’IE (image de droite), la colonne de droite ne s’affiche plus (en fait, elle apparaît en bas de la colonne de gauche)."

window XP



Liens-utiles - Microsoft Windows Service Pack 3 pour bientôt...

MICROSOFT : Microsoft Windows Service Pack 3 pour bientôt Posté par JerryG le 21/11/2007 00:10 (591 lectures)
MICROSOFT

Afin de remplacer Windows XP qui se fait vieux, Microsoft a sorti Windows Vista, un système d'exploitation Next-Gen, mais Windows XP reste bien encrer chez les particuliers et les PME/PMI, le Service Pack 3 pour Windows XP est toujours en gestation.



Il faut le reconnaître, Windows XP qui se fend d'un royal 85 % de part de marché dans la famille Windows fait bien de l'ombre au petit dernier de Redmond, Windows Vista, aussi Microsoft continue de mettre à jour son application avec un SP3 pour bientôt.

Si la sortie des différents Services Pack pour Windows XP avaient transformé notre système d'exploitation, il n'en sera pas de même pour ce SP3, ceux qui hésitaient encore à migrer vers Windows Vista devront attendre l'année prochaine pour renforcer leur Windows XP.

Microsoft conscient de l'impact de Windows XP dans le monde a promis par la voix de Steve Ballmer que Windows XP vivra encore et ce grâce à un nouveau service pack, le 3 ème du nom depuis la sortie de XP.

Une version RC de ce SP3 (Release Candidate) circule déjà chez les testeurs triés sur le volet ou chez les abonnés à MSDN.

Le SP3 ne sera pas révolutionnaire, il embarque évidemment les SP1 et SP2 (1073 correctifs concentrés), ainsi que toutes les MàJ (Mise à Jour) déjà éditées au jour de sa sortie officielle, on y trouvera aussi le navigateur Internet Explorer 7.0 (ou Internet Explorer 8.0 si le temps le permet) et le lecteur de média, le Windows Media Player 11, un clin d'oeil à la commission Européenne.

le Sp3 inclus aussi 4 nouveaux correctifs exclusifs, hérités tout droit de Windows Vista.

* / Windows Product Activation : permet des activations en masse dans les entreprises.

* / Kernel Mode Cryptographic Module, permettra au noyau du système de disposer d’une série d’algorithmes de cryptographie.

* / Network Access Protection, permet de définir des critères pour autoriser ou non une machine à rejoindre un réseau. 

 * / Black Hole Router permet de détecter les routeurs indésirables d’un réseau et de s’en protéger. 

Le SP3 devrait aussi embarquer le support du WPA 2.0 dédié à l'ASFI (WiFi) ainsi que le FrameWork 2.0 et une amélioration du pare-feu originel.

Quant à l'intégration de l'API, Direct X 10, Microsoft reste muet comme une carpe, préférant peut-être la réserver aux possesseurs de Windows Vista, un moyen détourné d'obliger la migration vers Vista pour en profiter.

Grrrr !

mercredi 7 novembre 2007

Le web 2.0 au quotidien

Un article sur l'utilisation , au quotidien, des applications web 2.0 dans le monde documentaire , il était temps.(JMR) OF - Veilleurs et documentalistes face au web 2.0

Veilleurs et documentalistes face au web 2.0

par Christophe Deschamps le 02.10.07 à 00:22 dans Infos -

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Ci-dessous un article rédigé pour le numéro de juin du magazine Archimag

15 mai 2007, 9h du matin : fraîchement installé devant votre écran d’ordinateur vous ouvrez votre navigateur Firefox et vous rendez sur votre page Netvibes. Là vous accédez à vos nouveaux emails, beaucoup moins qu’il y a deux ans depuis que vous avez remplacé les newsletters et les forums par des fils RSS. Fils auxquels vous accédez via cette même page. Chacune de vos découvertes engendre un clic qui ouvre un nouvel onglet dans Firefox.

10h : vous lisez chaque page ouverte dans les onglets puis les envoyez, préalablement dotées d’un ou plusieurs tags et de quelques lignes de résumé, vers del.icio.us, une application de « bookmarking social » où vous avez créé un compte avec pseudo. Simultanément les blogs privés installés sur les serveurs de la R&D et de la direction se mettent à jour via les fils RSS spécifiques des tags qui les concernent.

11h00 : vous lisez les fils RSS des blogs ouverts en interne par les chercheurs de votre organisation, ainsi que ceux publiés sur del.icio.us par le service marketing et les transformez en podcasts afin de les écouter ce soir sur le trajet du retour. Du grain à moudre pour demain.

Cette manière nouvelle de collecter et diffuser l’information doit tout au web 2.0. Ce concept a fait sensation lors d’une conférence éponyme organisée en octobre 2005 par O’Reilly, un éditeur spécialisé en technologies internet. Il donne lieu depuis à d’innombrables gloses de la part d’informaticiens, de chercheurs et de consultants.

Plutôt que d’aligner les définitions qui en existent voyons, à partir de l’exemple donné plus haut, quels en sont les éléments-clés pour nos pratiques informationnelles quotidiennes.

Des services en ligne pour centraliser vos sources d’information

Netvibes ou Pageflakes sont des services vous permettant de créer des pages personnelles en ligne en agrégeant des informations provenant de sources disparates. Il peut s’agir de fils RSS, de modules diffusant les emails entrants dans votre webmail (Gmail, Hotmail,…), ou encore d’informations émises via des services utilisant des API (application programming interfaces), c'est-à-dire des accès libres aux données, comme le font par exemple Google Earth ou Yahoo News. Il peut s’agir enfin de services bureautiques en ligne (Google Docs, Zoho Office) proposant des modules intégrables. Au final le système d’onglets propre à Netvibes permet de créer autant de pages thématiques que vous le souhaitez : une pour vos fils RSS, une autre pour les services « pratiques » (emails, météo, calendrier, to-do list, stockage de fichiers en ligne), une troisième pour les services bureautiques et une dernière consacrée à vos outils « sociaux » : chat, signal de présence de type Twitter, services de «networking» (Linkedin, Xing,…).

Vous disposez ainsi d’un mini-bureau à l’adresse unique, accessible à partir de n’importe quel poste connecté, vous permettant de mener votre activité de veille à bien où que vous soyez.

Les blogs et les wikis (doublement) au service de la veille

Qu’ils soient individuels (blogs) ou collaboratifs (wikis), les outils de publication simplifiés s’intègrent dans nos pratiques d’au moins deux manières.

D’une part, les 71 millions de blogs recensés par le site Technorati peuvent devenir des sources d’information inépuisables. Il suffit pour cela d’identifier ceux qui traitent vos problématiques et de les mettre sous surveillance via leur fil RSS. D’autre part, comme le montrait l’exemple initial, ces outils peuvent être déployés sur les serveurs d’une organisation et remplacer les sites de chaque service sur l’intranet, leur simplicité d’utilisation les met à la portée de tous. Soit chaque service dispose alors de son blog, soit on opte pour un blog par salarié, ce qui peut s’avérer payant pour les services documentation et veille. Lorsqu’on sait que la reconnaissance du travail accompli est une des motivations principales des « travailleurs de l’information » la question mérite d’être posée. Les fils RSS générés par chacun permettent alors à tous de s’abonner aux fils internes qu’ils jugent pertinents. Plus besoin de bases de données lourdes et figées, les fonctionnalités des blogs les remplacent : stockage de l’information, datation, attribution de mots-clés (tags) pour le classement, requêtage plein-texte et bien sûr possibilités de diffusion simplifiées.

Des millions d’internautes qui cherchent pour vous grâce au « bookmarking social »

Le premier objectif de services comme del.icio.us ou Yoono est de vous permettre d’enregistrer vos favoris (bookmarks, signets) en leur adjoignant des tags, c’est-à-dire des mots-clés les décrivant, et de pouvoir y accéder où que vous soyez. Le second, bien plus innovant, est de vous permettre de les partager et de capter ceux enregistrés par d’autres. Chaque « tag » produit en effet son propre fil RSS et si 200 utilisateurs « taggent » des pages avec l’expression « énergies renouvelables », il vous suffit de capturer le fil RSS de celle-ci pour être informé des futures découvertes de chacun. Immanquable !

Il ne s’agit donc pas (encore) d’intelligence collective mais, plus prosaïquement, de la création au fil de l’eau d’un super-annuaire du web par des millions d’internautes pour des millions d’autres.

Ne concluons pas en donnant une définition restrictive du web 2.0 mais retenons plutôt ce qui pour nous fait sens:

- La multiplication des systèmes de partage d’information et de mémoire en ligne, véritable manne pour les chercheurs d’information que nous sommes

- L’importance donnée à l’individu dans les processus de découverte et de diffusion de l’information, une vraie opportunité pour donner de la visibilité à un service et être reconnu pour ses compétences

- L’effacement des frontières entre les logiciels à installer sur son poste et les services en ligne. Cela multiplie les possibilités d’accès à l’information, permet de centraliser ses activités en ligne, mais doit en retour induire des comportements de prudence quant à ce qu’on y recherche, examine et stocke.

Si le web 2.0 et sa cohorte de services et d’outils sont tout bénéfice pour nous il ne faut pas oublier que leur simplicité d’utilisation les met au service de tous et que nous pourrions bientôt ne plus être les seuls à diffuser de l’information utile dans l’entreprise.

L’enjeu pour nous se trouve donc à deux niveaux. Il faudra d’une part se concentrer sur les phases où nous apportons une forte valeur ajoutée, à savoir l’analyse et l’organisation de l’information, d’autre part, maîtriser parfaitement cette véritable grammaire du web 2.0 que constitue, on l’a vu tout au long de cet article, le format RSS.

Services et outils cités :

- Firefox (navigateur internet) : www.mozilla.org

- Netvibes (portail personnalisable en ligne ) : www.netvibes.com

- Pageflakes (portail personnalisable en ligne) :www.pageflakes.com

- Gmail (webmail) : www.gmail.com

- Hotmail (webmail) : www.hotmail.com

- Google Docs (suite bureautique en ligne) : google.docs.com

- Zoho Office (suite bureautique en ligne) : www.zoho.com

- Twitter (signal personnel en ligne) : www.twitter.com

- (networking en ligne) : www.linkedin.com

- Xing (networking en ligne) : www.xing.com

- Technorati (moteur de recherche de blogs) : www.technorati.com

- Del.icio.us (partage de bookmarks) : del.icio.us

- Yoono (partage de bookmarks) : www.yoono.com

par Christophe Deschamps le 02.10.07 à 00:22 dans Infos -

lundi 22 octobre 2007

Techno web

La recherche américaine dispose d'un réseau optique national...

La recherche américaine dispose d'un réseau optique national

Le consortium Internet2 a annoncé la fin du déploiement de son réseau de communication par fibre optique aux Etats-Unis. Celui-ci devrait notamment profiter à l'ensemble des communautés de chercheurs.

Publié le 10 Octobre 2007
Internet2 Network
(cliquez pour agrandir)
Internet2 a achevé de tisser sa toile de fibre optique à travers les Etats-Unis. Ce consortium à but non lucratif mené par plus de 200 universités américaines a effectivement annoncé la mise à disposition de ce réseau nouvelle génération lors de son dernier congrès d'automne. Capable d'atteindre des débits allant jusqu'à 100 gigabits par seconde (Gbps), cette infrastructure optique devrait notamment profiter aux activités spécialisées nécessitant de très importantes capacités en terme de bande passante : recherche scientifique, télémédecine et arts numériques sont dans le collimateur.

Du très haut débit à la demande

L'infrastructure en fibre optique proposée par Internet2 est en outre conçue pour prendre en charge le protocole IPv6, le multicasting - procédé autorisant la communication avec plusieurs ordinateurs via une unique adresse IP - et d'autres technologies liées aux réseaux hautes performances. Internet2 sera accompagné du service de bande passante à la demande Dynamic Circuit Network (DCN) dès janvier 2008. Ce dernier devrait mettre à disposition des chercheurs des débits de 10 Gbps pouvant être portée à 20, 40 voire 100 Gbps selon les besoins. Le DCN a d'ailleurs été expérimentée dans le cadre de recherches autour du projet de grand accélérateur de particules (Large Hadron Collider), le Compact Muon Solenoid (CMS).
 
Innovation scientifique en ligne de mire
 
"L'expérimentation dans laquelle notre campus va s'investir durant ces prochaines années implique l'exploration de nouveaux types de réseaux pouvant assurer les importants besoins de nos chercheurs", a déclaré Dale Finkelson, directeur du réseau de l'université du Nebraska. "Le Dynamic Circuit Network d'Internet2 promet de fournir de la bande passante à la demande sur un mode très efficace en termes de coûts. Il ne constitue pas uniquement une plate-forme répondant aux besoins de notre LHC, mais il ouvre aussi la voie à de nouvelles applications et technologies pour notre communauté", a-t-il poursuivi.  

mardi 16 octobre 2007

Techno web

Dossier OpenOffice : présentation

OpenOffice : le concurrent d'Office gratuit

Suivante
fond ecran openoffice
 
© OpenOffice.org
 

Vous venez d'acheter un nouvel ordinateur, mais il vous manque Word, Excel et PowerPoint. Plutôt que de débourser 169 euros, testez OpenOffice. Gratuit, il reprend les fonctionnalités d'Office et est compatible avec ce dernier.

 

Disponible en version française 2.2.1, et bientôt en version 2.3, il fonctionne avec Windows, Linux et Mac OS. Gratuit, il offre quasiment le même contenu que la suite Office de Microsoft. Pour l'obtenir, il suffit de le télécharger sur le site officiel, ou via notre logithèque.

lundi 15 octobre 2007

Techno web

Le moteur de recherche, indispensable outil de l'internaute ...

Le moteur de recherche, indispensable outil de l'internaute

Les moteurs de recherche sont devenus incontournables dans le paysage Internet : chaque internautes a effectué plus de quatre-vingt requêtes via ces services en ligne au mois d'août, annonce Comscore.

Publié le 11 Octobre 2007
SEO logosPlus de 60 milliards de recherches auraient été effectuées sur Internet pour le seul mois d'août dernier, annonce Comscore. Selon le spécialiste de la mesure d'audience de l'Internet, l'ensemble de ces requêtes aurait été le fait de 95 % des internautes sur cette période. Les 5 % restant accédant directement aux sites désirés. En moyenne chaque internaute aurait effectué plus de quatre-vingt recherches. Ces estimations ont été générées à partir de l'analyse du trafic sur les cinquante sites les plus visités au monde. Elles sont issues de la plate-forme qSearch 2.0, nouveau service de mesure de Comscore centré sur la recherche en ligne.

Le progrès technologique accentue aussi les inégalités

Le progrès technologique accentue aussi les inégalités Appli...

Le progrès technologique accentue aussi les inégalités

Malgré l'opportunité qu'il représente pour le développement, le progrès technologique est en partie responsable de l'aggravation des inégalités. D'où l'importance de mener une politique active de généralisation de l'accès aux TIC.

Publié le 11 Octobre 2007
Changement de niveau de vieLes populations des pays émergents doivent absolument pouvoir bénéficier des retombées du progrès technologique et de la globalisation, souligne le FMI (Fonds Monétaire International) dans le quatrième chapitre du World Economic Outlook, intitulé Globalization and Inequality. Ce, afin de réduire les inégalités. Car si rien ne vient répondre à cet enjeu, les TIC pourraient avoir l'effet contraire. Un effet qui se constate actuellement : sur les vingt dernières années, les avancées technologiques, de paire avec la globalisation de l'économie, ont surtout contribué à accentuer le fossé séparant les marchés matures de ceux en émergence.
 
Les effets pervers de la technologie
 
Principale raison invoquée : qu'il s'agisse des pays avancés ou émergents, les technologies accélèrent la demande de postes à haute qualification au détriment de ceux qui n'en requièrent pas. De même, le moindre changement technologique induit par la mondialisation reflète les effets à la fois positifs et négatifs de la globalisation du commerce et de la finance sur l'inégalité. Il en est de même pour les investissements directs étrangers (IDE), la hausse de l'exportation et la libéralisation des tarifs. S'ils contribuent à la redistribution des revenus, ils participent également à la hausse des inégalités, les personnes jouissant d'un niveau de vie élevé étant les plus à même de tirer partie de ces nouvelles opportunités.
 
Aider les plus pauvres à s'approprier la technologie
 
Selon le FMI, il est dès lors urgent de mettre en place des actions pour permettre aux personnes peu qualifiées et à faible revenu de profiter des progrès technologiques et de la mondialisation. Parmi elles, point de remède miracle, mais la nécessité d'améliorer les systèmes éducatifs et d'élargir l'accès aux services financiers. L'organisme souligne également l'impact positif des initiatives qui visent à aider les travailleurs de secteurs sinistrés à migrer vers d'autres marchés plus porteurs, notamment ceux concernant les TIC. Enfin, plus généralement, une exportation plus importante des produits agricoles des pays émergents vers les pays développés permettrait une distribution plus équilibrée du revenu sur les deux marchés.
 

mardi 9 octobre 2007

Et l'humain dans tout ça?

Les nouvelles technologies cherchent l'humain Applications I...

Les nouvelles technologies cherchent l'humain

Publié le 05 Octobre 2007
Etre efficace n'est pas suffisant. Pour que l'être humain prenne possession d'une technologie, elle doit lui ressembler, ou singer ses habitudes. Quitte à tomber dans l'étrange.
 
Le concours mondial de blagues UML est lancé ! C'était hier. Une communication d'un institut international focalisé sur la conception de méthodologies de développement de logiciel. Faire rire avec Unified Modeling Language, un langage de modélisation des données et de processus... Voilà à quoi on arrive en voulant faire rimer informatique et humain dans le but de "découvrir de nouvelles approches pour améliorer la productivité des développeurs". Un exemple isolé ? Pas du tout. De nombreuses recherches en robotique se concentrent sur l'aspect humanoïde des machines, en particulier celles en contact avec les hommes. Le but n'est pas de faire des robots plus efficaces, mais de mieux les faire adopter par leurs utilisateurs.
 
Les humains humanisent eux-mêmes
 
Les chercheurs n'auront pas forcément beaucoup d'efforts à faire. Il n'y a qu'à voir ce qui se passe avec le robot-aspirateur Roomba. Celui-ci ne ressemble en rien à un humain ? Qu'à cela ne tienne, ses heureux possesseurs font des concours d'habillage ! Au point que Beki Grinter, un professeur du Georgia Tech's College of Computing étudie le phénomène, probablement aidée dans cette tâche par le fabricant. C'est aussi valable pour les applications Internet. Pour preuve le programme de recherche de la Queen's University de Belfast consacré à l'addition du toucher aux univers virtuels. Et s'il n'est pas possible de plaquer la chair sur de l'informatique, il est toujours possible d'y appliquer les us et coutumes terriennes. C'est en tous cas la démarche choisie par le réseau social Xivio.com.
 
Le Pazar au service du gène

Celui-ci a conformé son système de contrôle parental aux "protections" textuelles ordinairement réservées à la télévision ou au cinéma. Le principe est moins original, il est vrai, puisqu'il avait déjà été singé il y a longtemps pour les besoins de la commercialisation des jeux vidéo. Dernier exemple dans le domaine biomédical cette fois. Des chercheurs canadiens, bulgares et français ont lancé un nouveau système de stockage des informations sur la régulation des gènes dans une base de données. Pour faciliter la vie des biologistes, les universitaires se sont inspirés du principe des magasins, et plus précisément des "Pazar", du nom des boutiques bulgares. Le but ici est tout "simplement" de regrouper les données portant sur un même thème au sein de petites bases.

Renaud Edouard-Baraud, responsable éditorial de L'Atelier

vendredi 5 octobre 2007

technoweb


RNDH : Blogs Et Rss


From: DLiz, 2 weeks ago





Présentation pour le Réseau National des Documentalistes Hospitaliers


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jeudi 4 octobre 2007

Techno web

Direction Informatique

La survie des mieux adaptés

01/03/2006 - Quand Darwin a élaboré son grand principe de l’évolution des espèces, il était sans doute loin de se douter qu’on l’appliquerait à la dynamique des organisations à l’ère de la société de l’information.

Patrice-Guy Martin


La capacité de s’adapter à son environnement et à en exploiter les ressources est, selon Charles Darwin, le principal moteur qui conditionne les mécanismes de sélection naturelle et qui décide en bout de ligne, quels sont les types de changements évolutifs qui risquent d’avoir du succès et qui doivent être retenus. C’est essentiellement en se basant sur ces principes que le naturaliste britannique expliquait l’évolution des espèces dans son ouvrage, De l’origine des espèces, publié en 1859.

Tous les articles que vous lirez dans la section économie de votre quotidien favori ou dans nombre de magazines spécialisés, la plupart des reportages et des analyses d’experts de tout acabit qui traitent du monde des affaires n’oublient jamais de faire référence aux conditions du marché qui sont en changement constant. Les écosystèmes économiques sont « vivants » et évoluent sans cesse. La comp;eacute;tition est globale et il n’y a que les mieux adaptés qui survivront. C’est inéluctable.

Dans ce contexte, les technologies ont un rôle extrêmement important à jouer. Elles contribuent à modifier les conditions environnementales à toute vitesse et elles fournissent les moyens de s’adapter pour évoluer au même rythme, permettant ainsi aux organisations de tirer leur épingle du jeu et survivre.

Notre monde n’est plus que global, affirme les analystes de la firme de conseil en gestion McKinsey, il est instantané. Notre manière de travailler doit s’adapter à ces conditions et les outils technologiques sont essentiels pour nous permettre de suivre la cadence. Deux milliards de personnes utilisent des téléphones mobiles, ce qui signifie qu’on peut les rejoindre en tout temps, et nous nous échangeons trois trillions de courriels par année, auxquels nous nous attendons souvent à avoir une réponse immédiate.

Nos besoins en information sont croissants, sauf qu’en même temps nous avons désormais accès à une masse d’information en croissance exponentielle. McKinsey mentionne que nous effectuons, globalement, un milliard de recherches quotidiennes sur Google pour trouver ce que nous cherchons.

De plus en plus d’entreprises mettent en place des systèmes qui aident les gestionnaires à prendre des décisions, soulignent encore McKinsey, transformant la gestion de plus en plus en une science et de moins en moins en un art. Nous l’observons régulièrement : tel système de forage de données analyse les variations de comportement chez les clients d’une entreprise, un système de gestion des relations clients mesure le nombre de plaintes sur un produit spécifique, un outil de rapport permet d’évaluer l’efficacité des campagnes publicitaires sur le Web, etc.

Les technologies ont un impact majeur sur notre façon de gérer, de communiquer et d’interagir. Pour survivre, il faut s’adapter et tirer le meilleur des ressources que sont les technologies. On ne peut malheureusement plus se permettre de rester en marge de tout cela et se refuser de suivre l’évolution technologique.

Les organisations, grandes et petites, ont souvent tendance à réfléchir en termes d’économies de coûts ou de hausse de productivité pour analyser la justification d’un projet ou d’un investissement technologique. Je crois qu’il faut absolument ajouter à l’exercice, l’analyse concurrentielle et la capacité de survie. Les technologies sont devenues un investissement obligatoire pour assurer une croissance, si ce n’est pour se maintenir en place. Si les concurrents le font, il nous faut également le faire, car l’effet de levier dont on pourra profiter en le faisant ne se mesure souvent pas en dollars au préalable et l’investissement de rattrapage que cela pourra demander plus tard risque d’être trop important et nous expose à des risques majeurs.

L’histoire du monde est truffée d’espèces disparues qui n’ont pas su s’adapter aux conditions environnementales changeantes. Je préfère être de celles qui survivent.

Patrice-Guy Martin est rédacteur en chef du magazine Direction informatique.

lundi 1 octobre 2007

Techno web


L'ISO rejette le format Office OpenXML de Microsoft

* Publié par Julien Jay le Mercredi 5 Septembre 2007 | envoyer | commenter
Après les non successifs de la France et de la Grande Bretagne pour la standardisation du format de fichiers Office OpenXML (voir Open XML&ODF: l'AFNOR demande la convergence(màj) et L'Angleterre rejette le format de fichiers Office), format de fichiers promu par Microsoft, c'est sans grande surprise que nous apprenons que celui-ci a été rejeté par l'ISO, l'organisme international de standardisation. Plusieurs pays ont en effet formulé des commentaires négatifs à l'encontre du format OpenXML, des commentaires qui, selon Microsoft, proviennent tous (ou presque) d'une seule et même compagnie, à savoir IBM. Pour être acceptée, une proposition de standard à l'ISO doit remporter deux rounds à savoir l'obtention de deux tiers des voix des membres P, c'est à dire des organismes de standardisation nationaux (comme l'AFNOR) mais aussi trois quarts des voix de tous les membres votants.

Office OpenXML a échoué sur les deux tableaux avec 74% de votes favorables parmi tous les votants et seulement 53% de votes favorables parmi les membres P. La plupart des organismes nationaux de standardisation ont accompagné leurs votes de commentaires et l'Afnor sème la pagaille en demandant de scinder le format OpenXML en deux avec d'un côté une spécification sur le noyau OOXML pour les fonctionnalités de base qui convergerait avec le format ODF et de l'autre une spécification pour les fonctionnalités étendues. La France n'est pas toutefois pas le seul pays à commenter longuement l'Office OpenXML, le Brésil ayant formulé une soixantaine d'objections alors que l'Inde s'inquiète de l'incompatibilité de l'Office Open XML avec le format ODF.

Microsoft devra donc trouver des compromis, à moins que la firme s'entête, alors que son format OpenXML sera l'objet d'un nouveau vote d'ici un an environ. La décision de l'ISO est naturellement un sévère revers pour Microsoft qui, si elle est confirmée l'an prochain par le second vote, pourra priver l'éditeur de certains contrats avec les institutionnels. Certains gouvernements imposent en effet l'utilisation d'un format de document ouvert afin de ne pas être à la merci d'un éditeur de logiciel en particulier pour garantir l'accessibilité à leurs archives numériques pour les années qui viennent.

Naturellement on peut s'interroger sur la volonté qui pousse Microsoft à faire standardiser l'OpenXML coûte que coûte alors que depuis des années l'éditeur impose ses vues avec des formats qui deviennent des standards de fait, et ce sans se préoccuper le moins du monde des normes internationales. Mais cette question trouve peut être sa réponse dans notre précédent énoncé, les institutions publiques exigeant dorénavant des garanties d'ouverture au niveau des formats de fichiers employés et Microsoft n'est certainement pas enclin à perdre des parts de marché, et donc du chiffre d'affaires, à cause de cette exigence. Reste que l'attitude de la firme, son arrogance sur le sujet et son entêtement ne risquent pas de l'aider dans le procédé de standardisation. Et d'aucuns ne diront que pour une fois Microsoft a trouvé plus fort que lui en matière de lobbying... IBM étant vraisemblablement celui « à qui profite le crime », selon les propos de Marc Mossé de Microsoft France.

Pour aller plus loin

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Techno web

Canoë - Techno-Sciences - Webcom 2007: pour maintenir une lo...

De notre journaliste mobile

Webcom 2007: pour maintenir une longueur d'avance...

Canoë  Simon-Pierre Goulet
11/05/2007 20h31 - Mise à jour 11/05/2007 21h10
De notre journaliste mobile - Webcom 2007: pour maintenir une longueur d'avance...
 

C'est jeudi qu'avait lieu la seconde édition du Webcom, le rendez-vous des professionnels du Web en entreprise et du marketing.

Une journée complète de conférences portant sur l'intégration des technologies du Web 2.0 au sein des entreprises.

Le thème de cette rencontre: «Toujours une longueur d'avance...»

Au menu: blogues, Wikis, plateformes de mise en relation, Web 3D, phénomène du bouche à oreilles (Word of Mouth).

Environ 80 personnes ont profité du Webcom 2007 pour assister aux diverses conférences et réseauter entre profesionnels du milieu web et interactif.

Le prochain rendez-vous Webcom aura lieu le 14 novembre 2007 au siège social de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), à Montréal.

mardi 25 septembre 2007

Techno web

IBM Lotus Symphony

Be Free. Work Smart.

Richly-featured productivity tools that are intuitive to use and compatible with your files.

Provided at no charge for your home, school or business.

Benefits for businesses, developers...and you

IBM® Lotus®Symphony™ offers something for everyone – a community-oriented site, a template gallery, and tips and support to help you succeed. Your business can get more control over spiraling upgrade costs while protecting and maintaining documents into the future. If you’re a developer, Lotus Symphony supports Microsoft® Windows® and Office applications, which means you get even more from your current investments. Read more... Users | Businesses | Developers

How is Lotus Symphony different?

You're in charge! Lotus Symphony is based on the Open Document Format (ODF) standard-which means you're not locked into proprietary file formats, software licensing agreements and upgrades. Finally, free tools and freedom of choice!

Can Lotus Symphony handle my existing files?

With Lotus Symphony, you can import, edit and save a variety of file formats including Microsoft Office files. You can even export your documents to Adobe® Portable Document Format (PDF). The tools work with computers running both Microsoft Windows and Linux- environments, with support for Apple Macintosh planned for the future.