Les articles ci après ne sont pas, sauf indication contraire, des articles originaux, mais forment plutôt une revue de presse d'articles glanés en veille sur le web. L'adresse de l'article original est toujours fournie.(JMR)
Qui suis-je
- Jean-M. Riopel (bibl.pro.)
- Je suis un humaniste qui a toujours eu comme objectif l'atteinte de la condition d’honnête homme au sens du XIXe siècle et qui a embrassé l'état de spécialiste du savoir dans ce but de non spécialisation. Je continue à faire marcher mes "petites cellules grises" en m'intéressant à tout et à tous .
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jeudi 29 novembre 2007
Technaute | Nelson Dumais
window XP
Liens-utiles - Microsoft Windows Service Pack 3 pour bientôt...
MICROSOFT : Microsoft Windows Service Pack 3 pour bientôt Posté par JerryG le 21/11/2007 00:10 (591 lectures)
Afin de remplacer Windows XP qui se fait vieux, Microsoft a sorti Windows Vista, un système d'exploitation Next-Gen, mais Windows XP reste bien encrer chez les particuliers et les PME/PMI, le Service Pack 3 pour Windows XP est toujours en gestation.
Il faut le reconnaître, Windows XP qui se fend d'un royal 85 % de part de marché dans la famille Windows fait bien de l'ombre au petit dernier de Redmond, Windows Vista, aussi Microsoft continue de mettre à jour son application avec un SP3 pour bientôt.
Si la sortie des différents Services Pack pour Windows XP avaient transformé notre système d'exploitation, il n'en sera pas de même pour ce SP3, ceux qui hésitaient encore à migrer vers Windows Vista devront attendre l'année prochaine pour renforcer leur Windows XP.
Microsoft conscient de l'impact de Windows XP dans le monde a promis par la voix de Steve Ballmer que Windows XP vivra encore et ce grâce à un nouveau service pack, le 3 ème du nom depuis la sortie de XP.
Une version RC de ce SP3 (Release Candidate) circule déjà chez les testeurs triés sur le volet ou chez les abonnés à MSDN.
Le SP3 ne sera pas révolutionnaire, il embarque évidemment les SP1 et SP2 (1073 correctifs concentrés), ainsi que toutes les MàJ (Mise à Jour) déjà éditées au jour de sa sortie officielle, on y trouvera aussi le navigateur Internet Explorer 7.0 (ou Internet Explorer 8.0 si le temps le permet) et le lecteur de média, le Windows Media Player 11, un clin d'oeil à la commission Européenne.
le Sp3 inclus aussi 4 nouveaux correctifs exclusifs, hérités tout droit de Windows Vista.
* / Windows Product Activation : permet des activations en masse dans les entreprises.
* / Kernel Mode Cryptographic Module, permettra au noyau du système de disposer d’une série d’algorithmes de cryptographie.
* / Network Access Protection, permet de définir des critères pour autoriser ou non une machine à rejoindre un réseau.
* / Black Hole Router permet de détecter les routeurs indésirables d’un réseau et de s’en protéger.
Le SP3 devrait aussi embarquer le support du WPA 2.0 dédié à l'ASFI (WiFi) ainsi que le FrameWork 2.0 et une amélioration du pare-feu originel.
Quant à l'intégration de l'API, Direct X 10, Microsoft reste muet comme une carpe, préférant peut-être la réserver aux possesseurs de Windows Vista, un moyen détourné d'obliger la migration vers Vista pour en profiter.
Grrrr !
mercredi 7 novembre 2007
Le web 2.0 au quotidien
Veilleurs et documentalistes face au web 2.0
par Christophe Deschamps le 02.10.07 à 00:22 dans Infos -Ressources Outils Froids - Ressources Veille - Ressources Knowledge Worker - Ressources Rss
Ci-dessous un article rédigé pour le numéro de juin du magazine Archimag15 mai 2007, 9h du matin : fraîchement installé devant votre écran d’ordinateur vous ouvrez votre navigateur Firefox et vous rendez sur votre page Netvibes. Là vous accédez à vos nouveaux emails, beaucoup moins qu’il y a deux ans depuis que vous avez remplacé les newsletters et les forums par des fils RSS. Fils auxquels vous accédez via cette même page. Chacune de vos découvertes engendre un clic qui ouvre un nouvel onglet dans Firefox.
10h : vous lisez chaque page ouverte dans les onglets puis les envoyez, préalablement dotées d’un ou plusieurs tags et de quelques lignes de résumé, vers del.icio.us, une application de « bookmarking social » où vous avez créé un compte avec pseudo. Simultanément les blogs privés installés sur les serveurs de la R&D et de la direction se mettent à jour via les fils RSS spécifiques des tags qui les concernent.
11h00 : vous lisez les fils RSS des blogs ouverts en interne par les chercheurs de votre organisation, ainsi que ceux publiés sur del.icio.us par le service marketing et les transformez en podcasts afin de les écouter ce soir sur le trajet du retour. Du grain à moudre pour demain.
Cette manière nouvelle de collecter et diffuser l’information doit tout au web 2.0. Ce concept a fait sensation lors d’une conférence éponyme organisée en octobre 2005 par O’Reilly, un éditeur spécialisé en technologies internet. Il donne lieu depuis à d’innombrables gloses de la part d’informaticiens, de chercheurs et de consultants.
Plutôt que d’aligner les définitions qui en existent voyons, à partir de l’exemple donné plus haut, quels en sont les éléments-clés pour nos pratiques informationnelles quotidiennes.
Des services en ligne pour centraliser vos sources d’information
Netvibes ou Pageflakes sont des services vous permettant de créer des pages personnelles en ligne en agrégeant des informations provenant de sources disparates. Il peut s’agir de fils RSS, de modules diffusant les emails entrants dans votre webmail (Gmail, Hotmail,…), ou encore d’informations émises via des services utilisant des API (application programming interfaces), c'est-à-dire des accès libres aux données, comme le font par exemple Google Earth ou Yahoo News. Il peut s’agir enfin de services bureautiques en ligne (Google Docs, Zoho Office) proposant des modules intégrables. Au final le système d’onglets propre à Netvibes permet de créer autant de pages thématiques que vous le souhaitez : une pour vos fils RSS, une autre pour les services « pratiques » (emails, météo, calendrier, to-do list, stockage de fichiers en ligne), une troisième pour les services bureautiques et une dernière consacrée à vos outils « sociaux » : chat, signal de présence de type Twitter, services de «networking» (Linkedin, Xing,…).
Vous disposez ainsi d’un mini-bureau à l’adresse unique, accessible à partir de n’importe quel poste connecté, vous permettant de mener votre activité de veille à bien où que vous soyez.
Les blogs et les wikis (doublement) au service de la veille
Qu’ils soient individuels (blogs) ou collaboratifs (wikis), les outils de publication simplifiés s’intègrent dans nos pratiques d’au moins deux manières.
D’une part, les 71 millions de blogs recensés par le site Technorati peuvent devenir des sources d’information inépuisables. Il suffit pour cela d’identifier ceux qui traitent vos problématiques et de les mettre sous surveillance via leur fil RSS. D’autre part, comme le montrait l’exemple initial, ces outils peuvent être déployés sur les serveurs d’une organisation et remplacer les sites de chaque service sur l’intranet, leur simplicité d’utilisation les met à la portée de tous. Soit chaque service dispose alors de son blog, soit on opte pour un blog par salarié, ce qui peut s’avérer payant pour les services documentation et veille. Lorsqu’on sait que la reconnaissance du travail accompli est une des motivations principales des « travailleurs de l’information » la question mérite d’être posée. Les fils RSS générés par chacun permettent alors à tous de s’abonner aux fils internes qu’ils jugent pertinents. Plus besoin de bases de données lourdes et figées, les fonctionnalités des blogs les remplacent : stockage de l’information, datation, attribution de mots-clés (tags) pour le classement, requêtage plein-texte et bien sûr possibilités de diffusion simplifiées.
Des millions d’internautes qui cherchent pour vous grâce au « bookmarking social »
Le premier objectif de services comme del.icio.us ou Yoono est de vous permettre d’enregistrer vos favoris (bookmarks, signets) en leur adjoignant des tags, c’est-à-dire des mots-clés les décrivant, et de pouvoir y accéder où que vous soyez. Le second, bien plus innovant, est de vous permettre de les partager et de capter ceux enregistrés par d’autres. Chaque « tag » produit en effet son propre fil RSS et si 200 utilisateurs « taggent » des pages avec l’expression « énergies renouvelables », il vous suffit de capturer le fil RSS de celle-ci pour être informé des futures découvertes de chacun. Immanquable !
Il ne s’agit donc pas (encore) d’intelligence collective mais, plus prosaïquement, de la création au fil de l’eau d’un super-annuaire du web par des millions d’internautes pour des millions d’autres.
Ne concluons pas en donnant une définition restrictive du web 2.0 mais retenons plutôt ce qui pour nous fait sens:
- La multiplication des systèmes de partage d’information et de mémoire en ligne, véritable manne pour les chercheurs d’information que nous sommes
- L’importance donnée à l’individu dans les processus de découverte et de diffusion de l’information, une vraie opportunité pour donner de la visibilité à un service et être reconnu pour ses compétences
- L’effacement des frontières entre les logiciels à installer sur son poste et les services en ligne. Cela multiplie les possibilités d’accès à l’information, permet de centraliser ses activités en ligne, mais doit en retour induire des comportements de prudence quant à ce qu’on y recherche, examine et stocke.
Si le web 2.0 et sa cohorte de services et d’outils sont tout bénéfice pour nous il ne faut pas oublier que leur simplicité d’utilisation les met au service de tous et que nous pourrions bientôt ne plus être les seuls à diffuser de l’information utile dans l’entreprise.
L’enjeu pour nous se trouve donc à deux niveaux. Il faudra d’une part se concentrer sur les phases où nous apportons une forte valeur ajoutée, à savoir l’analyse et l’organisation de l’information, d’autre part, maîtriser parfaitement cette véritable grammaire du web 2.0 que constitue, on l’a vu tout au long de cet article, le format RSS.
Services et outils cités :
- Firefox (navigateur internet) : www.mozilla.org
- Netvibes (portail personnalisable en ligne ) : www.netvibes.com
- Pageflakes (portail personnalisable en ligne) :www.pageflakes.com
- Gmail (webmail) : www.gmail.com
- Hotmail (webmail) : www.hotmail.com
- Google Docs (suite bureautique en ligne) : google.docs.com
- Zoho Office (suite bureautique en ligne) : www.zoho.com
- Twitter (signal personnel en ligne) : www.twitter.com
- Linked In (networking en ligne) : www.linkedin.com
- Xing (networking en ligne) : www.xing.com
- Technorati (moteur de recherche de blogs) : www.technorati.com
- Del.icio.us (partage de bookmarks) : del.icio.us
- Yoono (partage de bookmarks) : www.yoono.com
par Christophe Deschamps le 02.10.07 à 00:22 dans Infos -
lundi 22 octobre 2007
Techno web
La recherche américaine dispose d'un réseau optique national
(cliquez pour agrandir)
Du très haut débit à la demande
mardi 16 octobre 2007
Techno web
OpenOffice : le concurrent d'Office gratuit
Suivante
| Vous venez d'acheter un nouvel ordinateur, mais il vous manque Word, Excel et PowerPoint. Plutôt que de débourser 169 euros, testez OpenOffice. Gratuit, il reprend les fonctionnalités d'Office et est compatible avec ce dernier.
Disponible en version française 2.2.1, et bientôt en version 2.3, il fonctionne avec Windows, Linux et Mac OS. Gratuit, il offre quasiment le même contenu que la suite Office de Microsoft. Pour l'obtenir, il suffit de le télécharger sur le site officiel, ou via notre logithèque. |
lundi 15 octobre 2007
Techno web
Le moteur de recherche, indispensable outil de l'internaute
Le progrès technologique accentue aussi les inégalités
Le progrès technologique accentue aussi les inégalités
mardi 9 octobre 2007
Et l'humain dans tout ça?
Les nouvelles technologies cherchent l'humain
Celui-ci a conformé son système de contrôle parental aux "protections" textuelles ordinairement réservées à la télévision ou au cinéma. Le principe est moins original, il est vrai, puisqu'il avait déjà été singé il y a longtemps pour les besoins de la commercialisation des jeux vidéo. Dernier exemple dans le domaine biomédical cette fois. Des chercheurs canadiens, bulgares et français ont lancé un nouveau système de stockage des informations sur la régulation des gènes dans une base de données. Pour faciliter la vie des biologistes, les universitaires se sont inspirés du principe des magasins, et plus précisément des "Pazar", du nom des boutiques bulgares. Le but ici est tout "simplement" de regrouper les données portant sur un même thème au sein de petites bases.
Renaud Edouard-Baraud, responsable éditorial de L'Atelier
vendredi 5 octobre 2007
technoweb
RNDH : Blogs Et Rss
From: DLiz, 2 weeks ago
Présentation pour le Réseau National des Documentalistes Hospitaliers
SlideShare Link
jeudi 4 octobre 2007
Techno web
La survie des mieux adaptés
01/03/2006 - Quand Darwin a élaboré son grand principe de l’évolution des espèces, il était sans doute loin de se douter qu’on l’appliquerait à la dynamique des organisations à l’ère de la société de l’information.
Patrice-Guy Martin
|
Tous les articles que vous lirez dans la section économie de votre quotidien favori ou dans nombre de magazines spécialisés, la plupart des reportages et des analyses d’experts de tout acabit qui traitent du monde des affaires n’oublient jamais de faire référence aux conditions du marché qui sont en changement constant. Les écosystèmes économiques sont « vivants » et évoluent sans cesse. La comp;eacute;tition est globale et il n’y a que les mieux adaptés qui survivront. C’est inéluctable.
Dans ce contexte, les technologies ont un rôle extrêmement important à jouer. Elles contribuent à modifier les conditions environnementales à toute vitesse et elles fournissent les moyens de s’adapter pour évoluer au même rythme, permettant ainsi aux organisations de tirer leur épingle du jeu et survivre.
Notre monde n’est plus que global, affirme les analystes de la firme de conseil en gestion McKinsey, il est instantané. Notre manière de travailler doit s’adapter à ces conditions et les outils technologiques sont essentiels pour nous permettre de suivre la cadence. Deux milliards de personnes utilisent des téléphones mobiles, ce qui signifie qu’on peut les rejoindre en tout temps, et nous nous échangeons trois trillions de courriels par année, auxquels nous nous attendons souvent à avoir une réponse immédiate.
Nos besoins en information sont croissants, sauf qu’en même temps nous avons désormais accès à une masse d’information en croissance exponentielle. McKinsey mentionne que nous effectuons, globalement, un milliard de recherches quotidiennes sur Google pour trouver ce que nous cherchons.
De plus en plus d’entreprises mettent en place des systèmes qui aident les gestionnaires à prendre des décisions, soulignent encore McKinsey, transformant la gestion de plus en plus en une science et de moins en moins en un art. Nous l’observons régulièrement : tel système de forage de données analyse les variations de comportement chez les clients d’une entreprise, un système de gestion des relations clients mesure le nombre de plaintes sur un produit spécifique, un outil de rapport permet d’évaluer l’efficacité des campagnes publicitaires sur le Web, etc.
Les technologies ont un impact majeur sur notre façon de gérer, de communiquer et d’interagir. Pour survivre, il faut s’adapter et tirer le meilleur des ressources que sont les technologies. On ne peut malheureusement plus se permettre de rester en marge de tout cela et se refuser de suivre l’évolution technologique.
Les organisations, grandes et petites, ont souvent tendance à réfléchir en termes d’économies de coûts ou de hausse de productivité pour analyser la justification d’un projet ou d’un investissement technologique. Je crois qu’il faut absolument ajouter à l’exercice, l’analyse concurrentielle et la capacité de survie. Les technologies sont devenues un investissement obligatoire pour assurer une croissance, si ce n’est pour se maintenir en place. Si les concurrents le font, il nous faut également le faire, car l’effet de levier dont on pourra profiter en le faisant ne se mesure souvent pas en dollars au préalable et l’investissement de rattrapage que cela pourra demander plus tard risque d’être trop important et nous expose à des risques majeurs.
L’histoire du monde est truffée d’espèces disparues qui n’ont pas su s’adapter aux conditions environnementales changeantes. Je préfère être de celles qui survivent.
Patrice-Guy Martin est rédacteur en chef du magazine Direction informatique.
lundi 1 octobre 2007
Techno web
L'ISO rejette le format Office OpenXML de Microsoft
Office OpenXML a échoué sur les deux tableaux avec 74% de votes favorables parmi tous les votants et seulement 53% de votes favorables parmi les membres P. La plupart des organismes nationaux de standardisation ont accompagné leurs votes de commentaires et l'Afnor sème la pagaille en demandant de scinder le format OpenXML en deux avec d'un côté une spécification sur le noyau OOXML pour les fonctionnalités de base qui convergerait avec le format ODF et de l'autre une spécification pour les fonctionnalités étendues. La France n'est pas toutefois pas le seul pays à commenter longuement l'Office OpenXML, le Brésil ayant formulé une soixantaine d'objections alors que l'Inde s'inquiète de l'incompatibilité de l'Office Open XML avec le format ODF.
Microsoft devra donc trouver des compromis, à moins que la firme s'entête, alors que son format OpenXML sera l'objet d'un nouveau vote d'ici un an environ. La décision de l'ISO est naturellement un sévère revers pour Microsoft qui, si elle est confirmée l'an prochain par le second vote, pourra priver l'éditeur de certains contrats avec les institutionnels. Certains gouvernements imposent en effet l'utilisation d'un format de document ouvert afin de ne pas être à la merci d'un éditeur de logiciel en particulier pour garantir l'accessibilité à leurs archives numériques pour les années qui viennent.
Naturellement on peut s'interroger sur la volonté qui pousse Microsoft à faire standardiser l'OpenXML coûte que coûte alors que depuis des années l'éditeur impose ses vues avec des formats qui deviennent des standards de fait, et ce sans se préoccuper le moins du monde des normes internationales. Mais cette question trouve peut être sa réponse dans notre précédent énoncé, les institutions publiques exigeant dorénavant des garanties d'ouverture au niveau des formats de fichiers employés et Microsoft n'est certainement pas enclin à perdre des parts de marché, et donc du chiffre d'affaires, à cause de cette exigence. Reste que l'attitude de la firme, son arrogance sur le sujet et son entêtement ne risquent pas de l'aider dans le procédé de standardisation. Et d'aucuns ne diront que pour une fois Microsoft a trouvé plus fort que lui en matière de lobbying... IBM étant vraisemblablement celui « à qui profite le crime », selon les propos de Marc Mossé de Microsoft France.
Techno web
De notre journaliste mobile
Webcom 2007: pour maintenir une longueur d'avance...
Canoë Simon-Pierre Goulet11/05/2007 20h31 - Mise à jour 11/05/2007 21h10
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Le thème de cette rencontre: «Toujours une longueur d'avance...»
Au menu: blogues, Wikis, plateformes de mise en relation, Web 3D, phénomène du bouche à oreilles (Word of Mouth).
Environ 80 personnes ont profité du Webcom 2007 pour assister aux diverses conférences et réseauter entre profesionnels du milieu web et interactif.
Le prochain rendez-vous Webcom aura lieu le 14 novembre 2007 au siège social de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), à Montréal.
mardi 25 septembre 2007
Techno web
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